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Le Premier ministre malien accuse la France d'avoir œuvré à la division du pays

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Le Premier ministre malien, Choguel Maïga, lors d'un entretien avec l'AFP, le 26 septembre 2021, à New York

Dans une nouvelle charge virulente devant des diplomates en poste à Bamako, le Premier ministre malien, Choguel Kokalla Maïga, a accusé, lundi, la France d'avoir volontairement cherché à diviser le pays à travers son engagement militaire.
La France a divisé le Mali, selon le Premier ministre malien, Choguel Kokalla Maïga. Ce dernier a accusé, lundi 7 février, la France d'avoir œuvré à la partition de son pays à travers son engagement militaire, dans une nouvelle charge virulente devant des diplomates en poste à Bamako.
Choguel Kokalla Maïga, chef du gouvernement installé par la junte arrivée au pouvoir à la faveur de deux putschs successifs en août 2020 et juin 2021, s'en est pris à la France durant plus de 45 minutes, devant les diplomates réunis à sa demande à la Primature, sans aller jusqu'à demander explicitement le retrait de la force antijihadiste Barkhane conduite par Paris.
Partition du Mali
"Après (un) temps d'allégresse" en 2013 quand les soldats français ont libéré le nord du Mali tombé sous la coupe de groupes jihadistes, "l'intervention s'est muée dans un deuxième temps en une opération de partition de fait du Mali qui a (consisté dans) la sanctuarisation d'une partie de notre territoire, où les terroristes ont eu le temps de se réfugier, de se réorganiser pour revenir en force à partir de 2014", a-t-il estimé.
Dans un contexte de vives tensions entre Paris et Bamako, il a convoqué le souvenir de la Seconde Guerre mondiale : "Les Américains n'ont-ils pas libéré la France ? (...) Quand les Français ont jugé que (la présence américaine en France, ndlr) n'était plus nécessaire, ils ont dit aux Américains de partir, est-ce que les Américains se sont mis à insulter les Français ?", a-t-il dit.
Depuis que l'organisation des Éœtats ouest-africains (Cédéao) a imposé au Mali le 9 janvier des sanctions soutenues par la France et différents partenaires du pays, la junte s'arc-boute sur la souveraineté du territoire.
"Le sabre"
Les autorités maliennes accusent la France, ex-puissance coloniale, d'avoir instrumentalisé la Cédéao. L'objectif est "de nous présenter comme un paria, avec l'objectif inavoué et inavouable à court terme d'asphyxier l'économie afin d'aboutir pour le compte de qui l'on sait et par procuration à la déstabilisation et au renversement des institutions de la transition", a dit M. Maïga.
Les dirigeants français "n'ont jamais dit à leur opinion publique, quand ils intervenaient en 2013, qu'ils allaient diviser le Mali", a-t-il dit.
"On ne peut pas nous vassaliser, on ne peut pas transformer le pays en esclave ; ça, c'est terminé", a-t-il poursuivi en référence à la colonisation.
M. Maïga s'est aussi attaqué à Takuba, groupement européen de forces spéciales initié par la France et destiné à accompagner les soldats maliens au combat face aux jihadistes.
Takuba, "c'est pour diviser le Mali. C'est ‘le sabre’, en (langue) songhai et en tamasheq, ça n'est pas un nom qui a été pris par hasard", a-t-il dit.
"Débordements"
En plus de retarder le retour des civils au pouvoir, la France et ses partenaires européens ou américains reprochent à la junte d'avoir fait appel au sulfureux groupe russe de mercenaires Wagner, ce qu'elle conteste.
Devant les diplomates, au premier rang desquels l'ambassadeur russe Igor Gromyko, M. Maïga a assimilé les soldats de la Légion étrangère, corps de l'armée française, à des mercenaires.
Il a évoqué le rappel en février 2020 - avant la prise du pouvoir par les colonels maliens - de l'ambassadeur malien à Paris Toumani Djimé Diallo. Celui-ci avait provoqué la colère des autorités françaises en accusant des soldats français de "débordements" dans les quartiers chauds de Bamako.
Les autorités maliennes avaient rappelé le diplomate à la demande de la France "sur la base de simples déclarations (...) sur le comportement peu orthodoxe de certains légionnaires français au Mali, j'allais dire mercenaires", a déclaré M. Maïga.
Auteur: France 24
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Comments

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    il y a 3 ans

    Toi là ne nous tympanique pas.Continues à comploter avec tes militaires putschistes pour profiter du pouvoir .Alors qu'ils devaient être en ce moment au front pour contrer les djihadistes. Wasalam

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    Ml il y a 3 ans

    Je suis contre les coup de force en Afrique mais on doit reconnaître le trouble de la présence française au Mali. il est clair que toutes ces troupes équipées de moyens colossaux n'ont pas pour seule intention d'aider le Mali à restaurer son autorité sur son territoire. la france semble retrouver ses petites combines du siècle dernier aujourd'hui dépassées. si vous êtes là pour nous aider ok sinon dégagez.mais on voit bien que vos intentions sont funestes et vous voulez reproduire le scénario de la partition du Soudan au Mali . Degagez vite et nous préférerons mil fois Wagner à vos légionnaires   

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    reply_author il y a 3 ans

