Exercice fiscal 2024 : 628 entreprises déclarées dans le Registre des bénéficiaires effectifs, un tournant pour la transparence extractive
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Exercice fiscal 2024 : 628 entreprises déclarées dans le Registre des bénéficiaires effectifs, un tournant pour la transparence extractive
Alors que plusieurs pays africains ont opté pour la création de fonds souverains – outils censés stabiliser leurs économies, lisser les revenus volatils ou investir dans des projets d’avenir – le Sénégal, pourtant engagé dans une dynamique extractive avec l’arrivée imminente des premiers revenus pétro-gaziers, ne dispose toujours pas d’un tel instrument. Cette absence interroge à l’heure où les débats sur la gestion stratégique des excédents budgétaires, des ressources naturelles et des capacités d’investissement à long terme s’intensifient sur le continent.
La Côte d’Ivoire peut se frotter les mains. L’année 2024 a été celle de la découverte d’importants gisements de pétrole, de gaz et d’or. L’exploitation de ces ressources devrait permettre au pays de s’enrichir un peu plus.
Le secteur extractif joue un rôle crucial dans l'économie sénégalaise. Il fournit des revenus et des ressources naturelles essentielles pour le développement du pays.
Au moment où l’État du Sénégal négociait une facilité de 166 milliards de francs CFA auprès du Fonds monétaire international (FMI), des centaines de milliards de francs CFA de litige d’intérêt public (LIP) en matière fiscale lui paissaient sous le nez
Le gaz naturel du Sénégal est estimé à 420 milliards de m3 pour le champ de Yakaar...
Au sortir de la conférence sur le thème "Aborder les flux financiers illicites et la récupération des avoirs dans l'industrie extractive", le Panel de haut niveau de l'Union africaine...
C’est le coordonnateur du Forum civil, Birahim Seck qui a vendu la mèche.
Le Comité national Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (Cn-ITIE) a présenté son 6ème rapport de conciliation portant sur l’année fiscale 2018.
Ce qui va changer dans la nouvelle norme ITIE 2019
Les propos du ministre des Mines et de la Géologie, selon lesquels la société civile fait dans désinformation dans le cadre de la gestion du pétrole et du gaz au Sénégal, suscitent des réactions.
Le Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne, reconduit à la tête du gouvernement après sa démission en août dernier, a fait face aux députés de la 13e législature ce mardi 5 décembre 2017, pour faire sa déclaration de politique générale. Il a passé en revue plusieurs secteurs, de l'Education à la Santé en passant par la Sécurité, l'Environnement, la diplomatie, les Infrastructures... Voici l'intégralité de la Déclaration de politique général du Premier ministre.
Suite à la publication du Rapport ITIE 2015, le 16 Octobre dernier, le Comité national de l’initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) du Sénégal a rendu public hier, lundi 30 octobre, son rapport pour l’année 2016 qui couvre la période s’étalant du 1er janvier au 31 décembre 2016. Selon le document, le secteur minier est le premier contributeur aux revenus tirés du secteur extractif pour l’année 2016, avec un total de 107,4 milliards FCFA soit 92 % des recettes budgétaires provenant du secteur extractif.
L’industrie extractive a rapporté à la Côte d’Ivoire la rondelette somme de 479 milliards de francs Cfa en 2015.
“Le maillon faible, rôle des institutions locales dans la gestion responsable des ressources naturelles”. Tel est le titre du rapport d’étude que vient de publier Oxfam. Réalisée par le Dr Aminata Niang Ndiaye de l’Initiative Prospective agriculture rurale, chercheuse associée, socioanthropologue travaillant sur les politiques de gouvernance et le développement durable, cette étude s’était donnée pour objectif de scruter à la loupe le secteur minier sénégalais. Ce, pour dénicher les problèmes dans la gouvernance du secteur et pouvoir améliorer le cadre de transparence, de redistribution des ressources tirées des industries extractives et lutter efficacement.
L’Initiative pour la transparence dans les industries extractives au Sénégal (ITIE) est "un excellent instrument" de promotion de la bonne gouvernance, notamment dans le secteur minier, a affirmé samedi Abdou Latif Coulibaly, ministre sénégalais en charge de la Promotion de la bonne gouvernance et des Relations avec les institutions.‘’Dans beaucoup de pays, l’industrie extractive pose un certain nombre de problèmes, et il y en a même qui vont jusqu’à dire que les ressources naturelles, en particulier les mines, constituent une malédiction. Nous espérons qu’il ne sera jamais le cas au Sénégal, parce que nous avons mis en place l’ITIE, mais aussi parce que le président de la République, Macky Sall, accorde une importance capitale à la bonne gouvernance’’, a déclaré M. Coulibaly.
L’exploitation du zircon, à Diogo, dans la région de Thiès (Ouest), pourrait propulser le Sénégal dans le groupe des 10 plus grands producteurs mondiaux de ce minerai, a indiqué vendredi la chef de la Délégation de l’Union européenne (UE) au Sénégal, Dominique Dellicour.
L’exploitation de l’or doit participer au développement socio-économique du pays. Tel n’était pas le cas, selon le Président Macky Sall. Depuis janvier dernier, l’Etat du Sénégal s’est lancé dans la renégociation des contrats miniers. Le premier accord a été trouvé avec Teranga gold opérations. Cette entreprise canadienne, qui a acquis Sabodala gold Operations (Sgo) de Mdl en fin 2010, veut reprendre les sondages, espérant trouver un gisement à exploiter.
L’exploitation de l’or doit participer au développement socio-économique du pays. Tel n’était pas le cas, selon le Président Macky Sall. Depuis janvier dernier, l’Etat du Sénégal s’est lancé dans la renégociation des contrats miniers. Le premier accord a été trouvé avec Teranga gold opérations. Cette entreprise canadienne, qui a acquis Sabodala gold Operations (Sgo) de Mdl en fin 2010, veut reprendre les sondages, espérant trouver un gisement à exploiter. Les habitants du village aurifère craignent un déplacement. Ceci aura des conséquences sociales et culturelles. En partenariat avec l’institut Panos, Le Quotidien a tenté de cerner les contours de cette nouvelle Convention minière qui, à terme, verra les populations de Sabodala et de deux villages voisins relocalisées dans d’autres sites.
Sénégalaises, Sénégalais Africaines, Africains, Hôtes étrangers qui vivez parmi nous, Au seuil du nouvel an, c’est avec un plaisir renouvelé que je m’adresse à vous, mes chers compatriotes.