Avant le Burkina, l'armée française avait quitté le Mali et la Centrafrique
La France, qui retirera ses forces spéciales du Burkina Faso d'ici un mois, a déjà dû rappeler ses troupes de deux autres anciennes colonies, Mali et Centrafrique, en 2022.
Le Burkina héberge actuellement un contingent de près de 400 forces spéciales françaises, la force Sabre. A l'instar du Mali et de la Centrafrique, Ouagadougou a engagé un rapprochement avec la Russie depuis le coup d'Etat de septembre 2022. La junte au pouvoir se défend toutefois d'avoir conclu un accord avec le groupe paramilitaire russe Wagner.
Mali
Plus de neuf ans après avoir été accueillis au Mali comme des "sauveurs" face aux groupes jihadistes, les militaires français ont achevé le 15 août 2022 leur retrait du pays.
Il avait été ordonné le 17 février par le président français Emmanuel Macron, du fait de la dégradation des relations avec la junte et face à une hostilité grandissante de l'opinion publique malienne. Quelque 2.400 militaires français étaient alors déployés dans le pays.
Les colonels au pouvoir à Bamako depuis le putsch contre le président Ibrahim Boubacar Keïta en août 2020 se sont tournés vers la Russie, allant même, selon de multiples sources, jusqu'à s'assurer les services des mercenaires de Wagner.
A l'opération Serval lancée en janvier 2013 contre les groupes jihadistes qui avaient conquis le nord du pays et menaçaient de descendre plus au sud, avait succédé en août 2014 Barkhane, visant les jihadistes disséminés dans les pays de la bande sahélo-saharienne.
La France a confirmé en novembre 2022 la fin officielle de l'opération Barkhane et s'est donné six mois pour finaliser sa nouvelle stratégie en Afrique. Elle continue à lutter dans la région contre les groupes jihadistes liés à Al-Qaïda ou au groupe Etat islamique, qui étendent progressivement leurs activités vers les pays du Golfe de Guinée. En dehors du Burkina, ses militaires restent déployés au Niger et au Tchad.
Centrafrique
Quatre mois après le retrait du Mali, les 47 derniers militaires français déployés en Centrafrique ont décollé le 15 décembre 2022 de l'aéroport de Bangui. L'essentiel des 130 militaires qui composaient le contingent avait quitté le pays les semaines précédentes.
Ce retrait avait été décidé par Paris en juin 2021, face au rôle grandissant de Wagner dans ce pays, en guerre civile depuis 2013.
La France juge Bangui "complice" d'une campagne antifrançaise téléguidée par la Russie. Elle accuse les paramilitaires russes de commettre des exactions contre les civils et d'avoir instauré un régime de "prédation" des ressources de la Centrafrique.
L'ancienne puissance coloniale avait déployé en 2013 plus d'un millier de soldats en Centrafrique dans le cadre de l'opération Sangaris, avec le feu vert de l'ONU, pour y faire cesser les violences intercommunautaires. Sangaris, qui a compté jusqu'à 1.600 hommes, a duré jusqu'en 2016.
Auteur: Seneweb
Comments
Et au revoir. Bon retour au pays hein. Merci Mali - merci Burkina et Centrafrique. De vrais garçons.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Ils ont encore une base en Seine-Saint-Denis Mais pas pour longtemps
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Si l'armée française quitté le Mali, la Centrafrique et le Burkina n'est pas des dépenses publiques en moins pour des pays pami les plus pauvres du monde. Qu'est ce que ces pays apportent à la France, 6ême ou 7ême puissance économique du monde. Je serais à la place de Macron j'oublie ce continent de misère pour renforcer mes relations avec les pays européens, asiatiques , américains et l'Australie.
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moi je ne vois pas où est le problème. ça prouve qu.ils tiennent leurs engagements. ils sont venus aider quand les gouvernements les a appelés à l'aide et ils sont partis quand les gouvernements leur ont demandé de partir. au siècle dernier ils venaient et ne partaient jamais et plus tard auraient fait des coup d'état pour rester... ça prouve que ceux qui voient du neocolonialisme partout en 2023 se trompent et que nos relations sont désormais plus respectueuses et plus équilibrées. et ils respectent alors meme qu'il s'agit de gouvernements non élus, issus de coup d'état et qui ne représentent donc meme pas le peuple des pays en question et que de ce fait ils pouvaient très bien dire qu'il n'acceptent une demande que si elle vient de gouvernements démocratiquement élus par les peuples des pays concernés.