    Suppôt de la France va te mettre un suppositoire  dans ton anus ça va te calmer un peu

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    reply_author il y a 3 ans

    Suppôt de la France va te mettre un suppositoire  dans ton anus ça va te calmer un peu

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    reply_author il y a 3 ans

    Suppôt de la France va te mettre un suppositoire  dans ton anus ça va te calmer un peu

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    reply_author il y a 3 ans

    Suppôt de la France va te mettre un suppositoire  dans ton anus ça va te calmer un peu

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    reply_author il y a 3 ans

    Peuple malien que je suis fier de vos nouvelles autorités, ils ont tout compris et prennent leur destin en main.   Ne vous souciez guère des africains lèche bottes, qui ont un comportement de negre de maison comme jadis.   Maliens et Centre africains, votre chemin est le bon, avancez oui avancez.

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    reply_author il y a 3 ans

    pouvez vous etre plus précis et nous éclairer sur les objectifs francais

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    anonyme il y a 3 ans

    Ce PM sera bientôt  déposé. Son intransigeance  n errange pas  la  junte 

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    Astou il y a 3 ans

    Defendre la france, un empire coloniale qui s'accroche à ses colonies est une honte. Des colabos et des traitres il en aura toujours. Ce sont des noires qui formaient l'esentielle des armee coloniale francaise, ce sont des noirs qui ont vendu leur frere en esclave, ce sont des noirs qui dirigent nos pays au benefice de la france, ce sont des noir qui gerent le CFA pour la france etc. 

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    Manam il y a 3 ans

    Pour la France, la survie du françafrique (colonialisme) passe par plus de partitions de peuples africains. Elle a échoué en Centrafrique grace aux russes. Au Mali, elle compte sur les pays de l'UE et de L'Otan.

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    Atapp il y a 3 ans

    Copiez le parrainage du senegal et allez y aux élections choisis celui qui continuer la refondation du mali. 

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    reply_author il y a 3 ans

    Peuple malien vous aurez l honneur d être les pionniers de la Libération de la zone CFA 

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    Hé! il y a 3 ans

    Bof... De toutes façons, il nous sert le classique "C'est la France".   Quand un Malien / Africain tue un autre Malien / Africain, la France n'est pas responsable. C'est "Bisso Na Bisso" - comme disent les Congolais - pour dire c'est "Nous dans nous"   Continuons ainsi, puisque nous avons décidé d'être LES IDIOTS DE LA PLANETE.

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    il y a 3 ans

    Ce PM doit travailler a la remise du pouvoir a des civils et arreter de comploter en utilisant comme justification la France. Cette junte ne dit pas clairement qu'elle ne veut plus des francais mais joue a pourrir la situation pour que ceux ci partent pour qu'ils puissent installer les russes de Wagner qui les soutiendront meme pour une presidence a vie. Le peuple malien quand il va se reveiller il sera bien trop tard et ceux qui soutenaient ces voyous vont se mettre a les insulter.

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    il y a 3 ans

    Tous des manipulateurs, dissulateurs et menteurs, ces politiciens. A leur image, yolom guégno, qui a fait du 'jébelou' extraordinaire devant Serigne Mountakha Mbacké. TANT MIEUX CELA ME RASSURE UN PEU Mais il a l'obligation morale et républicaine de dénoncer PUBLIQUEMENT les objectifs sécessionnistes du mfdc et de condamner la prise d otages de militaires sénégalais engagés au sein de l'Ecomog en Gambie Et il a intérêt à régler son problème avec la justice C'est à ce moment qu il sera potentiellement crédité de confiance de la part des sénégalais

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    tangana il y a 3 ans

    Maïga sers nous plutôt un chocolat chaud ma gueule et un coca cola, puisque tu as un nom de n'importe quoi!Choguel Kokalla Maïga un véritable nom de putchiste.

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    l'idiot il y a 3 ans

    Maïga chaud-gueule coca cola ah ah ah j'avais pas compris mdr

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    Ehhadi FAYE il y a 3 ans

    Maïga a commencé sa carrière (exclusivement politique) comme apparatchik "jeunesse" de Moussa Traoré, le dictateur militaire qui épuisa l'économie du pays par ses vols et ceux de l'armée, avec le soutien (surtout idéologique) des Soviétiques.Mais à cette époque bénie, les populations du Nord étaient en position de faiblesse, entre famine, sécheresse et exactions de l'armée. C'est Moussa Traoré qui a exacerbé le séparatisme du Nord.Aujourd'hui les djihadistes surarmés et aguerris sont à quelques heures de pick-up de Bamako. Le départ de Barkhane précèdera de peu leur arrivée. Tout ce qu'il peut espérer c'est finir ses jours comme collaborateur de l'imam Dicko. Avec des manifestations de masse bien organisées pour le soutenir.Triste pour les Maliens. A eux de voir

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    Diouf il y a 3 ans

    On pourrait faire un jeu :- on compte le nombre de phrases dans lesquelles il insulte la France et les dirigeants de la CEDEAO- puis on compte le nombre de phrases dans lesquelles il détaille ce qu'il a déjà fait pour résoudre réellement et concrètement certains des problèmes du MaliPuis on compare.....

