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[Reportage] Ghana : Voyage au coeur des sombres secrets du camp des sorcières de Gambaga

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Le drame de leurs vies : 93 femmes et 4 hommes accusés de sorcellerie et bannis de leurs communautés au Ghana. Leurs histoires font froid dans le dos. Douleurs, tristesse et peines soufflent sur le camp des sorcières de Gambaga. Confidences sans réticences !Gambaga, un lieu de refuge à 658 kilomètres de la capitale ghanéenne, Accra. Lundi 2 avril 2023, il a fallu 8 heures de route en voiture pour rallier cette bourgade. Le village se situe dans la région du Nord-Est du Ghana, après Tamalé, précisément dans le district de Mamprusi Est, à 200 kilomètres de la frontière avec le Burkina Faso. A majorité musulmane, cette localité de plus de 8000 habitants vit au rythme du ramadan. Malgré, les rigueurs du jeûne, ils vaquent fièrement à leurs activités quotidiennes, à notre arrivée à 10 heures. Ils ne semblent même pas remarquer la présence d’étrangers parmi eux.
Une «prison» où sont parqués et entassés 93 femmes, 4 hommes et 26 enfants
Comme l’exigent les traditions de la localité, l’équipe de Média Platform On Environment and Climate Change (MPEC) du Ghana se dirige, en premier, au domicile du chef de Gambaga. Cette visite de terrain du programme Minority Rights Group vise à sensibiliser sur les liens entre les problèmes des minorités ou autochtones et les conflits au Ghana, au Sénégal et en Sierra Leone.  «Gambaran Yahaya Wuni ne peut pas vous recevoir actuellement. Il ne sort presque plus sur la place publique», nous indique poliment un des jeunes hommes préposés à la sécurité de la demeure.Le chef de Gambaga étant indisponible, la délégation met le cap vers sa destination : le camp des sorcières. «Allons-y, le camp est à moins de 5 minutes de marche », nous précise le chef de l’Église Presbytérienne Nord-Est, Révérend Michael Gumah. Cet homme est notre guide pour l’expédition.   Le camp des sorcières est logé juste derrière le quartier du maître des lieux. Le thermomètre affiche 30°. Malgré la quiétude qui règne dans ce lieu, l'atmosphère est lourde et souffle un vent d’angoisse.L’image renvoie à un petit village abandonné voire fantôme. Quatre-vingt-neuf cases en banco, d’une hauteur moyenne, sont construites sur le site fondé depuis l’an 1900 par Imam Baba. Incapable de prendre en charge les pensionnaires, ce dernier a fini par transférer la gestion du camp au chef Gambaran Yahaya Wuni. Certaines huttes sont détruites pour une réfection avant la saison des pluies.De très près, l’espace ressemble à une «prison» où sont parqués et entassés 93 femmes, 4 hommes et 26 enfants. Les personnes âgées de ce camp portent chacune d'elles une histoire dramatique, pleine d’émotions qui les ont condamnées à vivre dans ce village. Elles sont accusées de sorcellerie et bannies de leurs communautés.
«Jetée dans un fleuve ou torturée »
C’est la seule et unique grande salle de cette cité de bannis qui sert de lieu d’accueil des hôtes par  les femmes/mères. Bien habillées et disciplinées, elles surfent sur l’ambiance du moment pour oublier leur quotidien de communauté stigmatisée. D’abord un cri d’accueil, puis d’autres s’y invitent pour créer une symphonie dans leur langue locale. « Elles chantent pour souhaiter la bienvenue à leurs visiteurs », explique Sampson Laar, le chef des projets du camp.Cet «asile»  est bien administré. Il a un bureau composé de sept membres, présidé par Zeynabou Soukouré.  Chacune s’occupe d’une tribu. Elles sont nommées pour régler les probables conflits en interne. Car, elles vivent en parfaite harmonie avec les autres habitants de Gambaga. « Ces femmes sont arrivées ici de leur propre gré. Certaines ont été amenées ici par leurs enfants car elles sont sous le coup de menaces de mort. Elles sont considérées comme des criminelles », ajoute M. Laar.Parmi elles, une vieille dame. Kuwambio Dogowa, originaire du village Sagbany, dégage une mine triste. Elle a marché pendant deux semaines pour franchir le seuil du camp des sorcières pour sauver sa peau. «On l’a poussée dans un fleuve. Ces bourreaux pensaient qu’elle était morte. Mais elle est parvenue à rejoindre la rive», raconte M. Laar. Il renseigne que Kuwambio est, malheureusement, devenue aveugle à cause de sa mésaventure. Lorsqu’elle est arrivée au camp, elle a été conduite à maintes reprises à l’hôpital afin de retrouver la vue, mais en vain.Cette souffrance, Wengué Laar l’a vécue. Elle a été cruellement battue et torturée avant d’être envoyée au Togo, pays voisin du Ghana. « Elle est venue ici sous l’autorité du chef de Gambaga et nous l’aidons à prendre soin d’elle. Elle a failli mourir. Elle est traumatisée. Même pour manger ou boire, elle demandait la permission », souligne Sampson Laar.
