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Monday 05 May, 2025
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Affaire IFACE : Le directeur général livre sa version des faits

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Le directeur général de l’Iface a été sensible à l’article sur les étudiants retenus à la porte pendant que leurs camarades étaient en train de faire l’examen. En effet, le Professeur Ibrahima Daly Diouf, directeur général de la structure se trouvant actuellement à l’étranger, a réagi.
Au bout du fil, il explique d’emblée avoir pris service en avril et a trouvé un taux de moins de 20% de recouvrement. C’est d’ailleurs pour lui, une situation qu’il fallait résoudre avec des mesures qui ont été prises. « Nous avions demandé à tous ceux qui avaient des arriérés de mensualités de se rapprocher de la direction afin de trouver des solutions. Des rappels ont été faits à maintes reprises. L’information a été donnée aux responsables de classes, partagée dans les groupes Whatsapp et affichée partout. »
Une issue heureuse  a été trouvée avec ceux qui sont allés voir l’administration. Avant qu’ils ne partent en vacances, les étudiants avaient reçu une note leur signifiant qu’ils devaient payer leurs mensualités pour pouvoir faire leur examen à l’ouverture. A une semaine des examens, la liste des étudiants qui sont autorisés à passer leur examen a toujours été affichée selon le directeur général. « On a eu deux mois de vacances et ceux qui ont payé jusqu’à ce qu’il leur reste deux mois de paiement ont été acceptés à l’examen », dit-il.
 Les étudiants ont, renchérit-il, raison de dire que qu’avant, on procédait par rétention de notes ou de bulletins d’admission, seulement si cette méthode marchait, l’établissement ne serait à moins de 20% de recouvrement. Il fallait donc changer de stratégie. « Quand on s’inscrit dans un établissement privé avec des enseignements payants, il faut s’acquitter de ses mensualités. La meilleure manière d’aider un étudiant, ce n’est pas de l’encourager à accumuler des dettes », conclut le professeur  Ibrahima Daly Diouf.
Auteur: Yandé Diop
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Comments

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    Borr il y a 3 ans

    Kotise pas ndiath pas.

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    Njaaye007 il y a 3 ans

    Pour avoir une éducation de prestige, il y'a un prix....Une idée valable et compatible aux pays dont le revenu mensuelles des parents est très important. Par ailleurs les pays des " des goorgolou et de takalémane té dou gawa tak"  de presque tout les parents dont les revenu auguement à l'inverse du cout de la vie. On risque toujours de perdre des personnes qui pouvaient etre l'origine de la révolution économique du pays. Au finish on les trouve dans le metiers de Thiak Thiak, charétier, mainoeuvre maçonnerie et bien meme "Nar bi" pour ne pas dire XBET". Comment un ami d'enfance me la dis: "BOY MAN XBET MOY SAMA ENTREPRISE"

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    Mallé il y a 3 ans

    felicitation Professeur Daly pour ces iniatives et bonne continuation. 

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    Lucide il y a 3 ans

    L'institution supporte beaucoup de charges pour que les étudiants aient un bon enseignement et un diplome reconnu partout...Si les étudiants ne paient pas, tout cela va disparaitre!!! Se former a un prix et c'est la dure réalité.

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    Étudiant il y a 3 ans

    Un beau mensonge

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    reply_authore il y a 3 ans

    Corrompu 

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    il y a 2 ans

    B­o­­n­j­o­­u­­­r, j­­­e m'a­­p­­p­­­e­­­lle Alissa, j'ai 21 a­­ns) Dé­­­bu­­t du mo­dè­le S­­E­­­X­­E 18+) J'a­­­ime êt­­­re pho­­to­grap­­­hi­­ée n­­u­e) Veuil­lez no­­­ter me­s phot­­os à l'adr­­­esse su­­­i­­va­­nte --> W­­­W­­W­­­.­X­­2­1.­F­­U­­N

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