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    PM irresponsable il y a 3 ans

    Ce Choguel est un dangereux pyromane opportuniste qui veut garder son poste et plaire à la junte. Facile de traiter la France aujourd'hui de tous les maux du Mali. Oublié d'avouer que que ceux qui devaient combattre les jihadistes, se cachaient derrière de jeunes soldats français qui débarquaient pour la première fois de leur vie en terre sahélienne aride.

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    reply_author il y a 3 ans

    Les civiles ne sont pas prédestinés non plus pour nous diriger. la preuve est faite qui ils sont loin d'être plus compétents et privés face aux deniers publics. Alors civils pour civil parce que civils, NON

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    il y a 3 ans

    Bonjour El Hadji Faye. Excuses moi mais waxo fi dara dara dara dara dara. Soyez africains waay!

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    il y a 3 ans

    J ai beaucoup d amis ivroriens qui ont immigrés eux même ou leur parents du Mali ou de la Guinée C vers la côte d ivroire. Ditto pour tes amis sénégalais d origines maliennes ou guinéennes. C est rare de voir l inverse. Un ivroirien de souche ou un boy Dakar avec un passport malien ou guinéen. Je sais que les tailleurs SN sont partout en Afrique.  D apres mon analyse cela veut dire qu'il a des problèmes dans ces pays aussi

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    il y a 3 ans

    Il est bien d'être africains, noirs , patriotes ....... pardon je me trompe pour patriotes !!! Car il aurait été plus facile de dire non à la France des le départ . Lorsque'il a fallut barrer la route aux djihadistes ,le va Mali n'avait qu'à assumer sur le moment . Quand sur notre continent on ne tendra plus la main et bien on aura plus de chance de ne rien y trouver . Wa Salam

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    Cheikh Anta Diop il y a 3 ans

    n'oublions pas les tirailleurs lors de la guerre mondiale, c'est eux qui ont défendu la france et les européens dans le champ de bataille ( des milliers de tirailleurs africains tombés au combat), n'oublions pas le massacre de Thiaroye 44 (des centaines de soldats africains tués injustement) , n'oublions pas le massacre en Cameroun ( presque 1000 personnes lors des expériences), donc dire que les français se sacrifient ( plus d'une cinquantaine de soldats tués) pour les Maliens est PIRE HYPOCRISIE, la france doit dégager de nos terres et récemment le petit macron l'a dit haut et fort " NOTRE AVENIR SE JOUE EN AFRIQUE"

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    il y a 3 ans

    Le stupéfiant et terrifiant dialogue entre Macron et Poutine   CHRONIQUE Vincent Jauvert     Affaires secrètes     Les présidents français et russe ont crûment rappelé, lors de leur conférence de presse lundi soir, que la crise ukrainienne est un bras de fer entre de grandes puissances capables de vitrifier des millions de gens.

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    il y a 3 ans

    Le stupéfiant et terrifiant dialogue entre Macron et PoutineLes présidents français et russe ont crûment rappelé, lors de leur conférence de presse lundi soir, que la crise ukrainienne est un bras de fer entre de grandes puissances capables de vitrifier des millions de gens.

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    Bon, non, Choguel il y a 3 ans

    La division du Mali, ce sont les Maliens qui l'ont d'abord fait, en développant le sud au détriment du Nord laissé à lui - même. Ensuite les djihadistes ont coupé le pays en deux. Et cela va continuer si la France s'en va. Vous avez été incapables de construire une unité nationale. Facile de s'en prendre à la France pour vous voiler la face. Choquzl, tu n'aurais jamais gouté au pouvoir avec tes 2% aux élections. Profites...

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    reply_author il y a 3 ans

    Agent cocorico

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    Réfléchissons un peu il y a 3 ans