« Le Chef de Gambaga est puissant. Lorsque vous êtes dans le camp, votre pouvoir s’anéantit »
La dame se rappelle des moindres détails de son supplice. La tristesse se lit sur son visage marqué par des rides, stigmates des abominables épreuves endurées: « On m’avait ligotée. On n’a voulu m’égorger. Ils m’ont mise dans un sac après m’avoir déshabillée et rasé mes parties intimes. La raison est qu’il y avait un enfant malade et on m’a accusée de vouloir manger son âme en lui transmettant la maladie. Mais lorsque vous arrivez à Gambaga, vous êtes libres ».
Extérioriser ce genre d’expérience n’est pas chose aisée pour les victimes. Les responsables de ce camp se doivent user de tact s’ils souhaitent que leurs pensionnaires se confient à eux. Sampson parle constamment avec eux pour leur éviter notamment de sombrer dans des extrémités telles que le suicide.  Mieux, ils font parfois recours à des psychologues pour qu’ils leur expliquent que même s’il est vrai que leurs communautés les ont bannis, cela n’est pas une raison pour se donner la mort.Notre interlocuteur révèle qu’en effet, à Gambaga, le chef a des pouvoirs. « Lorsque vous êtes dans le camp, votre pouvoir s’anéantit. Donc, les pensionnaires peuvent être en relation dans le camp et en dehors du camp ». En toute tranquillité.Cet air de liberté, Farimata, nom d’emprunt, l’hume depuis 5 ans, la durée de sa présence « dans ce havre de paix ». Elle qui a été frappée par son propre fils. « Il disait que moi sa mère, je suis une sorcière et que je suis la source de tous ses malheurs. Depuis que je suis ici, aucun membre de ma famille n'est venu pour s’enquérir de ma situation alors que je suis diabétique », se plaint-elle avant de retourner s’asseoir, en claudiquant à cause de ses jambes lourdes qui supportent mal son poids corporel.
Wuny Gumah, la douleur d’une mère de 6 enfants
Provenant de la zone de Mamprusi,  Wuny Goumah se remémore le jour où sa vie a basculé. Emmitouflée dans un ensemble wax, le foulard de tête bien noué, parée de bijoux en perles, elle manifeste une grande vitalité. Mieux, elle exprime sa souffrance à travers ses chants d’une voix qui capte l’attention. « Je dormais dans ma chambre, à minuit, lorsque mon mari frappait à la porte. Lorsqu’il est entré, il m’a demandé de m'asseoir sur le lit avant de me dire que ma coépouse était malade et que j’en étais à l’origine », raconte-t-elle.« J'étais confuse parce que mon conjoint venait ainsi de m’accuser d’être une sorcière. Je ne savais pas ce que j’allais faire parce que mes enfants étaient jeunes », glisse-t-elle. Avant de poursuivre : « La communauté avait décidé de me tuer, j'ai fui chez mon frère. La pression existait toujours. Alors je me suis rappelée que quand j’étais jeune fille, j’entendais l’histoire du camp de Gambaga où les sorcières étaient reçues. Je suis arrivée ici et le chef a pris soin de moi ».Aujourd’hui, Wuny Gumah ne sait pas où se trouvent ses 6 enfants. « Ils se sont dispersés. Un jour, l'un d'entre eux, m'a appelée en me disant qu'il m'aimait et me demandant de rester dans le camp et que dans la mesure où m’a accusée je suis devenue sans importance pour eux. J’ai repris goût à la vie grâce à ce lieu. Si le chef ne nous avait pas acceptées, nous ne serions pas là en ce moment. On allait nous tuer dans la brousse comme des animaux».Pourtant, des lois sanctionnent les accusations infondées de sorcellerie. Cependant, on tue immédiatement les présumés accusés et leurs bourreaux ne sont pas inquiétés. « Dans le village de Dioussy non loin, une dame a été accusée de sorcellerie et la police n'a rien fait pour la protéger. Des personnes ont attendu la nuit pour brûler sa maison alors qu’elle  dormait à l’intérieur. Elle est décédée et ce crime est resté impuni », se souvient Sampson. « Une fois, un enfant s’était rebellé car on avait dit que sa mère était une sorcière, mais il a été frappé à mort »
Marié à 4 femmes, père de 12 enfants et accusé de sorcellerie
Zarantiga se situe à 30 minutes de trajet du camp des sorcières. Kologou Tindana  est issue de cette communauté. « C’est une communauté très dangereuse. Lorsqu'on vous accuse de sorcier ou sorcière, c'est fini pour vous. J'étais une grande commerçante et un jour j'étais partie au marché et lorsque je suis revenue, le soir on m'a dit que le frère de mon mari me cherchait. A son retour, il dit qu’il y avait une femme qui s'appelle Lynda et qui avait rêvé de moi. Alors qu’elle était souffrante », affirme-t-elle.Elle a, ensuite, été brutalisée : « j'étais partie à la police pour me plaindre parce que je n’étais pas sorcière et que je devais me défendre. Malheureusement, le chef avait annoncé aux autres femmes commerçantes que j’étais une sorcière. Lorsque je suis revenue à la maison, j’y ai trouvé le frère de Lynda. Il a utilisé une barre de fer pour me battre. Je baignais