Le ministre du Commerce et de l'Industrie avait annoncé la suspension de l'importation de la friperie. Une annonce pas bien accueillie par les Sénégalais. En effet, avec plus de 2 500 produits importés représentant plus de 6 000 milliards de francs CFA, le Sénégal fait face à une dépendance économique critique. L'invité du "Jury du dimanche", Ibrahima Thiam, secrétaire d'État au Développement des PME-PMI, souligne l'ambition de l'État de limiter les importations, notamment dans le secteur de la friperie. Il affirme que l'État résiste aux pressions et travaille à des solutions concertées pour réorganiser la politique économique.
« Quand on dit importation par rapport à ces 2 500 produits, forcément, la friperie est dedans. Notre objectif, c'est d'avoir une économie compétitive, debout, capable de satisfaire la consommation locale et d'attaquer le marché sous-régional et international. Ce n'est pas une question d'autorité. On a un ministre de l'Industrie et du Commerce, un ensemble de membres du gouvernement qui suivent les orientations du chef d'État et du Premier ministre et qui essaient de proposer des solutions avec une écoute, avec de la diplomatie, à sensibiliser davantage les différents acteurs, les différents piliers qui existent. Mais avec le temps, je pense que nous allons sensibiliser davantage, essayer aussi de trouver des solutions par rapport aux différentes problématiques qu'on rencontre souvent dans l'exercice de nos missions", dit-il.
Poursuivant, M. Thiam souligne que "ce n'est pas un problème de pression ou bien de recul. Nous sommes un État, nous devons aussi écouter les partenaires. Le Premier ministre dit la même chose pour trouver des solutions par rapport à nos différentes orientations. Nous avons un peuple qui nous a élus à 54 % au premier tour. Donc, nous ne sommes pas là également à faire du recul ou de céder à la pression des différents consulats. Mais on va écouter, on va essayer de trouver des solutions ».
Auteur: Yande Diop
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Serie Les aventuriers. Episode 3
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pastef est rempli de personnes haineux un danger pour ce pays il faut côtoyer c gens pour le savoir ce n'est pas tout le monde Mais ils représentent 20%
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pastef est rempli de personnes haineux un danger pour ce pays il faut côtoyer c gens pour le savoir ce n'est pas tout le monde Mais ils représentent 20%
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Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Tu confonds haineux et ignares ! Pastef est rempli de cancres, des nullards propulsés Ministres et DG. Merci le nouveau système.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Faites attention ! Interdire le feeg diay et laisser pertersen ak centenaire au produit d'habillement chinois n'aura aucun sens. Il faut interdire les 2 parce que les produits d'habillement chinois sont plus consommés aux senegal que le feeg diay. Par contre est il possible de fermer nos barrières douanières à l'importation d'habillement chinois ??? En tout cas il faut bien analyser le portefeuille d'investissement de la Chine avant tout acte de souveraineté mal placé. Sinon le scénario saoudien avec le ministre de l'eau va se reproduire dans votre département. Cordialement. Jub jubal jubenty job Excusez des fautes
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Faites attention ! Interdire le feeg diay et laisser pertersen ak centenaire au produit d'habillement chinois n'aura aucun sens. Il faut interdire les 2 parce que les produits d'habillement chinois sont plus consommés aux senegal que le feeg diay. Par contre est il possible de fermer nos barrières douanières à l'importation d'habillement chinois ??? En tout cas il faut bien analyser le portefeuille d'investissement de la Chine avant tout acte de souveraineté mal placé. Sinon le scénario saoudien avec le ministre de l'eau va se reproduire dans votre département. Cordialement. Jub jubal jubenty job Excusez des fautes
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Vous savez dans les commentaires il y'a des gens qui ont été placés par des barons du régime déchue pour intervenir sur tous les sujets pour influencer un homme au Maroc pour lui faire croire qu'il est déjà regretté et de là par la manipulation lui pousser à reconsidérer ses positions et envisager de se maintenir en politique. C'est une entreprise grandiose avec beaucoup de financement et d'ailleurs qui ne s'arrête pas seulement sur les médias électroniques mais bien au delà et dans des interventions subversives destinées à mal interpréter les actes posés à séparer le camp au pouvoir.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
menteur cerifié
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tiey le nouveau régime . ok vous proposer quoi comme alternative . boo téégéé daara dangay tekk dara .