    « Junte », « putschistes », « mutins », etc. ces termes qui ne collent pas du aux réalités des régimes de transition militaire ouest-africains actuels Avant de répéter comme des perroquets un mot pour désigner quelqu’un ou un phénomène, il faut d’abord comprendre véritablement la signification de ce mot et voir s’il colle à la réalité que nous souhaitons exprimer. Le terme « junte » désigne les pouvoirs autoritaires de militaires qui utilisent la force des armes pour réduire les populations au silence le plus total. Dans un régime de « junte », les populations sont intimidées, bâillonnées, massacrées par des militaires qui abusent de leurs armes. Les « putschistes » et « mutins » ce sont des militaires ne représentent pas la majorité et la volonté populaire. Ce sont des militaires qui ont pris le pouvoir par les armes pour sauvegarder leur propre intérêt et ceux de leurs partisans et qui sont prêts à plonger leur pays dans la guerre civile et le chaos le plus absolu. Or ces trois termes (« junte », « putschistes » et « mutins ») ne correspondent à aucune réalité de des régimes actuels de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso. Ce qui se passe dans ces pays ouest-africains où les militaires ont pris le pouvoir, est qu’ils ont rallié les masses populaires et décider de renverser les pouvoirs civils corrompus, traîtres, collaborateurs du néocolonialisme, des présidents soit disant élus démocratiquement alors que ce sont des valets, des laquais, des « nègres de maison » qui ont abimé les États africains. Les populations sont en parfaite symbiose avec les nouveaux régimes de transition militaires. La preuve, on a vu plus de 6 millions de Maliens qui sont sortis le 14 janvier dans toutes les villes et villages du pays pour manifester leur soutien au régime militaire et fustiger les sanctions des organisations internationales et l’utilisations des médias mensonges de la Francafrique contre leur pays. On a vu les fortes mobilisations en Guinée et au Burkina Faso où les populations soutiennent mordicus les régimes de transitions militaires. Les militaires sont arrivés au pouvoir parce que les États civils corrompus ont failli, ont été incapables de sécuriser les populations, de les soigner, de les offrir une éducation digne, et plus grave ces régimes couverts par les médias des néocolonialistes ont vendu leur âme au diable. Ils sont décrits comme démocratiques alors que ce sont traitres, des vendus, qui ne se soucient jamais de l’intérêt des peuples. Aucun Africain, aucune Africaine doué (e) de raison, normal (e) et conscient (e) ne peut être d’accord avec des régimes corrompus qui collaborent avec les néocolonialistes et acceptent le pillage des ressources pendant que les peuples vivent dans la plus grande misère et l’abandon le plus total. On peut comprendre que les médias de la Francafrique et leurs alliés dans le monde utilisent la propagande, qu’ils diabolisent les régimes de transition militaire et leur collant des termes et expressions qui ne correspondent pas à leurs actions, à leur réalité et à leur objectif, on peut comprendre cela car comme on dit : à la guerre comme à la guerre. Mais ce qui est incompréhensible c’est que des Africains qui célèbrent d’un côté l’arrivée des régimes et les applaudissent, reprennent comme des perroquets des termes et concepts inventés par des adversaires pour affaiblir et diaboliser les régimes de transitions militaires ouest-africains. Africains conscients, panafricains, combattants de la liberté, de la dignité et de la souveraineté des États africains, ne répétez pas les mots et expressions toxiques, manipulateurs, dangereux et mensongers qu’utilisent les médias de la Francafrique pour combattre des régimes de transition militaire qui sont venus nous sauver et restaurer la paix, la sécurité et enclencher le développer dans nos pays. Évitez les mots qui créent des maux.

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    il y a 3 ans

    Bravo. Vive le Mali. L'indépendance s'acquiert dans la fermeté et le travail.

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    il y a 3 ans

    Ce Choguel et ses copains putschistes sont des usurpateurs et des populistes égoïstes 

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    reply_author il y a 3 ans

    Vous avez parfaitement raison les militaires maliens n'ont qu'à d'abord aller défendre le Mali au front à la place des des militaires français une fois fait le reste c'est leur problème. 

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    il y a 3 ans

    Le soi-disant general de Gaulle fut un putshiste qui n'a jamais ete' au front.   Il etait venu se cacher en Afrique envoyant les africains appele' tirailleurs senegalais qui ont fait la guerre de liberation a la place des petits blancs.

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    cheikh anta diop il y a 3 ans

    seneweb, arrêtez de supprimer les commentaires, bande de collabos

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    Senegal il y a 3 ans

    Je ne comprends pas avec toute cette animosité pourquoi la junte Militaire ne demande pas officiellement la France à dégager le planché. Je ne vois que du populisme pour légitimer aux yeux des Africains la prise de force du pouvoir. Rendez le pouvoir aux civils, c'est à eux de décider avec qui entretenir des relations diplomatiques ou pas, ce n'est pas aux militaires de décider à la place d'une population souveraine.

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    il y a 3 ans

    soit il fume du yamba.. Soit il a pas reçu sa dot de la France. Dans tout les cas il va dans quelques mois confronté aux barbus. La France ne sera plus au Mali et cela est tres bien. La suite est proche...... 

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    il y a 3 ans

    une aide qui n'aidepas n'est pas uneaide. Apres 8 ans sans  resultat la france doit sortire du Mali. Si la france veut aider elle n'a qu'aider L'UKRAINE qui est un pays europeen. La france est prete a negosier entre la Russie et L'UKRAINE mais les Maliens ne doiventpas negosier entre eux pourquoi la france veut a tous pris rester au Mali?

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    il y a 3 ans

    Ce n'est qu'au Mali qu'on trouve des militaires milliardaires,.

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    On doit réfléchir un peu il y a 3 ans