dans une mare de sang ».Sa famille impuissante face à cette violence inouïe,  au risque d’être poursuivie pour complicité, a fini par l’emmener au camp des sorcières. « J’ai perdu mon business qui était florissant. Aujourd’hui, de quoi ai-je besoin ? J'ai besoin de riz, de maïs, d’habits. J'étais une grande dame, là je suis une grand-mère, je suis vieille et j'accepte d’être sorcière. C'est pour cette raison que je suis ici. Ce n’est pas parce que j'ai aimé ce qui s'est passé mais on m'a accusée d'être sorcière », fait-elle remarquer, le cœur meurtri.Guédéon Salifu est le seul homme à avoir partagé sa douleur au cours de cette «séance de thérapie». Agé d’à peine 50 ans, le regard vide, vêtu d’un polo blanc d’une propreté douteuse,  et d’un jean noir, ce père de 12 enfants, marié à 4 épouses vit les pires moments de sa vie.  Lui qui vient de la Maison royale du même nom Salifu.« On m'a accusé de sorcellerie en me tenant comme responsable de la maladie dont souffre mon voisin. Je ne pouvais que partir parce qu'ils (les accusateurs) avaient planifié de me tuer. Mais, je suis honnête avec vous. Je ne suis pas un sorcier. Ici, je suis en paix mais j'éprouve de la peine parce que mes enfants qui sont dans la communauté sont stigmatisés et ne vont plus à l’école. Ils subissent des violences verbales. On les appelle ‘’les enfants du sorcier’’ », dit-il. Peu prolixe, il se confie néanmoins : « Lorsque mes enfants m'appellent, j'essaie de les encourager en leur conseillant de n’avoir pas peur et d'avoir la patience car tout ce qui se passe aujourd'hui aura une fin ».
Les vieilles dames meurent de faim
S’exprimant sur les conditions de vie de ces femmes, Salifu qui ne rêve que de rentrer définitivement dans sa communauté,  fait savoir : «Nous sommes en sécurité dans ce camp et nous sommes reconnaissants envers le chef. Toutefois, les femmes sont fatiguées. Les bonnes volontés doivent les aider. Moi, j'ai toujours la force pour aller chercher du travail,  mais, elles peuvent rester ici sans avoir de quoi manger et ce n'est pas bien. Certaines ne peuvent même pas marcher. D’autres sont malades. Le chef fait de son mieux pour nous nourrir, mais l’offre est inférieure à la demande. Nous avons aussi besoin de forages pour continuer à vivre ».Les femmes du camp, compte tenu de leurs âges (entre 54 ans et plus), vont souvent dans les champs pour aider les paysans. Elles reçoivent en contrepartie une modique somme pour subvenir à leurs besoins. Parfois, elles partent dans la brousse à la recherche du bois de chauffe qu'elles vendent pour se faire de l'argent.Au sein du camp, des initiatives ont été menées pour permettre à ces femmes de se réinsérer dans la société. Mais l’expérience a tourné court. « Nous leur avons enseigné comment fabriquer du savon et des perles, et la transformation d’arachide. Malheureusement, nous n'avons pas de financement pour le suivi. Le gouvernement a même arrêté la prise en charge de la couverture maladie », informe l’un des gestionnaires du camp.  Il déclare qu’ils faisaient également des plaidoyers afin de sensibiliser sur la gravité des accusations de sorcellerie. « Lorsque vous allez dans les communautés, certaines personnes ne savent pas pourquoi ces femmes sont accusées. alors que le malade souffrait peut-être d’épilepsie, de paludisme. Et ces maladies peuvent être traitées à l’hôpital. Dans la communauté des Diawanés qui compte plus de cas de sorcellerie que toutes les communautés au Ghana, nous avons fait des séances de plaidoyers avec les familles et après, elles sont venues dans le camp avant de repartir avec les personnes qu’elles avaient accusées. Des procédures de purification sont à respecter avant de quitter le camp. Donc, si nous avons des financements, cela va nous permettre de réduire ce taux. De plus, les enfants sont scolarisés ici grâce aux aides ».
Après l’arrêt des financements, «l’État veut fermer le camp »
En plus de la pression de la société, le camp des sorcières doit faire sans l’aide des pouvoirs publics. « L’État veut fermer le camp, mais cette mesure ne peut être la solution, observe Laar. Il y a un travail de sensibilisation à faire au niveau des communautés pour la réintégration de ces femmes. La preuve, nous avons contacté leurs enfants et ils ne veulent plus prendre soin d’elles ».
L’assainissement fait défaut au camp des sorcières. Les eaux usées domestiques, qui font partie du décor,  se déversent dans les rues. Pas d’éclairage public aussi. « Il n’y a même pas d'électricité à cause de la nature de leurs chambres. Cependant, c’est prévu dans les nouvelles constructions», informe Sampson. Une amélioration  considérable du niveau de vie de ces 123 âmes qui sont déjà «très heureuses d'être en vie ». Malgré tout.
Auteur: Awa FAYE (Envoyée spéciale)
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Comments

