Thiobon, dans le département de Bignona, arrondissement de Tendouck, a célébré, cette année 2025, son ʺ Boukout ʺ, l’entrée des jeunes dans le bois sacré.
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Thiobon, dans le département de Bignona, arrondissement de Tendouck, a célébré, cette année 2025, son ʺ Boukout ʺ, l’entrée des jeunes dans le bois sacré.
Thiobon (Bignona) : Les images impressionnantes de l'entrée au Bois Sacré
Le Sénégal a perdu plus de 40 % de sa mangrove, depuis plus d'une vingtaine d'années
Les habitants de Sindian (Bignona) ont organisé une séance de lutte traditionnelle samedi pour raffermir les liens de fraternité entre les jeunes et construire une paix durable dans le Fogny, une zone très affectée par le conflit armé en Casamance.L’écurie de lutte de Sindian a initié cette manifestation, en partenariat avec Thiobon, un village gambien, dans le cadre d’un forum de deux jours sur le thème : ‘’Désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR) : relance des activités socio-économiques en Casamance’’.
L’Armée a rendu, jeudi matin au camp Dial Diop, un dernier hommage aux deux casques bleus du 10e contingent sénégalais au Darfourb (Soudan), en présence du ministre des Forces armées, Augustine Tine, et des familles des victimes.
« Je vous dis une chose : Yekini parle toujours de Bassoul, mais c'est ici, en Casamance, qu'il se blinde mystiquement. Il ne peut pas se glorifier de Bassoul qui est son village natal, mais c'est àThiobong qu'il se prépare mystiquement », avance, avec beaucoup d'assurance, un vieux Diola très proche d'un marabout résidant dans un village du Fogny
«Depuis que Yékini a déclaré dans la presse qu'il n'y a pas de marabout sur terre qui peut l'empêcher de battre Balla Gaye 2, je me suis mis au travail pour lui démontrer le contraire.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie sur le décès de 4 personnes retrouvées mortes à hauteur du village de Thiobong, dans le département de Bignona (sud), après le chavirement de la pirogue qui les transportait sur fleuve Casamance, a annoncé mardi la radio dakaroise RFM.
Les troupes de la coalition ne reprochent pas seulement à Salif Sadio de ramer à contre courant du processus de paix en Casamance. Le passé du fugitif, empreint, selon eux, d'actes de 'barbarisme', est suffisant pour se débarrasser de l'ex-chef de la branche armée du Mfdc.(Correspondance) - Des griefs, les troupes de la coalition dirigée par Ismaïla Magne Diémé et César Attoute Badiatte n’en manquent pas pour justifier leur acharnement contre Salif Sadio. Dans un communiqué daté d’avant-hier, ces deux chefs de guerre du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) ont mis à nu les 'actes barbares' commis depuis 1997 par leur ex-commandant 'qui s’est assigné une mission bien précise : tuer sans raison'.