    J'espère que seneweb ne va encore supprimer mon message. Je le remettrai autant de fois que nécessair, j'informe les non avertis, c'est tout:  « Junte », « putschistes », « mutins », etc. ces termes qui ne collent pas du tout aux réalités des régimes de transition militaire ouest-africains actuels Avant de répéter comme des perroquets un mot pour désigner quelqu’un ou un phénomène, il faut d’abord comprendre véritablement la signification de ce mot et voir s’il colle à la réalité que nous souhaitons exprimer. Le terme « junte » désigne les pouvoirs autoritaires de militaires qui utilisent la force des armes pour réduire les populations au silence le plus total. Dans un régime de « junte », les populations sont intimidées, bâillonnées, massacrées par des militaires qui abusent de leurs armes. Les « putschistes » et « mutins » ce sont des militaires ne représentent pas la majorité et la volonté populaire. Ce sont des militaires qui ont pris le pouvoir par les armes pour sauvegarder leur propre intérêt et ceux de leurs partisans et qui sont prêts à plonger leur pays dans la guerre civile et le chaos le plus absolu. Or ces trois termes (« junte », « putschistes » et « mutins ») ne correspondent à aucune réalité de des régimes actuels de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso. Ce qui se passe dans ces pays ouest-africains où les militaires ont pris le pouvoir, est qu’ils ont rallié les masses populaires et décider de renverser les pouvoirs civils corrompus, traîtres, collaborateurs du néocolonialisme, des présidents soit disant élus démocratiquement alors que ce sont des valets, des laquais, des « nègres de maison » qui ont abimé les États africains. Les populations sont en parfaite symbiose avec les nouveaux régimes de transition militaires. La preuve, on a vu plus de 6 millions de Maliens qui sont sortis le 14 janvier dans toutes les villes et villages du pays pour manifester leur soutien au régime militaire et fustiger les sanctions des organisations internationales et l’utilisations des médias mensonges de la Francafrique contre leur pays. On a vu les fortes mobilisations en Guinée et au Burkina Faso où les populations soutiennent mordicus les régimes de transitions militaires. Les militaires sont arrivés au pouvoir parce que les États civils corrompus ont failli, ont été incapables de sécuriser les populations, de les soigner, de les offrir une éducation digne, et plus grave ces régimes couverts par les médias des néocolonialistes ont vendu leur âme au diable. Ils sont décrits comme démocratiques alors que ce sont traitres, des vendus, qui ne se soucient jamais de l’intérêt des peuples. Aucun Africain, aucune Africaine doué (e) de raison, normal (e) et conscient (e) ne peut être d’accord avec des régimes corrompus qui collaborent avec les néocolonialistes et acceptent le pillage des ressources pendant que les peuples vivent dans la plus grande misère et l’abandon le plus total. On peut comprendre que les médias de la Francafrique et leurs alliés dans le monde utilisent la propagande, qu’ils diabolisent les régimes de transition militaire et leur collant des termes et expressions qui ne correspondent pas à leurs actions, à leur réalité et à leur objectif, on peut comprendre cela car comme on dit : à la guerre comme à la guerre. Mais ce qui est incompréhensible c’est que des Africains qui célèbrent d’un côté l’arrivée des régimes et les applaudissent, reprennent comme des perroquets des termes et concepts inventés par des adversaires pour affaiblir et diaboliser les régimes de transitions militaires ouest-africains. Africains conscients, panafricains, combattants de la liberté, de la dignité et de la souveraineté des États africains, ne répétez pas les mots et expressions toxiques, manipulateurs, dangereux et mensongers qu’utilisent les médias de la Francafrique pour combattre des régimes de transition militaire qui sont venus nous sauver et restaurer la paix, la sécurité et enclencher le développer dans nos pays. Évitez les mots qui créent des maux.

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    Il faut réflechir seneweb il y a 3 ans

    « Junte », « putschistes », « mutins », etc. ces termes qui ne collent pas du tout aux réalités des régimes de transition militaire ouest-africains actuels Avant de répéter comme des perroquets un mot pour désigner quelqu’un ou un phénomène, il faut d’abord comprendre véritablement la signification de ce mot et voir s’il colle à la réalité que nous souhaitons exprimer. Le terme « junte » désigne les pouvoirs autoritaires de militaires qui utilisent la force des armes pour réduire les populations au silence le plus total. Dans un régime de « junte », les populations sont intimidées, bâillonnées, massacrées par des militaires qui abusent de leurs armes. Les « putschistes » et « mutins » ce sont des militaires ne représentent pas la majorité et la volonté populaire. Ce sont des militaires qui ont pris le pouvoir par les armes pour sauvegarder leur propre intérêt et ceux de leurs partisans et qui sont prêts à plonger leur pays dans la guerre civile et le chaos le plus absolu. Or ces trois termes (« junte », « putschistes » et « mutins ») ne correspondent à aucune réalité de des régimes actuels de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso. Ce qui se passe dans ces pays ouest-africains où les militaires ont pris le pouvoir, est qu’ils ont rallié les masses populaires et décider de renverser les pouvoirs civils corrompus, traîtres, collaborateurs du néocolonialisme, des présidents soit disant élus démocratiquement alors que ce sont des valets, des laquais, des « nègres de maison » qui ont abimé les États africains. Les populations sont en parfaite symbiose avec les nouveaux régimes de transition militaires. La preuve, on a vu plus de 6 millions de Maliens qui sont sortis le 14 janvier dans toutes les villes et villages du pays pour manifester leur soutien au régime militaire et fustiger les sanctions des organisations internationales et l’utilisations des médias mensonges de la Francafrique contre leur pays. On a vu les fortes mobilisations en Guinée et au Burkina Faso où les populations soutiennent mordicus les régimes de transitions militaires. Les militaires sont arrivés au pouvoir parce que les États civils corrompus ont failli, ont été incapables de sécuriser les populations, de les soigner, de les offrir une éducation digne, et plus grave ces régimes couverts par les médias des néocolonialistes ont vendu leur âme au diable. Ils sont décrits comme démocratiques alors que ce sont traitres, des vendus, qui ne se soucient jamais de l’intérêt des peuples. Aucun Africain, aucune Africaine doué (e) de raison, normal (e) et conscient (e) ne peut être d’accord avec des régimes corrompus qui collaborent avec les néocolonialistes et acceptent le pillage des ressources pendant que les peuples vivent dans la plus grande misère et l’abandon le plus total. On peut comprendre que les médias de la Francafrique et leurs alliés dans le monde utilisent la propagande, qu’ils diabolisent les régimes de transition militaire et leur collant des termes et expressions qui ne correspondent pas à leurs actions, à leur réalité et à leur objectif, on peut comprendre cela car comme on dit : à la guerre comme à la guerre. Mais ce qui est incompréhensible c’est que des Africains qui célèbrent d’un côté l’arrivée des régimes et les applaudissent, reprennent comme des perroquets des termes et concepts inventés par des adversaires pour affaiblir et diaboliser les régimes de transitions militaires ouest-africains. Africains conscients, panafricains, combattants de la liberté, de la dignité et de la souveraineté des États africains, ne répétez pas les mots et expressions toxiques, manipulateurs, dangereux et mensongers qu’utilisent les médias de la Francafrique pour combattre des régimes de transition militaire qui sont venus nous sauver et restaurer la paix, la sécurité et enclencher le développer dans nos pays. Évitez les mots qui créent des maux.

