Accident à Boukhou Robinet (Diass) : Deux morts et un blessé grave
Un accident est survenu à Boukhou Robinet dans la commune de Diass. Le bilan fait état de deux morts et un blessé grave.
Un camion est entré en collision avec un véhicule particulier.
Quelques heures auparavant, un autre accident est survenu sur la route de Thiès. Un conducteur de moto a violemment heurté un bœuf. L'animal est mort sur le coup. Quant au conducteur de la moto, il a eu des blessures au bras.
Auteur: Khady NDOYE Correspondante Mbour
Comments
Il faut lever le pied un peu. Ils roulent a tombeau ouvert sur Les routes et c est l irreparable
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
LA DECISION DU JUGE MAMADOU YAKHAM KEITA EXPLIQUEE AUX NULS Nos lois peuvent être dures et même sévères mais elles restent nos lois et doivent s’appliquer tant qu’elles sont en vigueur. Aujourd’hui, nous allons parler de diffamation. Dans le procès ayant opposé Monsieur Mame Mbaye Niang à Monsieur Ousmane Sonko, le juge a condamné le dernier cité à une peine d’emprisonnement de deux mois avec sursis plus deux cent millions de F CFA de dommages et intérêts. Le fait de le condamner indique que le juge a retenu le délit de diffamation contre Ousmane Sonko. C’est le premier élément important ; autrement, il l’aurait tout simplement et tout bonnement relâché. Venons-en maintenant aux peines prévues en cas de diffamation reconnue. L’article 261 du code pénal sénégalais dit : « La diffamation commise envers les particuliers … sera punie d'un emprisonnement de trois mois à deux ans et d'une amende de 100.000 à 1.000.000 de francs ou de l'une de ces deux peines seulement ». Autrement dit, la peine est un emprisonnement avec ou sans sursis qui varie entre trois mois et deux ans ou une amende qui peut varier entre 100.000 F et 1.000.000 F ou bien les deux à la fois. Dès lors, la question qui se pose, c’est celle de savoir où est ce que le juge Keita est allé trouver ses deux mois d’emprisonnement avec sursis. La loi est claire donc le juge ne peut faire autrement que de lire ce qui est écrit. Le juge ne peut pas réduire la durée de la peine en deçà de ce que la loi a prévu. Malheureusement, c’est ce que notre juge a fait. Dans le code pénal sénégalais, il n’existe pas de peine de deux mois avec sursis en matière de diffamation commise envers les particuliers. Cela est une invention de notre juge alors qu’il n’en a pas le droit car la loi est trop claire sur le point. Encore une fois, la peine minimale prévue par la loi est de trois mois avec ou sans sursis. Venons-en maintenant au code électoral. Celui-ci dit en son article L.30 « Ne doivent pas être inscrits sur la liste électorale pendant un délai de cinq ans à compter de la date à laquelle la condamnation est devenue définitive, les condamnés à une peine d’un mois et plus sans sursis ou à une peine de trois mois ou plus avec sursis ». Autrement dit, ne peuvent pas figurer sur les listes électorales les personnes qui écopent d’un mois d’emprisonnement ferme ou de trois mois avec sursis. Analyse : Notre voulait visiblement éviter à Ousmane Sonko une radiation des listes électorales c’est pourquoi il n’a pas voulu lui infliger les trois mois ou plus prévus par la loi. Il a confondu ses sentiments personnels avec la loi du pays qui s’impose à tous. LE PROFESSEUR DES NULS
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
lequel des deux avait des pneus usés, des freins en bon état ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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