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La mode est l’une des industries les plus polluantes de la planète, tant au niveau de ses émissions de CO2 que pour sa consommation d'eau. Le développement de la fast-fashion, mode rapidement produite et rapidement jetée, aggrave considérablement la situation. Heureusement, des solutions apparaissent. La mode est un secteur qui a beaucoup de mal à se mettre au vert. En cause : la consommation et la production de vêtements qui ne cessent d’augmenter. On parle ici de Fast-fashion : une mode rapidement produite, rapidement consommée et rapidement jetée. Il faut savoir que chaque année dans le monde, 130 milliards de vêtements neufs sont vendus, soit une augmentation de 40% en quinze ans. Et bien sûr, ces vêtements sont conservés deux fois moins longtemps. Alors pour quelles raisons, l’industrie textile pollue-t-elle autant ? C'est le 3e secteur le plus consommateur d’eau après la culture du blé et du riz, et son impact sur la planète est énorme. On estime, en effet, que l'industrie de la mode est responsable d'environ 20 % des eaux usées de la planète et d'environ 10 % des émissions de gaz à effet de serre. Son impact est même plus important que les vols internationaux et le trafic maritime réunis. Selon l’ADEME, l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie : La production et la vente de vêtements représentent 4 milliards de tonnes de gaz à effet de serre dans le monde. ADEME Et puis, le cycle de vie de nos vêtements comprend de nombreuses étapes et procédés qui nuisent non seulement à l’environnement, mais également aux personnes qui les fabriquent et qui les portent. Des modes de production pas très verts Et la première étape de la fabrication d'un vêtement, c’est le choix de la matière première et sa production : 24% de la production mondiale des fibres textiles provient du coton. Et on le sait, la culture du coton nécessite beaucoup d’eau et de pesticides, avec des impacts majeurs sur la biodiversité et la santé des agriculteurs, sans parler des problèmes éthiques et sociaux que cela peut poser dans certaines régions du monde. 68 % des fibres textiles sont synthétiques, c’est-à-dire obtenus par synthèse de composés chimiques issus du pétrole, source d’émission de gaz à effet de serre. 8% proviennent de matières végétales et animales : comme le chanvre, le lin, la laine, la soie. La seconde étape, c’est la fabrication du vêtement qui nécessite de grandes quantités d’eau et d’énergie. À titre d’exemple, il faut l'équivalent de 70 douches pour fabriquer un T-shirt, et de 285 douches pour un jean, soit en moyenne 9000 litres d’eau pour un pantalon de cowboy. Il faut aussi prendre en considération l’utilisation de produits et substances toxiques qui polluent les eaux, les sols et qui engendrent la dégradation des écosystèmes et donc de la biodiversité. Et la problématique est planétaire : reprenons l’exemple de la fabrication du jean. Le coton utilisé provient d’Inde, il est ensuite filé, tissé et teint en Chine ou en Turquie puis confectionné au Bangladesh pour être vendu en France et partout dans le monde. Il parcourt donc des milliers de kilomètres, ce qui engendre bien sûr des émissions de CO2. Mais un autre paramètre reste à considérer : la surproduction engendre une surconsommation, et la surconsommation nous conduit vers le gaspillage textile et donc vers le problème de la gestion des déchets textiles. Le gaspillage vestimentaire : un véritable fléau En 15 ans, en Europe, une personne a acheté 40 % de vêtements en plus et les a conservés moitié moins longtemps. Les industriels l’ont bien compris : avec la fast-fashion, nous sommes passés de 2 collections par an en 2000, à 24 collections dans certains magasins, voire à des nouveaux modèles chaque jour sur des plates-formes d'e-commerce. Mais ces vêtements ne sont pas toujours de très bonne qualité. Résultat : on les oublie ou on les jette ! Et c'est alors un véritable fléau pour l'environnement. À titre d'exemple, dans le monde, l’équivalent d’un camion à ordure plein de vêtements est brûlé ou jeté dans une décharge chaque seconde. Vers une modification des modes de fabrication et de consommation Une prise de conscience de la gravité de la situation s'opère progressivement et certains gouvernements promulguent des lois pour tenter de réduire l'impact de la production textile sur l'environnement. De plus en plus de fabricants choisissent des matières premières moins polluantes et des modes de fabrications moins nocifs pour la planète. Le consommateur peut alors agir à son niveau en privilégiant les vêtements de seconde main, en choisissant les "bonnes" matières, en privilégiant le made in France et en faisant des dons. Et pour nous aider dans ces choix parfois compliqués, sachez qu'il existe des applications pour téléphones portables, qui permettent d'évaluer la provenance, le mode de fabrication et l'impact sur la planète. Enfin, n'oublions pas la fameuse phrase de Coco Chanel :" La mode est un éternellement recommencement", alors à quoi bon surconsommer ?