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ils ont déjà beaucoup plus d'échanges avec ces continents qu'avec nous. seulement pour des raisons géographiques et culturelles (diaspora binationaux et liens familiaux) la france ne peut pas laisser des sanctuaires terroristes si près de l'europe sans courir le risque d'attentats sur son sol et de destabilisation de la sous-région
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Et ils Quitterons Bientôt le SÉNÉGAL 🇸🇳 ON EN A ASSEZ DE VOS HUMILIATION.
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Le Sénégal n'est pas une Préfecture de la France Nous garderons nous liens d'amitiés. Mais nous ne voulons plus de la présence des Militaires français Nous avons notre propre Armée
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Et comment expliquer le fait d'interdire l'armée Malienne de voler dans leur propre territoire?
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Pas de coopération avec le Brésil sil vous plaît. Car ils vont insulter la femme de Macron et il ne se passera rien. LOL. oust ! dehors de chez nous ! foutez-nous la paix bandes de fausse puissance.
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bravo la france de respecter les accords ça change. il faut continuer a tous se respecté et tout sera mieux. le peuple veut ça une relation plus égale. merci pour cette évolution et j'espère qu'on ne reviendra pas au neocolonialisme. LES haineux critiqueront toujours meme ce qui va dans le bon sens il save que dir la france est movaise tout le temps meme quand elle fait des chose bien qui sont des chose que ces meme haineux demandent en plus
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Et pendant ce Temps ils cherchent a fermer une école Panafricaine en Guadeloupe. Et veulent rester en Afrique? Quel Hypocrisies
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Ce serait bête car ils ne sont pas en opération au Sénégal mais simplement en stationnement et ils payent et consomment localement et font vivre beaucoup de Sénégalais. Ça existe partout dans le monde. Djibouti a fait fortune avec ça par exemple. Ils n'interviennent pas au Sénégal donc je ne vois pas le problème.
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Il coopèrent pourtant largement avec le Brésil qui est un pays voisin de la france et la gauche de Lula est très profrancaise. Les conflit avec bolsonaro venait de problèmes amazoniens et surtout de l'assassinat d'un cacique ameridien d'une ethnie pro francaise a cheval entre la guyane et l'amapa au brésil. Il a été tué pour des raison foncières liées a la déforestation
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Ya til des Militaires sénégalais en stationnement en France? Pourquoi devrait-il avoir des Militaires Français en stationnement au Sénégal? Pourquoi Degauelle avait it refusé quand les Militaires Américains voulaient Stationner en france après la Guerre?
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Dès que les Français quittent un pays Africain, les panafricanistes les accusent de vouloir rester ? Ca à l'air bien compliqué le panafricanisme, pas sur qu'une école suffise, il faudrait des universités.
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IL Y A régulièrement des militaires sénégalais (comme d'autres pays) en France dans le cadre de formations et de coopération meme s'ils n'ont pas de base attitrée. je dis ça parce que j'habite en france pas très loin du régimant de marche du tchad (meyenheim) et il y a souvent des militaires non français dont des sénégalais et autres africains, arabes et de l'otan avec uniforme sénégalais qui viennent en ville mais ils ne restent pas longtemps.
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🤣 🤣 🤣
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ils ont dévoyé le panafricanisme et le decridibilisent les étudiants de ces groupes doivent apprendre a dire une chose et son contraire. j'ai surtout beaucoup de doute sur leur africanité réelle
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Ya til des Militaires sénégalais en stationnement en France? Pourquoi devrait-il avoir des Militaires Français en stationnement au Sénégal? Pourquoi Degauelle avait it refusé quand les Militaires Américains voulaient Stationner en france après la Guerre?
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On en reparlera demain 26 janvier après la délibération du tribunal sur cette question.