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    Réfléchissez journalistes de il y a 3 ans

    « Junte », « putschistes », « mutins », etc. ces termes qui ne collent pas du tout aux réalités des régimes de transition militaire ouest-africains actuels Avant de répéter comme des perroquets un mot pour désigner quelqu’un ou un phénomène, il faut d’abord comprendre véritablement la signification de ce mot et voir s’il colle à la réalité que nous souhaitons exprimer. Le terme « junte » désigne les pouvoirs autoritaires de militaires qui utilisent la force des armes pour réduire les populations au silence le plus total. Dans un régime de « junte », les populations sont intimidées, bâillonnées, massacrées par des militaires qui abusent de leurs armes. Les « putschistes » et « mutins » ce sont des militaires ne représentent pas la majorité et la volonté populaire. Ce sont des militaires qui ont pris le pouvoir par les armes pour sauvegarder leur propre intérêt et ceux de leurs partisans et qui sont prêts à plonger leur pays dans la guerre civile et le chaos le plus absolu. Or ces trois termes (« junte », « putschistes » et « mutins ») ne correspondent à aucune réalité de des régimes actuels de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso. Ce qui se passe dans ces pays ouest-africains où les militaires ont pris le pouvoir, est qu’ils ont rallié les masses populaires et décider de renverser les pouvoirs civils corrompus, traîtres, collaborateurs du néocolonialisme, des présidents soit disant élus démocratiquement alors que ce sont des valets, des laquais, des « nègres de maison » qui ont abimé les États africains. Les populations sont en parfaite symbiose avec les nouveaux régimes de transition militaires. La preuve, on a vu plus de 6 millions de Maliens qui sont sortis le 14 janvier dans toutes les villes et villages du pays pour manifester leur soutien au régime militaire et fustiger les sanctions des organisations internationales et l’utilisations des médias mensonges de la Francafrique contre leur pays. On a vu les fortes mobilisations en Guinée et au Burkina Faso où les populations soutiennent mordicus les régimes de transitions militaires. Les militaires sont arrivés au pouvoir parce que les États civils corrompus ont failli, ont été incapables de sécuriser les populations, de les soigner, de les offrir une éducation digne, et plus grave ces régimes couverts par les médias des néocolonialistes ont vendu leur âme au diable. Ils sont décrits comme démocratiques alors que ce sont traitres, des vendus, qui ne se soucient jamais de l’intérêt des peuples. Aucun Africain, aucune Africaine doué (e) de raison, normal (e) et conscient (e) ne peut être d’accord avec des régimes corrompus qui collaborent avec les néocolonialistes et acceptent le pillage des ressources pendant que les peuples vivent dans la plus grande misère et l’abandon le plus total. On peut comprendre que les médias de la Francafrique et leurs alliés dans le monde utilisent la propagande, qu’ils diabolisent les régimes de transition militaire et leur collant des termes et expressions qui ne correspondent pas à leurs actions, à leur réalité et à leur objectif, on peut comprendre cela car comme on dit : à la guerre comme à la guerre. Mais ce qui est incompréhensible c’est que des Africains qui célèbrent d’un côté l’arrivée des régimes et les applaudissent, reprennent comme des perroquets des termes et concepts inventés par des adversaires pour affaiblir et diaboliser les régimes de transitions militaires ouest-africains. Africains conscients, panafricains, combattants de la liberté, de la dignité et de la souveraineté des États africains, ne répétez pas les mots et expressions toxiques, manipulateurs, dangereux et mensongers qu’utilisent les médias de la Francafrique pour combattre des régimes de transition militaire qui sont venus nous sauver et restaurer la paix, la sécurité et enclencher le développer dans nos pays. Évitez les mots qui créent des maux.