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les sournaleux radotent, 2ème passage de cet article , manque d'imagination ? fainéantise ? bêtise ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Si ce n'est pas une reculade, ça s'appelle comment alors? Les opérateurs du secteur ont conscience que MENATOU MO YAKHONE BETOU GOLO ! Ils ont raison de refuser d'être transformés en cobayes. Et puis ,il faut laisser les gens choisir ce qu'ils veulent porter. Le diaye dolé ne peut prospérer au Sénégal.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Si ce n'est pas une reculade, ça s'appelle comment alors? Les opérateurs du secteur ont conscience que MENATOU MO YAKHONE BETOU GOLO ! Ils ont raison de refuser d'être transformés en cobayes. Et puis ,il faut laisser les gens choisir ce qu'ils veulent porter. Le diaye dolé ne peut prospérer au Sénégal.
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La mode est l’une des industries les plus polluantes de la planète, tant au niveau de ses émissions de CO2 que pour sa consommation d'eau. Le développement de la fast-fashion, mode rapidement produite et rapidement jetée, aggrave considérablement la situation. Heureusement, des solutions apparaissent. La mode est un secteur qui a beaucoup de mal à se mettre au vert. En cause : la consommation et la production de vêtements qui ne cessent d’augmenter. On parle ici de Fast-fashion : une mode rapidement produite, rapidement consommée et rapidement jetée. Il faut savoir que chaque année dans le monde, 130 milliards de vêtements neufs sont vendus, soit une augmentation de 40% en quinze ans. Et bien sûr, ces vêtements sont conservés deux fois moins longtemps. Alors pour quelles raisons, l’industrie textile pollue-t-elle autant ? C'est le 3e secteur le plus consommateur d’eau après la culture du blé et du riz, et son impact sur la planète est énorme. On estime, en effet, que l'industrie de la mode est responsable d'environ 20 % des eaux usées de la planète et d'environ 10 % des émissions de gaz à effet de serre. Son impact est même plus important que les vols internationaux et le trafic maritime réunis. Selon l’ADEME, l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie : La production et la vente de vêtements représentent 4 milliards de tonnes de gaz à effet de serre dans le monde. ADEME Et puis, le cycle de vie de nos vêtements comprend de nombreuses étapes et procédés qui nuisent non seulement à l’environnement, mais également aux personnes qui les fabriquent et qui les portent. Des modes de production pas très verts Et la première étape de la fabrication d'un vêtement, c’est le choix de la matière première et sa production : 24% de la production mondiale des fibres textiles provient du coton. Et on le sait, la culture du coton nécessite beaucoup d’eau et de pesticides, avec des impacts majeurs sur la biodiversité et la santé des agriculteurs, sans parler des problèmes éthiques et sociaux que cela peut poser dans certaines régions du monde. 68 % des fibres textiles sont synthétiques, c’est-à-dire obtenus par synthèse de composés chimiques issus du pétrole, source d’émission de gaz à effet de serre. 8% proviennent de matières végétales et animales : comme le chanvre, le lin, la laine, la soie. La seconde étape, c’est la fabrication du vêtement qui nécessite de grandes quantités d’eau et d’énergie. À titre d’exemple, il faut l'équivalent de 70 douches pour fabriquer un T-shirt, et de 285 douches pour un jean, soit en moyenne 9000 litres d’eau pour un pantalon de cowboy. Il faut aussi prendre en considération l’utilisation de produits et substances toxiques qui polluent les eaux, les sols et qui engendrent la dégradation des écosystèmes et donc de la biodiversité. Et la problématique est planétaire : reprenons l’exemple de la fabrication du jean. Le coton utilisé provient d’Inde, il est ensuite filé, tissé et teint en Chine ou en Turquie puis confectionné au Bangladesh pour être vendu en France et partout dans le monde. Il parcourt donc des milliers de kilomètres, ce qui engendre bien sûr des émissions de CO2. Mais un autre paramètre reste à considérer : la surproduction engendre une surconsommation, et la surconsommation nous conduit vers le gaspillage textile et donc vers le problème de la gestion des déchets textiles. Le gaspillage vestimentaire : un véritable fléau En 15 ans, en Europe, une personne a acheté 40 % de vêtements en plus et les a conservés moitié moins longtemps. Les industriels l’ont bien compris : avec la fast-fashion, nous sommes passés de 2 collections par an en 2000, à 24 collections dans certains magasins, voire à des nouveaux modèles chaque jour sur des plates-formes d'e-commerce. Mais ces vêtements ne sont pas toujours de très bonne qualité. Résultat : on les oublie ou on les jette ! Et c'est alors un véritable fléau pour l'environnement. À titre d'exemple, dans le monde, l’équivalent d’un camion à ordure plein de vêtements est brûlé ou jeté dans une décharge chaque seconde. Vers une modification des modes de fabrication et de consommation Une prise de conscience de la gravité de la situation s'opère progressivement et certains gouvernements promulguent des lois pour tenter de réduire l'impact de la production textile sur l'environnement. De plus en plus de fabricants choisissent des matières premières moins polluantes et des modes de fabrications moins nocifs pour la planète. Le consommateur peut alors agir à son niveau en privilégiant les vêtements de seconde main de qualité, en choisissant les "bonnes" matières, en privilégiant le made in Sénégal et en faisant des dons , On constate souvent une surconsommation de vêtements dans nos pays, surtout chez les femmes (Tabaski, Korité, Guinttée, mariage...) Et pour nous aider dans ces choix parfois compliqués, sachez qu'il existe des applications pour téléphones portables, qui permettent d'évaluer la provenance, le mode de fabrication et l'impact sur la planète. Enfin, n'oublions pas la fameuse phrase de Coco Chanel :" La mode est un éternellement recommencement", alors à quoi bon surconsommer ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La mode est l’une des industries les plus polluantes de la planète, tant au niveau de ses émissions de CO2 que pour sa consommation d'eau. Le développement de la fast-fashion, mode rapidement produite et rapidement jetée, aggrave considérablement la situation. Heureusement, des solutions apparaissent. La mode est un secteur qui a beaucoup de mal à se mettre au vert. En cause : la consommation et la production de vêtements qui ne cessent d’augmenter. On parle ici de Fast-fashion : une mode rapidement produite, rapidement consommée et rapidement jetée. Il faut savoir que chaque année dans le monde, 130 milliards de vêtements neufs sont vendus, soit une augmentation de 40% en quinze ans. Et bien sûr, ces vêtements sont conservés deux fois moins longtemps. Alors pour quelles raisons, l’industrie textile pollue-t-elle autant ? C'est le 3e secteur le plus consommateur d’eau après la culture du blé et du riz, et son impact sur la planète est énorme. On estime, en effet, que l'industrie de la mode est responsable d'environ 20 % des eaux usées de la planète et d'environ 10 % des émissions de gaz à effet de serre. Son impact est même plus important que les vols internationaux et le trafic maritime réunis. Selon l’ADEME, l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie : La production et la vente de vêtements représentent 4 milliards de tonnes de gaz à effet de serre dans le