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    Farokh il y a 2 ans

    Bon reportage félicitations Awa Fayr

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    il y a 2 ans

    Et comment peut on prérendre developer l'afrique avec une mentalité idiote? Le development est d'abord un concept mental.  Avec des esprits aussi sauvages et primitifs, je ne vois pas comment nous pourrions revendiquer notre place dans la civilisation de l'universel. Pauvre nègritude.

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    il y a 2 ans

    L'africain dans ces délires. 

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    il y a 2 ans

    Incroyable vraiment ! Il suffit alors que quelqu'un te stigmatise, sans preuve aucune et du coup tu "es décrété sorcier'. Ton concurrent, ton ennemi, quelqu'un qui te jalouse ou ne t'aime tout simplement pas, peut t'éliminer ainsi. C'est terrible ces croyances.

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    ete il y a 2 ans

    C'est triste!

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    Mag il y a 2 ans

    Trop triste. Des vies détruites par la bêtise humaine.

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    il y a 2 ans

    Pauvre femme et homme innocents.  Que ALLAH SOUBHANA WATALA les viennent en aide 🙏.  Parce que li metina lolou sakh 

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    il y a 2 ans

    Même les singes ont changé de comportement et de mentalités mais les africains se maintiennent à l'état primitif et d'une culture de 20 sieckes en arriere

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    Hé! il y a 2 ans

    L'école pour tous est obligatoire afin d'apercevoir le bout du tunnel.  Comme le disait l'avocat de la société Dominion hier:  "Les mensonges ont des conséquences". Celles-ci sont particulièrement terribles. Courage aux victimes. 

