La situation dégénère sur l'avenue Bourguiba de Dakar et à Castor où les manifestants contre le report de la présidentielle ont tout saccagés sur leur passage.
il y a 1 an
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La situation dégénère sur l'avenue Bourguiba de Dakar et à Castor où les manifestants contre le report de la présidentielle ont tout saccagés sur leur passage.
Un jeune manifestant a tué son camarade, à Usine Bene Tally
Ses bourreaux profitaient de son absence pour soustraire divers objets et des numéraires dans son appartement.
L. Thiam, qui serait sujet à des troubles mentaux, a été condamné à trois reprises.
Âgé de 74 ans, il résidait à l'unité 25 des Parcelles Assainies.
Le Coronavirus est un redoutable ennemi. Il a envahi le monde et dérouté les plus grandes puissances sur terre. En Chine, Italie, France, Espagne sans oublier les États unis, les morts se comptent par milliers. Le Sénégal est touché, mais pas encore coulé. Il n'est pas tard de prendre des mesures hardies et très sévères pour sauver ce qui peut l'être.
Un jeune manifestant a tué son camarade, à Usine Bene Tally
L. Thiam, qui serait sujet à des troubles mentaux, a été condamné à trois reprises.
« Maman », l’interpelle-t-il tendrement. Ce surnom assez révélateur, témoigne de toute l'importance qu'occupe Amsata Sadio dite «Maman» dans la vie de Youssoupha Mané, son époux, tétraplégique depuis 19 ans. Dans leur lointaine demeure plutôt proprette, posée à l'angle de la Cité Comico de Yeumbeul, le bonhomme, fourré dans un caftan marron qui nous accueille, est cloué sur un fauteuil roulant. Sa femme, dévouée, à ses côtés depuis 25 ans, l'assiste en Tout. Résignée à son destin de femme traquée par la fatalité et soumise, elle s'occupe jour et nuit, sans faillir, ni faiblir, de son homme, atteint de paralysie totale. Ce «gros» bébé qu'elle adore, chérit et qui lui a donné 3 bouts de bois de Dieu. En cette journée du 08 mars dédiée à la femme, L'Obs s'est penchée sur le quotidien de ces femmes souvent reléguées aux oubliettes, mais qui mènent, à leur façon, leur combat
Le drame survenu chez le couple d’amoureux de Bène Tally est la preuve de comment l’amour poussé peut conduire à la passion qui, soutient-on, est voisin de la démence. Samba Diallo, qui risque cinq ans d’emprisonnement, clame son innocence. Oumy Guèye qui a été extraite de son lit d’hôpital charge son ex-amant qui sera fixé sur son sort le 23 novembre.
SENINFOS.COM – (Dakar) - Le balcon d’un immeuble situé au quartier Usine Bene Tally s’est effondré ce mardi soir faisant quatre blessés dont deux dans un état grave.Selon le Lieutenant-colonel Abdoulaye Ndiaye des sapeurs-pompiers, les blessés sont tous des enfants âgés respectivement de 14, 10, 9 et 4 ans qui se trouvaient sur le balcon au moment où il s’est effondr
Oumy Guèye risque d'être expulsée de l'hôpital où elle est internée depuis qu'elle a été aspergée d'acide par Samba Diallo à qui elle a décliné l'offre de mariage.Aucune assistance des services de l'Etat et des associations féminines alors que ses frais d'hospitalisation s'élèvent à 50 mille francs par jour. Pour l'heure, Samba Diallo restera en prison jusqu'à la comparution de la victime.
Le tribunal des flagrants délits de Dakar a condamné mercredi deux femmes âgées d’environ 30 ans à deux ans de prison dont six mois ferme, pour le délit de vol. A la barre, les prévenues, qui sont toutes les deux mariées, ont tenté de nier les faits, expliquant qu’elles ont été injustement accusées par la partie civile.Mais elles ont été contredites par le parquet, qui signale qu’elles sont même des récidivistes, car ayant déjà été condamnées par le tribunal pour le même délit.
Dakar démarre, ce lundi, sa deuxième session de Cour d’assises, pour l’année judiciaire 2009-2010. Le menu de cette session porte sur onze affaires pour lesquelles vingt et un accusés défileront au prétoire. Ces crimes vont du meurtre à l'infanticide, en passant par le vol aggravé, l’association de malfaiteurs ainsi que les cas de cambriolage, d'agression, de braquage et d'attentat à la pudeur. Particularité de cette session : la relative jeunesse des accusés, le niveau scolaire très bas ainsi que leur ancrage dans le milieu de la délinquance.