monde. ADEME Et puis, le cycle de vie de nos vêtements comprend de nombreuses étapes et procédés qui nuisent non seulement à l’environnement, mais également aux personnes qui les fabriquent et qui les portent. Des modes de production pas très verts Et la première étape de la fabrication d'un vêtement, c’est le choix de la matière première et sa production : 24% de la production mondiale des fibres textiles provient du coton. Et on le sait, la culture du coton nécessite beaucoup d’eau et de pesticides, avec des impacts majeurs sur la biodiversité et la santé des agriculteurs, sans parler des problèmes éthiques et sociaux que cela peut poser dans certaines régions du monde. 68 % des fibres textiles sont synthétiques, c’est-à-dire obtenus par synthèse de composés chimiques issus du pétrole, source d’émission de gaz à effet de serre. 8% proviennent de matières végétales et animales : comme le chanvre, le lin, la laine, la soie. La seconde étape, c’est la fabrication du vêtement qui nécessite de grandes quantités d’eau et d’énergie. À titre d’exemple, il faut l'équivalent de 70 douches pour fabriquer un T-shirt, et de 285 douches pour un jean, soit en moyenne 9000 litres d’eau pour un pantalon de cowboy. Il faut aussi prendre en considération l’utilisation de produits et substances toxiques qui polluent les eaux, les sols et qui engendrent la dégradation des écosystèmes et donc de la biodiversité. Et la problématique est planétaire : reprenons l’exemple de la fabrication du jean. Le coton utilisé provient d’Inde, il est ensuite filé, tissé et teint en Chine ou en Turquie puis confectionné au Bangladesh pour être vendu en France et partout dans le monde. Il parcourt donc des milliers de kilomètres, ce qui engendre bien sûr des émissions de CO2. Mais un autre paramètre reste à considérer : la surproduction engendre une surconsommation, et la surconsommation nous conduit vers le gaspillage textile et donc vers le problème de la gestion des déchets textiles. Le gaspillage vestimentaire : un véritable fléau En 15 ans, en Europe, une personne a acheté 40 % de vêtements en plus et les a conservés moitié moins longtemps. Les industriels l’ont bien compris : avec la fast-fashion, nous sommes passés de 2 collections par an en 2000, à 24 collections dans certains magasins, voire à des nouveaux modèles chaque jour sur des plates-formes d'e-commerce. Mais ces vêtements ne sont pas toujours de très bonne qualité. Résultat : on les oublie ou on les jette ! Et c'est alors un véritable fléau pour l'environnement. À titre d'exemple, dans le monde, l’équivalent d’un camion à ordure plein de vêtements est brûlé ou jeté dans une décharge chaque seconde. Vers une modification des modes de fabrication et de consommation Une prise de conscience de la gravité de la situation s'opère progressivement et certains gouvernements promulguent des lois pour tenter de réduire l'impact de la production textile sur l'environnement. De plus en plus de fabricants choisissent des matières premières moins polluantes et des modes de fabrications moins nocifs pour la planète. Le consommateur peut alors agir à son niveau en privilégiant les vêtements de seconde main de qualité, en choisissant les "bonnes" matières, en privilégiant le made in Sénégal et en faisant des dons , On constate souvent une surconsommation de vêtements dans nos pays, surtout chez les femmes (Tabaski, Korité, Guinttée, mariage...) Et pour nous aider dans ces choix parfois compliqués, sachez qu'il existe des applications pour téléphones portables, qui permettent d'évaluer la provenance, le mode de fabrication et l'impact sur la planète. Enfin, n'oublions pas la fameuse phrase de Coco Chanel :" La mode est un éternellement recommencement", alors à quoi bon surconsommer ?