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    mounzir il y a 2 ans

    les deums existent bel et bien et personne ne va nous convaincre du contraire ,un enfant de 15 ans peux etre deum ,un toubab un chinois un arabe ,un president peuvent etre deum , pas obilgé que ça soit une vielle femme laide au contraire les deums sont partouts ils ont des pouvoirs selon les types de deums ils yen a plusieurs certains font des voyages astraux c.a.d ils sortent leur esprits sorciers de leur corps la nuit pour aller ''chasser'' c.a.d consomer le 'nyama' l'energie vitale presente dans tous etre vivants un deum peut chasser une personne pendant 10 ans et le ''manger" petit a petit jusqua le tuer ils peuvent te refiler des maladies comme le cancer etc.... une de leur planque ideale est les hopitaux surtout ici au senegal ,si quelqu un meurt dans un hopital personne ne va se poser de questions ,la plupart du temps ce sont les deums qui y travaillent qui tuent surtout certains "sages femmes" lekk liir wala ray djiguene bouy weussine beug nagn ko torop d'autres deums retiennent ta respiration ,la medecine moderne va conclure a une mort clinique alors que la personne est toujours vivante ,elle sera enterré vivante et la nuit ,un groupe de deum viendra prendre son ''repas mystique'' des milliers de personnes sont enterrés vivantes au senegal les deums attaquent souvent en groupe certains sont tres tres puissants ''nokhores" deux types d'individus nient l'existence des deums ,les deums eux meme et et les gens debiles et apeurés a l'esprit etroit qui vivent dans le deni ,peut etre par peur que cette chose soit reelle ,c'est gens la vivant dans un monde de bisounours ou tous le monde il est gentil ,jusqua ce la realité cruelle les rattrape Souvent ce sont eux meme les victimes de deums car ceux qui ont eu affaire avec eux ,ils les evitent aucun idiot ''rationel'' "cartesien" va nous convaincre du contraire car nous avons eu affaire avec eux je ne souhaite meme a mon pire enemi d'avoir un jour affaire avec un deum un conseil protegez vous (prieres invocations) ,certains plantes racines poudres les font fuir ,evitez de manger n'importe ou de frequenter n'importe qui de sortir timis tahawalou goudi, certains visages souriants sont souvent les plus demoniaques dans le monde occulte

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    reply_author il y a 2 ans

    mentalité idiote ? donne ton nom et celui de ta mere on verra d'ici 19h

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    reply_author il y a 2 ans

    innocents ? té nga mandou

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    Karim il y a 2 ans

    tres bon boulot

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    reply_author il y a 2 ans

    Mbiroum deum nimakay deggé dafa melni ndiabar leu rek signé pacte ak djine yonekko si nite ngir lorr KO. Le principal soucis de ces histoires,des gens  se font accusés sans aucune preuve .

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    ba il y a 2 ans

    le deum n'existe que dans ton imagination de citoyen du tiers monde

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    Zapp il y a 2 ans

    Thiey Afrique mon Afrique, c'est à se décourager de ce continent quoi vraiment.

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    Mister noxoor il y a 2 ans

    Vu la multitude d'infos que vous avez sur les deums vous n'êtes pas vraiment loin d'en être un....espèce d'idiot...le surnaturel existe oui et l'idiotie aussi!

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    il y a 2 ans

    Tres bon boulot Awa toutes mes felicitations

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    il y a 2 ans

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    El Gringo il y a 2 ans

    Je paris que toutes ces personnes qui accusent sans preuve souffrent de palu cronique. et dans leur delire ils vont accuses de honettes gens.

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    il y a 2 ans

    tout niveau ( 6eme à la terminale ) et dans les différentes matières 759073645( Math , Pc , Svt français philo anglais Espagnol  Concours administratifs ENA police douanes

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    Défenseur il y a 2 ans

    Sorcellerie un argument verbal et sans preuve 

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    MKF il y a 2 ans

    J'ai le cœur meurtris quand je bois le visage de ces femmes qui cachent mal leur souffrance et leur mal être. Il ya trop d'injustice dans ce monde rempli d'ignorance. Que Dieu les viennent en aide. Walahi Alahira dina meti 

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    reply_authorveverv il y a 2 ans

    Yaye mbaam! Je n'ai même pas continuer à lire tes idioties là. Avec ces esprits de 2 siècles derrière ce n'est pas demain que l'Afrique va se développer. Donc du coup le taux de mortalité élevé des femmes en état de grossesse, lors des accouchements etc dans les hôpitaux qui manquent de moyens, tu l'expliques par les sages femmes "Deum"? Le manque de moyen de nos hôpitaux, le manque de suivi de la grossesse etc n'y sont pour rien? Pourquoi ce taux de mortalité est très élevé chez nous, mais assez rare chez les pays développés ?

