Trump annonce que six narcotrafiquants ont été tués dans une nouvelle frappe au large du Venezuela
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Trump annonce que six narcotrafiquants ont été tués dans une nouvelle frappe au large du Venezuela
La Brigade de recherches du Commissariat d'arrondissement de Golf-Sud a mis fin aux activités d'un dealer récidiviste.
Haschich : un réseau Maroc-Sénégal-Guinée-Bissau démantelé, le cerveau identifié
La brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Keur Massar a réalisé une prise majeure dans la lutte contre le trafic de stupéfiants. A. M. Faye, 46 ans, dealer notoire résidant au lac Rose, a été arrêté en possession de 10 kilogrammes de chanvre indien.
Trafic de drogue : le film de la chute de deux chauffeurs dealers
La brigade régionale des stupéfiants de Dakar de l’OCRTIS, le jeudi 9 octobre 2025, aux environs de 21 h, a arrêté deux chauffeurs pour association de malfaiteurs et détention de huit sachets et 19 képas de kush.
Les éléments de la Brigade de recherches du Commissariat d'arrondissement de Zac Mbao ont mis fin aux activités d'un trafiquant de drogue opérant dans la cité SAGEF.
Ce jeudi 9 octobre 2025, vers 5 h, les éléments de la brigade de recherches du commissariat d'arrondissement de Golf-Sud...
Saisie de 32,7 kg de haschich à l’AIBD, un trafiquant interpellé
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Les enquêteurs de la Brigade Régionale des Stupéfiants de Dakar ont frappé fort.
Le Venezuela a annoncé mercredi le lancement d'un exercice militaire dans deux régions côtières, et notamment autour de l'aéroport international de Maiquetia desservant la capitale, en réponse aux manœuvres militaires américaines dans les Caraïbes.
Coup de filet de la BRS de Dakar au marché Castor : Un trafiquant de kush arrêté en pleine distribution
Une opération de surveillance menée par la Brigade de Recherches de la compagnie de gendarmerie de Keur Massar a permis le démantèlement d'un réseau de trafic de drogue opérant sur le marché local.
Suite à une dénonciation citoyenne, la Police municipale a mené, le vendredi 3 octobre 2025, une opération au marché Rood-Wooko ciblant des cas présumés de consommation de stupéfiants.
L’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) a intercepté, le 29 septembre 2025, à Gaya (sud-ouest du Niger), 47 briques de cocaïne pesant 51,7 kg, d’une valeur estimée à plus de 2,5 milliards FCFA. Trois personnes ont été arrêtées.
Les éléments de la Brigade régionale des stupéfiants de l'OCRTIS de Kaffrine ont mené, le 1er octobre 2025 au petit matin, une opération coup de poing dans le département de Malem Hodar.
Le commissariat central de Rufisque a mis fin, le 3 octobre 2025, aux activités d'un présumé trafiquant de drogue opérant dans le quartier de Santa Yalla.
Le magnat du hip-hop P. Diddy a été condamné vendredi à 4 ans et deux mois de prison par un tribunal de New York pour transport de personnes à des fins de prostitution.