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    Minables journalistes de senew il y a 3 ans

    « Junte », « putschistes », « mutins », etc. ces termes qui ne collent pas du tout aux réalités des régimes de transition militaire ouest-africains actuels Avant de répéter comme des perroquets un mot pour désigner quelqu’un ou un phénomène, il faut d’abord comprendre véritablement la signification de ce mot et voir s’il colle à la réalité que nous souhaitons exprimer. Le terme « junte » désigne les pouvoirs autoritaires de militaires qui utilisent la force des armes pour réduire les populations au silence le plus total. Dans un régime de « junte », les populations sont intimidées, bâillonnées, massacrées par des militaires qui abusent de leurs armes. Les « putschistes » et « mutins » ce sont des militaires ne représentent pas la majorité et la volonté populaire. Ce sont des militaires qui ont pris le pouvoir par les armes pour sauvegarder leur propre intérêt et ceux de leurs partisans et qui sont prêts à plonger leur pays dans la guerre civile et le chaos le plus absolu. Or ces trois termes (« junte », « putschistes » et « mutins ») ne correspondent à aucune réalité de des régimes actuels de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso. Ce qui se passe dans ces pays ouest-africains où les militaires ont pris le pouvoir, est qu’ils ont rallié les masses populaires et décider de renverser les pouvoirs civils corrompus, traîtres, collaborateurs du néocolonialisme, des présidents soit disant élus démocratiquement alors que ce sont des valets, des laquais, des « nègres de maison » qui ont abimé les États africains. Les populations sont en parfaite symbiose avec les nouveaux régimes de transition militaires. La preuve, on a vu plus de 6 millions de Maliens qui sont sortis le 14 janvier dans toutes les villes et villages du pays pour manifester leur soutien au régime militaire et fustiger les sanctions des organisations internationales et l’utilisations des médias mensonges de la Francafrique contre leur pays. On a vu les fortes mobilisations en Guinée et au Burkina Faso où les populations soutiennent mordicus les régimes de transitions militaires. Les militaires sont arrivés au pouvoir parce que les États civils corrompus ont failli, ont été incapables de sécuriser les populations, de les soigner, de les offrir une éducation digne, et plus grave ces régimes couverts par les médias des néocolonialistes ont vendu leur âme au diable. Ils sont décrits comme démocratiques alors que ce sont traitres, des vendus, qui ne se soucient jamais de l’intérêt des peuples. Aucun Africain, aucune Africaine doué (e) de raison, normal (e) et conscient (e) ne peut être d’accord avec des régimes corrompus qui collaborent avec les néocolonialistes et acceptent le pillage des ressources pendant que les peuples vivent dans la plus grande misère et l’abandon le plus total. On peut comprendre que les médias de la Francafrique et leurs alliés dans le monde utilisent la propagande, qu’ils diabolisent les régimes de transition militaire et leur collant des termes et expressions qui ne correspondent pas à leurs actions, à leur réalité et à leur objectif, on peut comprendre cela car comme on dit : à la guerre comme à la guerre. Mais ce qui est incompréhensible c’est que des Africains qui célèbrent d’un côté l’arrivée des régimes et les applaudissent, reprennent comme des perroquets des termes et concepts inventés par des adversaires pour affaiblir et diaboliser les régimes de transitions militaires ouest-africains. Africains conscients, panafricains, combattants de la liberté, de la dignité et de la souveraineté des États africains, ne répétez pas les mots et expressions toxiques, manipulateurs, dangereux et mensongers qu’utilisent les médias de la Francafrique pour combattre des régimes de transition militaire qui sont venus nous sauver et restaurer la paix, la sécurité et enclencher le développer dans nos pays. Évitez les mots qui créent des maux.

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    Ne supprimer pas mon message, il y a 3 ans

