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La situation nationale du pays a été examiné par le Bureau politique (BP) du Rassemblement pour la Vérité / And Ci Degg (RV-ACD).
Invitée de l’émission « En Vérité » sur Radio Sénégal International, Marie Rose Khady Faye a réagi avec fermeté à la dégradation de la note souveraine du Sénégal par l’agence Moody’s. Pour elle, cette décision ne reflète ni la réalité économique du pays ni les efforts de transparence engagés par le gouvernement.
Le président du groupe parlementaire PASTEF, Ayib Daffé, a levé un coin du voile sur la situation financière du pays. Invité du "Jury du dimanche" sur iRadio, il affirme que le nouveau pouvoir a hérité d’un lourd passif budgétaire, marqué par des engagements dissimulés et des dettes non déclarées.
Un nouveau programme économique se dessine entre le gouvernement sénégalais et le Fonds monétaire international (FMI).
Le 1er août 2025, le Premier ministre Ousmane Sonko a présenté au Grand Théâtre national, devant le Président de la République Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, le Plan de redressement économique et social baptisé « Jubbanti Koom », en wolof.
Le 30 septembre 2025, la BCEAO inaugurera la Plateforme Interopérable du Système de Paiement Instantané, une infrastructure régionale conçue pour connecter en temps réel banques, fintechs et opérateurs de monnaie mobile à l’échelle de l’UEMOA.
Depuis la présentation du Plan “Jubbanti Koom”, une page semble vouloir se tourner dans notre histoire économique...
Depuis l’annonce du Plan national de redressement par le Premier ministre Ousmane Sonko en juillet 2025, les eurobonds sénégalais ont enregistré une reprise modérée sur les marchés financiers.
Le plan de redressement économique et social apporte bien de la nouveauté, comparé aux précédents ; les leviers d’action sont aussi clairement identifiés.
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
Le vendredi 1er août a été marqué par la présentation du plan économique et social du gouvernement au grand théâtre national
Le parti Sénégal Bi Ñu Bokk a vivement critiqué le Plan national de redressement économique et social (PRES) présenté ce matin par le Premier ministre Ousmane Sonko. Réuni en session ordinaire, le Bureau politique provisoire a publié un communiqué au vitriol dans lequel il rejette catégoriquement le document gouvernemental, dénonçant un manque de rigueur, de transparence et d’inclusivité.
Lors d’une présentation théâtrale au Grand Théâtre national, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé son plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », devant un public acquis et sous le regard du président Bassirou Diomaye Faye. Mais pour Ibrahima Thiam, président du parti Action pour la Citoyenneté et les Transformations (ACT), ce plan n’est qu’un « récit politique » dénué d’ancrage dans les réalités économiques du Sénégal. Dans une tribune au vitriol, Thiam dénonce une approche marquée par une fiscalité agressive, un souverainisme déconnecté et une absence de solutions concrètes pour sortir le pays de la crise. Voici une analyse fidèle de sa critique, ponctuée d’extraits de son texte.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a présenté, ce vendredi 1er août 2025, le Plan de redressement économique et social baptisé JUBBANTI KOOM.
« Je lui ai demandé de stopper » : Diomaye Faye révèle son échange ferme avec Macky Sall
Lors de la cérémonie de présentation du Plan de Redressement Économique et Social (PRES) le 1er août 2025 au Grand Théâtre de Dakar, le président Bassirou Diomaye Faye a réaffirmé l’engagement de son gouvernement pour une gouvernance marquée par...
Président du mouvement Agir-les leaders Thierno Bocoum a déclaré que le plan de redressement économique et social débute «par une faute républicaine ».
Plan de redressement de Sonko : problèmes de fond et de forme
Le gouvernement s’apprête une fois de plus à servir un supposé plan de redressement.
Les crypto-monnaies se démocratisent dans le monde entier, l’Afrique de l’Ouest et le Sénégal ne sont pas en reste