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ils enchainent bêtise sur bêtise, si c'est ça la rupture, ramenez nous macky sall svp, ces gens n'écoutent personne, même pas leurs électeurs, je n'ai jamais vu ça
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ce régime n'écoute personne, même pas leurs électeurs, j'ai l'impression qu'ils seront pires que macky, ils parlent déjà de reculade manaame ils ont des problèmes d'ego pour certains, l'humilité commence à prendre la poudre d'escampette, gouverner par la force, les gens se sont battus contre ça jusqu'à vous mettre à la tête du pays et maintenant vous voulez vous y mettre, diaay doolé dans tout ce que vous faites, on vous sanctionnera autrement le moment venu
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Pastef plein de gens haineux
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Hahaaa mon gars personne n’a placé personne pour faire quoique ce soit. Il se trouve que beaucoup qui avaient placé des espoirs énormes en une jeune génération, sont désabusés par les choix politiques irréfléchis et totalement contreproductifs des tenants actuels du pouvoir. L’exemple le plus édifiant ce sont les mesures contre le BTP. On peut continuer les exemples. Le début n’es pas bon, il faut être aveugle pour ne pas s’en rendre compte. Il faut changer de cap, car l’économie c’est une science exacte, les choix se paient cash. A bon entendeur
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Hahaaa mon gars personne n’a placé personne pour faire quoique ce soit. Il se trouve que beaucoup qui avaient placé des espoirs énormes en une jeune génération, sont désabusés par les choix politiques irréfléchis et totalement contreproductifs des tenants actuels du pouvoir. L’exemple le plus édifiant ce sont les mesures contre le BTP. On peut continuer les exemples. Le début n’es pas bon, il faut être aveugle pour ne pas s’en rendre compte. Il faut changer de cap, car l’économie c’est une science exacte, les choix se paient cash. A bon entendeur
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A bas le feuggeu diaye plein de maladies des toubabs et vive l'habillement local
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Attention que notre Pays ne devienne une grande poubelle de la friperie de l'Occident comme le Ghana et le Nigéria. Même leurs mers et plages sont remplies de ces déchets.
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Hhhhhhhh
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Ah vos nouveaux maîtres chinois ! 😂
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Faut interdire l’importation des boissons et bouteilles d’eau
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Doul rek! Laissez le régime actuel faire son travail.
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Nous voulons de la friperie de qualité mais pas de déchets polluants
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Yere wolof wax africain consommation locale
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Yere wolof wax africain consommation locale! Vous essayez d'influencer la masse mais sachez qu'on est à l'ère des sénégalais conscients et alertés nous avons choisi de faire autrement et nous suivrons le rythme nous leur faisons confiance et ils peuvent nous guider vers la lumière alors vous autre les avides de pouvoir restez là-bas et attendez les résultats vous saurez que vous n'avez jamais rien foutu sinon nous voler comme des laches
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Mraam dji xàna apr la bokkou les habits de mauvaise qualité venant de chine sont plus nombreux que la friperie
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Sénéweb 6000 milliards c'est plus le budget du Sénégal. Attention au chiffre sur la friperie, je crois que le chiffre indiqué n'est pas réel
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Toi là ferme ta gueule
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Toi là ferme ta gueule
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Toi là ferme ta gueule
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Toi là ferme ta gueule
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En France, cela doit être pareil ailleurs en Europe, les gens déposent les vêtements dans des containers dans la rue. Ces vêtements sont triés et nettoyés au Maghreb, ils gardent les vêtements neufs et en bons état pour les REVENDRE chez eux, et le reste est revendu chez leurs frères Z Africains.
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En France, cela doit être pareil ailleurs en Europe, les gens déposent les vêtements dans des containers dans la rue. Ces vêtements sont triés et nettoyés au Maghreb, ils gardent les vêtements neufs et en bons état pour les REVENDRE chez eux, et le reste est revendu chez leurs frères Z Africains.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
En France, cela doit être pareil ailleurs en Europe, les gens déposent les vêtements dans des containers dans la rue. Ces vêtements sont triés et nettoyés au Maghreb, ils gardent les vêtements neufs et en bons état pour les REVENDRE chez eux, et le reste est revendu chez leurs frères Z Africains.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les tonneaux vides feront toujours plus de bruits
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