    Si vous suprimez, je remets voilà! « Junte », « putschistes », « mutins », etc. ces termes qui ne collent pas du tout aux réalités des régimes de transition militaire ouest-africains actuels Avant de répéter comme des perroquets un mot pour désigner quelqu’un ou un phénomène, il faut d’abord comprendre véritablement la signification de ce mot et voir s’il colle à la réalité que nous souhaitons exprimer. Le terme « junte » désigne les pouvoirs autoritaires de militaires qui utilisent la force des armes pour réduire les populations au silence le plus total. Dans un régime de « junte », les populations sont intimidées, bâillonnées, massacrées par des militaires qui abusent de leurs armes. Les « putschistes » et « mutins » ce sont des militaires ne représentent pas la majorité et la volonté populaire. Ce sont des militaires qui ont pris le pouvoir par les armes pour sauvegarder leur propre intérêt et ceux de leurs partisans et qui sont prêts à plonger leur pays dans la guerre civile et le chaos le plus absolu. Or ces trois termes (« junte », « putschistes » et « mutins ») ne correspondent à aucune réalité de des régimes actuels de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso. Ce qui se passe dans ces pays ouest-africains où les militaires ont pris le pouvoir, est qu’ils ont rallié les masses populaires et décider de renverser les pouvoirs civils corrompus, traîtres, collaborateurs du néocolonialisme, des présidents soit disant élus démocratiquement alors que ce sont des valets, des laquais, des « nègres de maison » qui ont abimé les États africains. Les populations sont en parfaite symbiose avec les nouveaux régimes de transition militaires. La preuve, on a vu plus de 6 millions de Maliens qui sont sortis le 14 janvier dans toutes les villes et villages du pays pour manifester leur soutien au régime militaire et fustiger les sanctions des organisations internationales et l’utilisations des médias mensonges de la Francafrique contre leur pays. On a vu les fortes mobilisations en Guinée et au Burkina Faso où les populations soutiennent mordicus les régimes de transitions militaires. Les militaires sont arrivés au pouvoir parce que les États civils corrompus ont failli, ont été incapables de sécuriser les populations, de les soigner, de les offrir une éducation digne, et plus grave ces régimes couverts par les médias des néocolonialistes ont vendu leur âme au diable. Ils sont décrits comme démocratiques alors que ce sont traitres, des vendus, qui ne se soucient jamais de l’intérêt des peuples. Aucun Africain, aucune Africaine doué (e) de raison, normal (e) et conscient (e) ne peut être d’accord avec des régimes corrompus qui collaborent avec les néocolonialistes et acceptent le pillage des ressources pendant que les peuples vivent dans la plus grande misère et l’abandon le plus total. On peut comprendre que les médias de la Francafrique et leurs alliés dans le monde utilisent la propagande, qu’ils diabolisent les régimes de transition militaire et leur collant des termes et expressions qui ne correspondent pas à leurs actions, à leur réalité et à leur objectif, on peut comprendre cela car comme on dit : à la guerre comme à la guerre. Mais ce qui est incompréhensible c’est que des Africains qui célèbrent d’un côté l’arrivée des régimes et les applaudissent, reprennent comme des perroquets des termes et concepts inventés par des adversaires pour affaiblir et diaboliser les régimes de transitions militaires ouest-africains. Africains conscients, panafricains, combattants de la liberté, de la dignité et de la souveraineté des États africains, ne répétez pas les mots et expressions toxiques, manipulateurs, dangereux et mensongers qu’utilisent les médias de la Francafrique pour combattre des régimes de transition militaire qui sont venus nous sauver et restaurer la paix, la sécurité et enclencher le développer dans nos pays. Évitez les mots qui créent des maux.

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    il y a 3 ans

    Comme la France divise le Mali, pourquoi Maiga et ses amis putschistes ne demandent pas officiellement le départ de Barkane. Eywa, nous attendons, il suffit juste d'un communiqué lu à l'ORTM. Les maliens c'est juste des gra

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    reply_author il y a 3 ans

    Quel autre language les autorites  Maliennes doivent  maintenant utiliser pour faire comprendre que la presence militaire Francaise n'est plus souhaitee ? Damn it ! have a little pride and get the f*** out !!!!

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    reply_author il y a 3 ans

    La France est la seule puissance coloniale qui s'accroche à ses colonies de manière  si  flagrant, soit disant pour défendre les intérêt de ces dernières, au vu et au su de toutes les organisations internationales.  On a plu qu'assez de vos mesquinerie. Laissez-nous gérer nos ressources comme on le sent. Mais le France (parasite) est bien consciente qu'elle sera ravallée au rang des pays en voie de developpement dés qu"elle se départira de ses anciennes colonies. et ça c'est pour bientôt car les africains en sont concient. C'est la cause de tous ces coups d'état envers ces présidents bénis oui oui qui vont tous sauter. Vive la nouvelle Afrique.  

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    reply_author il y a 3 ans

    Ces juntes ne sont pas des pouvoirs autoritaires ? Il faut arrêter la fumette et chercher des verres. Sur qu'elle base ils ont pris le pouvoir, ils gouvernent et qui le leur a donné cela ? Pour enfoncer le tout, je dirai c'est une bande voyou a qui on a donné des armes pour défendre le peuple et qui défendent leurs intérêts. Posez vous la question si tout un chacun avec des soutiens plus ou moins majoritaire n'est pas content et fait des coups d'Etat parce que celui qui est élu prend des décisions ou gouverne d'une manière qui ne leur plaît pas 

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    reply_author il y a 3 ans

    La France devrait quitter ce pays, après les manifestations de la population,renvoi de l'ambassadeur,critique de ministre....

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    reply_author il y a 3 ans

    Et pourtant l'armée a neutralisé des terroristes avec l'appui de Barkhane. Ça ils ne le disent pas. 

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    il y a 2 ans

    B­o­­­n­­­j­o­­­u­­r, j­­e m'a­­p­­p­­e­lle Alisia, j'ai 21 a­ns) Dé­bu­­­t du mo­­dè­­­le S­E­­­X­­­E 18+) J'a­ime êt­­­re pho­to­­­grap­hi­ée n­­­u­­­e) Veuil­lez no­­ter me­­s phot­­­os à l'adr­esse su­­i­va­nte ->> W­­­W­­W­.­­­X­2­­­1.­­F­­U­N

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    il y a 2 ans

    B­­­o­n­­j­­­o­­u­­­r, j­e m'a­­­p­p­­­e­­­lle Alisa, j'ai 21 a­­­ns) Dé­­­bu­t du mo­­dè­le S­­E­­­X­E 18+) J'a­­ime êt­­­re pho­­­to­­grap­hi­­ée n­u­­e) V­­­e­­­u­­i­­­l­lez no­­­ter me­s phot­os à l'adr­­­esse su­i­­­va­nte --- W­­W­­W­­­.­X­­2­1.­­­F­U­­­N id07771463

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