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    il y a 2 ans

    La vie est dure 

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    il y a 2 ans

    Documents de cours et d'exercices corrigés disponibless yll.cheikhfama84@yahoo.com tout les niveaux ( 6eme à la terminale ) et dans les différentes matières ( Math , Pc , Svt , Français , HG , Philo , Espagnol   

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    il y a 2 ans

    Les joies de l'Afrique.

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    reply_author il y a 2 ans

    les idiots qui vivent dans le deni vont se mettre en colere mais c'est la verité ,les deums existent ,nakh lene sene bopou si vous voulez mais ça existe

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    Laye il y a 2 ans

    Allahou akbar  Merci pour ce beau reportage  Je peux maintenant comprendre la régression du Ghana parce le BON DIEU nous a bien dit que une communauté ne peut jamais se développer tant que des personnes y sont persécutées à tort 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ce sont plutôt des deums en milliards de l'apr qu'on devrait amener dans ce camps. Leur détournement font plus mal à la société 

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    Likiloli il y a 2 ans

    Souvent, c'est les vieilles femmes et les pauvres qu'on accuse de sorcellerie. Savoir que de telles pratiques se passent encore en Afrique, au troisième millénaire, est vraiment triste. Accuser, violenter, attenter à l'honneur et à la vie de pauvres gens sur une simple accusation est vraiment gravissime. Vraisemblablement, l'Afrique ne sortira jamais de ces ténèbres, peut être dans un autre monde, mais pas pour celui-là.

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    Tassou Bou Saf il y a 2 ans

    Ne confonder jamais le mot divin et le mot saint ! Ne confonder jamais ce qui relève de l'absolu et ce  qui relève du relatif ! La vérité absolue (Dieu) et la vérité relative (l'homme) ! Toute vérité autre qui ne vient pas du Dieu créateur ne peut qu'être relatif ! Ne confondez jamais ce qui relève de la perfection et ce qui relève de l'imperfection ! Dans l'absolue, il n'y a de vérité que la vie et la mort !  Dès lors qu'une vérité n'est pas absolue, elle ne peut qu'être relative et donc sujette de caution, d'interprétaration, de recul, de regard critique !  Seul Dieu est absolu, tout ce qui n'est pas Dieu est relatif, peut se tromper, peut être manipulé par Satan, peut tromper....... etc ! Celà laisse droit à des interprétentions ! A bon entendeur, salut !    

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    Hé! il y a 2 ans

    Il ne faut pas se décourager. Il y a tellement de réalisations à faire ici ! Et ça, c'est un sacré défi. Relevons-le !

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    reply_author il y a 2 ans

    Merci, il faut arrêter cette sauvagerie contre d'honnêtes citoyennes. Il suffit d'avoir des malendus et le plus bavard t'accuse de sorcellerie. Eux, qui ont pu les identifier grâce à leur ''pouvoir de voyance'' comment n'ont-ils pas pu les empêcher d'exercer leur sorcellerie? L'Afrique de merde !

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    reply_author il y a 2 ans

    Et toi trop con , il faut APR partout, on parle de Sorciers au Ghana et toi tu politises tout trouve toi une meilleure vie 

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    M il y a 2 ans

    C'est au Moyen-âge qu'en Europe qu'on brûlait les sorcières? L'Afrique en est donc encore au Moyen-âge? 

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    LE ROI BITON DE SEGOU il y a 2 ans

    La sorcellerie N' EXISTE PAS!!! Ce sont des BARBARES, des SAUVAGES et des IGNORANTS qui sont entrain de pietiner les droits fondamentaux de ces ghanaennes et ces ghanaeens avec la complicite' des gouvernants de ce pays! Ou' sont les organisations des droits de l' Homme? Tant que nous croyons a' ces  idioties et nous pietinons les droits fondamentaux de nos semblables, nous resterons toujours les derniers du monde!

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    il y a 2 ans

    Oui, les deumscexistent gel et bien. Le seul souvi est qu'on accuse souvent les gens à tort: vieille femme pauvre, enfant chétif avec de gros yeux. Une deum peut être miss Sénégal, un deum peut ministre ou chef d'entreprise milliardaire habitant aux almadies...