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Retour au pays, direction Montreuil ou Sevran Ils seront pas dépaysés les commandos des forces spéciales, meme accueil chaleureux et meme population, juste la météo un peu plus fraiche
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Pour le stationnement ils payent en fonction des besoins et ils ont besoin de transiter vers les zones de conflit. C'est simplement un bail de location, de l'hébergement, ils n'interviennent pas et ne peuvent pas légalement intervenir au Sénégal. Tant qu'ils payent c'est du bénéfice pour nous. Et en plus du paiement les soldats français achètent beaucoup, leurs salaires sont très appréciés par la population et il n'y a pas de problème entre eux et les locaux donc je ne vois pas le problème. Ils ne se battent pas au Sénégal. Si le président veut les faire partir toute la population sénégalaise qui en profite va se mettre a manifester et il y aura des émeutes car ça les fait vivre et leur famille donc ne faisons pas n'importe quoi
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ne parlent pas pour les populations concernées s'il te plait ! beaucoup de gens viennent grace a leur présence et ils ne causent jamais de soucis car ils ne sont pas en opération. ils sont simplement hébergés comme beaucoup de personnes dans ce pays et consomment beaucoup.
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Si la France veut être respecter en Afrique, elle na qu'à supprimer les 11 accords coloniaux, car on est plus au temps de l'esclavage. Et puis supprimer le CFA. SINON comment comprendre que 90% de nos propres ressources partent en France pour nous laisser que 10%
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mets toi a jour. cette histoire de cfa et banque de france c'est terminé depuis des années... et a l'époque ils s'agissait simplement d'un compte a la banque de france pas d'argent que l'etat français pouvait prendre. tout est a dakar aujourd'hui.
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Et quoi sur les 11 accords coloniaux ? 🤣
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Concernant le CFA, la France attend la demande des autorités maliennes ou burkinabés Le président de la République du Mali a un salaire brut à l’engagement de 3.515.521 Franc CFA et une indemnité mensuelle forfaitaire de 2.636.640 FCA soit un salaire brut mensuel de 6.152.162 Franc CFA (6 millions…)
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Et quoi sur les 11 accords coloniaux? N'est-ce pas parcequon est toujours a l'époque colonial??
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les gens doivent arrêter De suggérer des bêtises. Beaucoup de familles vivent grace aus EFS !!!! Vous vivez confortablement mais pensez aux autres qui va payer pour ces familles ?????
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2023 et les accords coloniaux que Degualle avait signé sont toujours en vigueur au Sénégal.
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« La décolonisation est notre intérêt et par conséquent notre politique. Pourquoi resterions-nous accrochés à des dominations coûteuses, sanglantes et sans issue, alors que notre pays est à renouveler de fond en comble ? » Charles de GAULLE 11 avril 1961
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les 11 Accords Coloniaux France - Afrique (Pillage systématique de l'Afrique) 1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation. 2. La confiscation automatique des réserves financières nationales Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon. Comme conséquence, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrones et incomplètes du fait qu’elles sont pilotées directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO. Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones économiques et financières, elles sont obligées de garder 50% de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor Français, ainsi que 20% supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ». De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre équivalent à 20% des recettes d’état de l’année N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilités de retrait supérieur auprès du Trésor Français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du Trésor Français. La décision finale revient donc au Trésor Français qui a lui même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne. En d’autres mots, 80% des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte opération contrôlée par l’administration française. Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elle-même. Pire, les pays eux mêmes ne savent même pas quel est la part de réserves financières qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais détenus par l’administration du Trésor Français. Les gains issus des investissements de ces fonds au Trésor Français sont censés être rajouté à la cagnotte africaine, mais aucun compte n’est donné là dessus aux banques ni même aux pays membres. « Seul un groupe limité à six administrateurs du trésor français ont connaissance des montants du compte d’opération, du lieu d’investissement des sommes. Les banques centrales africaines n’ont pas accès à ces informations » déclarait le Dr. Gary K. Busch. 3. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires. 4. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix auprès d'un autre partenaire. En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture. 5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les «accords de défense» attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France. La situation sur le continent est telle que la France a formé des centaines, voire des milliers de « traîtres« . Ils sont tous en sommeil, et seront activés en cas de besoin pour un coup d’état ou tout autre but (Le cas Bozize en Centrafrique)! 6. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français. 7. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créé. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères. 8. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique) Voilà la vraie vache à lait pour la France. Mais la France n’est pas prête à faire tomber ce système économique datant de la colonisation qui met environ 500 milliards de dollars des caisses de l’Afrique dans sa trésorerie. 9. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves. Pas de rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit, le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions bi-annuelle des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français. 10. Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France Pourquoi les alliances militaires régionales en Afrique sont les plus faibles? La plupart des pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs! 11. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale Plus d’un million de soldats africains se sont battus auprès de la France pour la défaite du nazisme et du fascisme au cours de la seconde guerre mondiale. Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée par la France de nos jours.