NETTALI.NET- Si d’habitude ce sont des jeunes filles à la fleur de l’âge qui étaient attraites pour prostitution illégale, le jeudi 06 novembre, ce sont quatre dames âgées entre 56 et 59 ans qui ont défilé à la barre du tribunal des flagrants délits. Reconnues coupables de proxénétisme et de non inscription au fichier sanitaire, elles ont été condamnées entre 3 et 6 mois de prison ferme. C’est dans le quartier d’Usine Bène Tally que les dames Awa Sow dite Mbossé, Dior Diop, Ndèye Sène et Fatou Kiné Dieng exerçaient le plus vieux métier du monde.
Il y a un peu plus d’un mois, vingt-quatre maisons de Cité Bissap, un bidonville de Dakar, avaient été ravagées par un violent incendie. Radios, télévisions et journaux relayèrent ce drame qui transforma 325 personnes en sans-abri. Mais très vite, l’infortune des habitants de ce bidonville de Dakar fut noyée dans le flot des informations qui assaillent quotidiennement les médiats sénégalais. Plus d’un mois après l’incendie, nous sommes retournés sur les lieux. Le décor n’a guère changé...
La population du quartier Bène Tally vit dans la psychose après qu’une fillette de 13 ans a échappé à un viol hier. Curieusement, le mode opératoire est le même dans le viol de sept premières victimes toutes mineures. A-t-on affaire à un violeur en série ?Encore une fillette qui a failli être victime de viol au quartier dakarois de Bène Tally. D.N., appelons-la ainsi, âgée de 13 ans, allait s’ajouter à la liste des mineures victimes de viol. Un violeur en série à Usine Bène Tally est soupçonné d’être l’auteur de ces nombreux cas. Car, c’est le même stratagème qui a été utilisé à l’endroit de D.N. Il s’agit d’un homme qui s’amuse à intercepter les fillettes en leur demandant gentiment de venir prendre l’aumône dans la même maison où d’autres enfants ont été violées. Menaçant ses victimes à l’aide d’un couteau, le violeur passe systématiquement à l’acte une fois qu’il réussit à entraîner les fillettes de gré ou de force à l’intérieur du même immeuble.
Une fillette de 11 ans a été violée, hier, au quartier Usine Bene-Tally de Dakar, sur la terrasse d’un immeuble de trois étages. Cet acte inquiète la population, puisque deux autres mineures ont subi le même sort dans le même endroit. Son corps dégage une forte chaleur. Les larmes aux yeux, elle frissonne. Ses deux jambes tiennent difficilement. Avec sa main gauche, elle tente d’accrocher son pantalon, tout en jetant son regard dans tous les sens. Elle semble perdre ses esprits. Une attitude évidente pour une mineure de 11 ans qui vient de subir une épreuve qui a installé le quartier Usine Bene-Tally dans une totale désolation.
Nous revenons sur l’affaire que nous relations hier en page index concernant la mort d’une femme, Adama Cis qui était en travail et de son bébé, dans la nuit du samedi au dimanche dernier. Nous avons rencontré le mari éploré qui est revenu sur les faits ayant conduit au drame. C’est avec amertume que Mbaye Ciss a accepté de parler des conditions de la mort de sa femme, mettant en cause les différentes structures sanitaires (Hoggy, Nabil Choucair et Roi Baudouin) qui, selon lui, ont toutes refusé de la prendre en charge. Ces dernières ont néanmoins balayé d’un revers de main ces allégations.
« Soyez cheese ! » Élément physiologique important, le sourire fait partie intégrante de l’esthétique faciale. Tous les artifices sont mis à contribution par les femmes pour avoir un sourire d’ange. Et cela à leurs risques et périls. Recelant plusieurs vertus, le sourire est un antidote à toutes les peines et agit comme un baume au cœur pour quiconque le reçoit. Des dents blanches, un sourire éclatant, une haleine fraîche et une gencive tatouée au noir sont devenus autant d’atouts de séduction. Et les Sénégalaises, coquettes et toujours promptes à prendre soin d’elles et de leur aura, le savent bien. Nombreuses sont-elles à avoir recours à la «chirurgie esthétique» dentaire pour se payer un sourire ravageur.