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    Camara il y a 2 ans

    Bon boulot de journaliste  mon na besoin de ça  Mais Sonko Pastef sans  avantages ni rien

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    Afrique il y a 2 ans

    Il faut creer un réseau ferrovier qui va mailler tout le continent de Dakar à Djbouti en pasant par les pays du Maghre. De Dakar à le Cap(Afrique du sud) en passant par les pays de l'Afrique central. il faut éclairer toutes les villes, communes, provinces et villages d'Afrique. Il faut industrialiser l'Afrique. L'Afrique doit avoir des usines qui fabriquent de gros bateaux, des camions, des voitures de luxe, des bus, des avions xxl, des trains , des ordinateurs, de gros enfins etc. Il faut que la jeunesse africaine comprenne qu'ils ne doivent pas laisser ces histoires de sorciers occuper leurs mentalités et ils doivent développer ce beau continent. Il faut que l'Afrique soit unie définitivement avec une seule économie, une seule monnaie et une seule armée. Nous sommes en 2023 le Kenya a lancé son satellite la semaine derniére les autres pays d'Afriques qu'ils soient francophones ou anglophones ou lusophones doivent lancer leurs satéllites. il faut que les dirigeants africains comprennenet qu'ils ne doivent plus durer au pouvoir, deyux mandats seulement suffisent. Il faut qu'il y'ait la, paix partout en Afrique on n'a plus besoin de guerre... 

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    Afrique il y a 2 ans

    Il faut creer un réseau ferrovier qui va mailler tout le continent de Dakar à Djbouti en pasant par les pays du Maghre. De Dakar à le Cap(Afrique du sud) en passant par les pays de l'Afrique central. il faut éclairer toutes les villes, communes, provinces et villages d'Afrique. Il faut industrialiser l'Afrique. L'Afrique doit avoir des usines qui fabriquent de gros bateaux, des camions, des voitures de luxe, des bus, des avions xxl, des trains , des ordinateurs, de gros enfins etc. Il faut que la jeunesse africaine comprenne qu'ils ne doivent pas laisser ces histoires de sorciers occuper leurs mentalités et ils doivent développer ce beau continent. Il faut que l'Afrique soit unie définitivement avec une seule économie, une seule monnaie et une seule armée. Nous sommes en 2023 le Kenya a lancé son satellite la semaine derniére les autres pays d'Afriques qu'ils soient francophones ou anglophones ou lusophones doivent lancer leurs satéllites. il faut que les dirigeants africains comprennenet qu'ils ne doivent plus durer au pouvoir, deyux mandats seulement suffisent. Il faut qu'il y'ait la, paix partout en Afrique on n'a plus besoin de guerre... 

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    reply_author il y a 2 ans

    nekk lene fofou di diay toubab bou nioul rek lol masi négre mo complexé rek

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    reply_author il y a 2 ans

    meme l'islam admet que la sorecelerie existe ,yenn dama yaakarni da ngen am probleme mental

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    reply_author il y a 2 ans

    Tres courageuse Awa Faye! Bon reportage

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    reply_author il y a 2 ans

    Et vatican am naniou ay exorcistes. 

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    DEUM il y a 2 ans

    VRAIS OU FAUX.en tt cas nirou nguen ay deum de mom sen kanam yi.riri .blague reekk.li moniou tardel ay deum ay djine ay rapp....les vrais deum sont nos politicien.ils font pires que quiconque.dani diapou seni population leek len banou seet wethie.de ak nakhar........les president les chef de deum..

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    il y a 2 ans

    Je m'attendais a un debalage de sombres secrets. Je pars

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    il y a 2 ans

    Serigne cheikh nena Kou wakhni deum amna safara nga dieum ces femmes et autres ont été accusées à tort parce que pour certaines leurs proches se sont séparées d'elles car devenaient une menace pour leurs intérêts donc pour les accusateurs il faut juste indexer qu'un tel est sorcier et le tour est joué 

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    il y a 2 ans

    Comme au Moyen Age en Europe où pratiquement il n y avait pas de sorciers mais seulement des sorcières, ici comme là bas c est une agression faite sur les femmes. En Afrique c est un vrai problème. La cause est peut etre le recours aux Marabouts Féticheurs, qui pour du bien et qui pour du mal. Moi je suis pour une loi pour criminaliser les fétiches, car ce phénomène contribue à la croyance aux esprits maléfiques, donc à la sorcellerie. Les Européens s en sont libérés avec les loi et l instruction. A nous de faire autant.