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Lol comme si les Africains sont des Poupées des Français?
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Les 11 Accords Coloniaux France - Afrique (Pillage systématique de l'Afrique) 1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation. 2. La confiscation automatique des réserves financières nationales Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon. Comme conséquence, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrones et incomplètes du fait qu’elles sont pilotées directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO. Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones économiques et financières, elles sont obligées de garder 50% de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor Français, ainsi que 20% supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ». De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre équivalent à 20% des recettes d’état de l’année N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilités de retrait supérieur auprès du Trésor Français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du Trésor Français. La décision finale revient donc au Trésor Français qui a lui même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne. En d’autres mots, 80% des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte opération contrôlée par l’administration française. Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elle-même. Pire, les pays eux mêmes ne savent même pas quel est la part de réserves financières qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais détenus par l’administration du Trésor Français. Les gains issus des investissements de ces fonds au Trésor Français sont censés être rajouté à la cagnotte africaine, mais aucun compte n’est donné là dessus aux banques ni même aux pays membres. « Seul un groupe limité à six administrateurs du trésor français ont connaissance des montants du compte d’opération, du lieu d’investissement des sommes. Les banques centrales africaines n’ont pas accès à ces informations » déclarait le Dr. Gary K. Busch. 3. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires. 4. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix auprès d'un autre partenaire. En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture. 5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les «accords de défense» attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France. La situation sur le continent est telle que la France a formé des centaines, voire des milliers de « traîtres« . Ils sont tous en sommeil, et seront activés en cas de besoin pour un coup d’état ou tout autre but (Le cas Bozize en Centrafrique)! 6. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français. 7. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créé. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères. 8. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique) Voilà la vraie vache à lait pour la France. Mais la France n’est pas prête à faire tomber ce système économique datant de la colonisation qui met environ 500 milliards de dollars des caisses de l’Afrique dans sa trésorerie. 9. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves. Pas de rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit, le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions bi-annuelle des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français. 10. Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France Pourquoi les alliances militaires régionales en Afrique sont les plus faibles? La plupart des pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs! 11. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale Plus d’un million de soldats africains se sont battus auprès de la France pour la défaite du nazisme et du fascisme au cours de la seconde guerre mondiale. Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée par la France de nos jours.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les 11 Accords Coloniaux France - Afrique (Pillage systématique de l'Afrique) 1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation. 2. La confiscation automatique des réserves financières nationales Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon. Comme conséquence, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrones et incomplètes du fait qu’elles sont pilotées directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO. Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones économiques et financières, elles sont obligées de garder 50% de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor Français, ainsi que 20% supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ». De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre équivalent à 20% des recettes d’état de l’année N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilités de retrait supérieur auprès du Trésor Français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du Trésor Français. La décision finale revient donc au Trésor Français qui a lui même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne. En d’autres mots, 80% des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte opération contrôlée par l’administration française. Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elle-même. Pire, les pays eux mêmes ne savent même pas quel est la part de réserves financières qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais détenus par l’administration du Trésor Français. Les gains issus des investissements de ces fonds au Trésor Français sont censés être rajouté à la cagnotte africaine, mais aucun compte n’est donné là dessus aux banques ni même aux pays membres. « Seul un groupe limité à six administrateurs du trésor français ont connaissance des montants du compte d’opération, du lieu d’investissement des sommes. Les banques centrales africaines n’ont pas accès à ces informations » déclarait le Dr. Gary K. Busch. 3. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires. 4. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix auprès d'un autre partenaire. En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture. 5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les «accords de défense» attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France. La situation sur le continent est telle que la France a formé des centaines, voire des milliers de « traîtres« . Ils sont tous en sommeil, et seront activés en cas de besoin pour un coup d’état ou tout autre but (Le cas Bozize en Centrafrique)! 6. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français. 7. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créé. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères. 8. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique) Voilà la vraie vache à lait pour la France. Mais la France n’est pas prête à faire tomber ce système économique datant de la colonisation qui met environ 500 milliards de dollars des caisses de l’Afrique dans sa trésorerie. 9. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves. Pas de rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit, le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions bi-annuelle des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français. 10. Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France Pourquoi les alliances militaires régionales en Afrique sont les plus faibles? La plupart des pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs! 11. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale Plus d’un million de soldats africains se sont battus auprès de la France pour la défaite du nazisme et du fascisme au cours de la seconde guerre mondiale. Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée par la France de nos jours.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les 11 Accords Coloniaux France - Afrique (Pillage systématique de l'Afrique) 1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation. 2. La confiscation automatique des réserves financières nationales Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon. Comme conséquence, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrones et incomplètes du fait qu’elles sont pilotées directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO. Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones économiques et financières, elles sont obligées de garder 50% de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor Français, ainsi que 20% supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ». De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre équivalent à 20% des recettes d’état de l’année N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilités de retrait supérieur auprès du Trésor Français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du Trésor Français. La décision finale revient donc au Trésor Français qui a lui même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne. En d’autres mots, 80% des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte opération contrôlée par l’administration française. Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elle-même. Pire, les pays eux mêmes ne savent même pas quel est la part de réserves financières qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais détenus par l’administration du Trésor Français. Les gains issus des investissements de ces fonds au Trésor Français sont censés être rajouté à la cagnotte africaine, mais aucun compte n’est donné là dessus aux banques ni même aux pays membres. « Seul un groupe limité à six administrateurs du trésor français ont connaissance des montants du compte d’opération, du lieu d’investissement des sommes. Les banques centrales africaines n’ont pas accès à ces informations » déclarait le Dr. Gary K. Busch. 3. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires. 4. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix auprès d'un autre partenaire. En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture. 5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les «accords de défense» attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France. La situation sur le continent est telle que la France a formé des centaines, voire des milliers de « traîtres« . Ils sont tous en sommeil, et seront activés en cas de besoin pour un coup d’état ou tout autre but (Le cas Bozize en Centrafrique)! 6. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français. 7. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créé. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères. 8. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique) Voilà la vraie vache à lait pour la France. Mais la France n’est pas prête à faire tomber ce système économique datant de la colonisation qui met environ 500 milliards de dollars des caisses de l’Afrique dans sa trésorerie. 9. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves. Pas de rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit, le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions bi-annuelle des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français. 10. Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France Pourquoi les alliances militaires régionales en Afrique sont les plus faibles? La plupart des pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs! 11. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale Plus d’un million de soldats africains se sont battus auprès de la France pour la défaite du nazisme et du fascisme au cours de la seconde guerre mondiale. Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée par la France de nos jours.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les 11 Accords Coloniaux France - Afrique (Pillage systématique de l'Afrique) 1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation. 2. La confiscation automatique des réserves financières nationales Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon. Comme conséquence, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrones et incomplètes du fait qu’elles sont pilotées directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO. Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones économiques et financières, elles sont obligées de garder 50% de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor Français, ainsi que 20% supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ». De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre équivalent à 20% des recettes d’état de l’année N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilités de retrait supérieur auprès du Trésor Français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du Trésor Français. La décision finale revient donc au Trésor Français qui a lui même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne. En d’autres mots, 80% des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte opération contrôlée par l’administration française. Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elle-même. Pire, les pays eux mêmes ne savent même pas quel est la part de réserves financières qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais détenus par l’administration du Trésor Français. Les gains issus des investissements de ces fonds au Trésor Français sont censés être rajouté à la cagnotte africaine, mais aucun compte n’est donné là dessus aux banques ni même aux pays membres. « Seul un groupe limité à six administrateurs du trésor français ont connaissance des montants du compte d’opération, du lieu d’investissement des sommes. Les banques centrales africaines n’ont pas accès à ces informations » déclarait le Dr. Gary K. Busch. 3. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires. 4. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix auprès d'un autre partenaire. En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture. 5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les «accords de défense» attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France. La situation sur le continent est telle que la France a formé des centaines, voire des milliers de « traîtres« . Ils sont tous en sommeil, et seront activés en cas de besoin pour un coup d’état ou tout autre but (Le cas Bozize en Centrafrique)! 6. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français. 7. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créé. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères. 8. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique) Voilà la vraie vache à lait pour la France. Mais la France n’est pas prête à faire tomber ce système économique datant de la colonisation qui met environ 500 milliards de dollars des caisses de l’Afrique dans sa trésorerie. 9. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves. Pas de rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit, le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions bi-annuelle des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français. 10. Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France Pourquoi les alliances militaires régionales en Afrique sont les plus faibles? La plupart des pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs! 11. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale Plus d’un million de soldats africains se sont battus auprès de la France pour la défaite du nazisme et du fascisme au cours de la seconde guerre mondiale. Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée par la France de nos jours.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Encore qui contingent qui ferait mieux d'aller en ukraine au lieu de se trimballer en Afrique.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Assimi Goita est au pouvoir depuis Aout 2020 Quel accord secret a t'il signé avec Macron pour etre toujours payé en CFA ? Cumulé avec son salaire en rouble, il se met à l'aise le nouveau messie des panafricains Bien placé en Suisse chez Nathalie Yamb, ça lui fera une retraite confortable à Dubai
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les 11 Accords Coloniaux France - Afrique (Pillage systématique de l'Afrique) 1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation. 2. La confiscation automatique des réserves financières nationales Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon. Comme conséquence, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrones et incomplètes du fait qu’elles sont pilotées directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO. Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones économiques et financières, elles sont obligées de garder 50% de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor Français, ainsi que 20% supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ». De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre équivalent à 20% des recettes d’état de l’année N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilités de retrait supérieur auprès du Trésor Français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du Trésor Français. La décision finale revient donc au Trésor Français qui a lui même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne. En d’autres mots, 80% des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte opération contrôlée par l’administration française. Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elle-même. Pire, les pays eux mêmes ne savent même pas quel est la part de réserves financières qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais détenus par l’administration du Trésor Français. Les gains issus des investissements de ces fonds au Trésor Français sont censés être rajouté à la cagnotte africaine, mais aucun compte n’est donné là dessus aux banques ni même aux pays membres. « Seul un groupe limité à six administrateurs du trésor français ont connaissance des montants du compte d’opération, du lieu d’investissement des sommes. Les banques centrales africaines n’ont pas accès à ces informations » déclarait le Dr. Gary K. Busch. 3. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires. 4. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix auprès d'un autre partenaire. En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture. 5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les «accords de défense» attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France. La situation sur le continent est telle que la France a formé des centaines, voire des milliers de « traîtres« . Ils sont tous en sommeil, et seront activés en cas de besoin pour un coup d’état ou tout autre but (Le cas Bozize en Centrafrique)! 6. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français. 7. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créé. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères. 8. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique) Voilà la vraie vache à lait pour la France. Mais la France n’est pas prête à faire tomber ce système économique datant de la colonisation qui met environ 500 milliards de dollars des caisses de l’Afrique dans sa trésorerie. 9. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves. Pas de rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit, le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions bi-annuelle des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français. 10. Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France Pourquoi les alliances militaires régionales en Afrique sont les plus faibles? La plupart des pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs! 11. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale Plus d’un million de soldats africains se sont battus auprès de la France pour la défaite du nazisme et du fascisme au cours de la seconde guerre mondiale. Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée par la France de nos jours.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