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    Biromd il y a 2 ans

    C'est indigne du Ghana au pays de Krumah. C'est une image honteuse de l'Afrique et du Ghana en particulier.

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    Alpha de Paname il y a 2 ans

    L'Afrique des ténébres. Pour que l'Afrique se développe, ça va être difficile à cause de ces idées-là. Je me rappelle quand j'étais enfant, il y avait une vieille femme dans mon village qu'on l'accuse tout le temps de sorcière. Réveillons-nous africains !!!

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    il y a 2 ans

    l afrique pays des sorcieres

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    il y a 2 ans

    Au Sénégal on accuse vite qqn de deum. Parfois ceux qui ont le palu delirent et citent une personne de leur entourage. Même les médecins croient aux seuls. Quand ils ne peuvent pas vous soigner,ils vous disent d aller vers les marabouts.

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    reply_author il y a 2 ans

    Toi tu en connais des Deums ? Gros Menteur ! Et pourquoi ceux qu on appelle Deum meurent aussi ?

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    reply_author il y a 2 ans

    Toi tu en connais des Deums ? Gros Menteur ! Et pourquoi ceux qu on appelle Deum meurent aussi ?

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    ba il y a 2 ans

    triste , la betise est humaine .felicitation à la journaliste ,voilà du travail bien fait , informer tout cours merci

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    ba il y a 2 ans

    triste , la betise est humaine .felicitation à la journaliste ,voilà du travail bien fait , informer tout cours merci

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    Anthropologicos il y a 2 ans

    Vraiment chapeau domou baay, c'est c genre d'article qu'on aimerait lire à la place des calomnies et rumeurs qui nous sont généralement servies dans la presse. Vous nous avez fait voyager, j'ai lu l'article d'un trait !

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    il y a 2 ans

    Le Ghana fait partie des pays les plus développé et démocratique Afrique il se laisse faire avec ces conneries de sorcellerie    

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    Ghanaboy-qui-aime-le-Senegal il y a 1 an

    Absolument! Souvent, ces accusations commencent par les proches des victimes. Ma maman a failli en faire les frais quand je n'étais pas au pays. Au retour, ma reaction a été immédiate. Ce qui était pitoyable c'est que ma maman s'était servie de tout l'argent que je lui envoyais pour se consulter aupres des marabouts en vue de savoir si vraiment elle était sorciere! Le gouvernement, qui est impliqué dans tous les scandales du mondes, s'enfiche, alors qu'il faille battre campagne d'education de la société contre ces faits.

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    il y a 1 an

    moi dama découragé cheutééééé afrique ndeyesanne

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    reply_author il y a 1 an

    Agression faite sur les moins proteges...Malheureusement ce sont souvent des femmes dont les maris decedent et leurs belles familles voulant les priver d'heritage ne trouvent rien d'autre que de les accuser de sorciere

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    SALAM il y a 1 an

    Du grand n'importe quoi en tout cas moi si jétais un sorcier personne ne pourra m'emprisonner car je vais disparaitre ...........utilisez vos têtes 

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    deugg il y a 1 an

    diiné mo fi manqué ana prêcheurs yi di diokk fi sabilillah?

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    il y a 1 an

    seuls les pauvres seront accusés de cela qu'ils se donnent la main et travaillent dur s'ils auront d ela richesse on en reparlera plus voila le vrai défi

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    reply_aBOUGANALI CHARLESuthor il y a 1 an

    On n'acccuse que les pauvres, vous oubliez que le paludisme sévi partout en Afrique et d'autres sont plus malades jusqu'aux délires, quel mentale vous avez pour accuser celles qui prennent soin aux chevets des malades, vous les accusez de sorcellerie quelle merde.... Nos vaillllants mamans qui sont très très fatiguées pour leurs enfants elles nous  ont protègée jusqu'à ce que vous grandissiez pour qu'elles puissent se reposer dans le futur, des hommes de l'enfer vous ordonnent que vous fassiez l'irréparable, Imbéciles que vous êtes. Vous n'accusez jamais les Riches....

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    Peuff il y a 1 an

    Ayez la sincerite' de d'informer/ indiquer ou vous avez pris cette video. Jai visualise' cette video sur la chaine autentique ya des  mois de cela. Ya meme une blanche dans la salle, membre de l'equipe qui a realise' ce reportage. Mais vous avez coupe' tout ce qui vous gene.   Merci

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