OUFF le Bourkina se débarasse de l'armée qui compte le plus de soldats pedophiles. Soulagement pour les enfants bourkinabe après les jeunes filles centrafricains
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les 11 Accords Coloniaux France - Afrique (Pillage systématique de l'Afrique) 1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation. 2. La confiscation automatique des réserves financières nationales Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon. Comme conséquence, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrones et incomplètes du fait qu’elles sont pilotées directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO. Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones économiques et financières, elles sont obligées de garder 50% de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor Français, ainsi que 20% supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ». De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre équivalent à 20% des recettes d’état de l’année N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilités de retrait supérieur auprès du Trésor Français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du Trésor Français. La décision finale revient donc au Trésor Français qui a lui même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne. En d’autres mots, 80% des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte opération contrôlée par l’administration française. Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elle-même. Pire, les pays eux mêmes ne savent même pas quel est la part de réserves financières qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais détenus par l’administration du Trésor Français. Les gains issus des investissements de ces fonds au Trésor Français sont censés être rajouté à la cagnotte africaine, mais aucun compte n’est donné là dessus aux banques ni même aux pays membres. « Seul un groupe limité à six administrateurs du trésor français ont connaissance des montants du compte d’opération, du lieu d’investissement des sommes. Les banques centrales africaines n’ont pas accès à ces informations » déclarait le Dr. Gary K. Busch. 3. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires. 4. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix auprès d'un autre partenaire. En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture. 5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les «accords de défense» attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France. La situation sur le continent est telle que la France a formé des centaines, voire des milliers de « traîtres« . Ils sont tous en sommeil, et seront activés en cas de besoin pour un coup d’état ou tout autre but (Le cas Bozize en Centrafrique)! 6. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français. 7. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créé. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères. 8. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique) Voilà la vraie vache à lait pour la France. Mais la France n’est pas prête à faire tomber ce système économique datant de la colonisation qui met environ 500 milliards de dollars des caisses de l’Afrique dans sa trésorerie. 9. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves. Pas de rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit, le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions bi-annuelle des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français. 10. Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France Pourquoi les alliances militaires régionales en Afrique sont les plus faibles? La plupart des pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs! 11. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale Plus d’un million de soldats africains se sont battus auprès de la France pour la défaite du nazisme et du fascisme au cours de la seconde guerre mondiale. Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée par la France de nos jours.
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Il reste le Niger, le Tchad, et enfin le Sénégal
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Faux sous Wade ils étaient sur le départ, c'est Macky qui a mis un frein au processus.
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Arrête il ne font que baiser des putes,
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L'armée des pédophiles est encore chassée... l'armée française ne restera que dans pays ou les soldats sont des yambars ou pseudo jambars
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Merde a la france
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Ouah si je suis ton raisonnement, l'état français est plus que généreux. Ils viennent dans ces pays là en mission humanitaire et dépensent à perte pour ces pays qui leur demandent de quitter... bien sûr que si l'armée française est déployée dans les anciennes colonies, c'est pour continuer à tirer ce qui a de meilleur comme ressources dans ces pays là...
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Macron l'a dit aux présidents Africain lors du dernier sommet France Afrique en France . Demandez-moi de quitter votre pays, je le quitte. Je serai bien qu'ils demandent tous et ce serait l'occasion de voir que souveraineté n'est pas qu'un mot.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Maintenant Macron, il s'agit de faire rentrer dans leur pays tous ces habitants qui trainent en France et qui sont nécéssaires au développement du leur pour travailler à leur développement et pour constituer leur défense....
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Maintenant Macron, il s'agit de faire rentrer dans leur pays tous ces habitants qui trainent en France et qui sont nécéssaires au développement du leur pour travailler à leur développement et pour constituer leur défense....
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Allez..... oust 😂
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alisa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante ->>> WWW.X21.FUN
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour, je m'appelle Alissia, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante >> WWW.X21.FUN id09536060
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