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Thursday 24 April, 2025
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Wrestling: Amsatou Sow Sidibé pleads for the temporary suspension of fights

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lutte

The National Human Rights Commission of Senegal (CNDH) joins the calls for the suspension of Senegalese wrestling. Following the death of Babacar Diagne following the Franc-Ama Baldé fight and the police's decision to no longer provide security for the fights, the association chaired by Amsatou Sow Sidibé is calling for the temporary suspension of wrestling followed by inclusive consultations to establish a secure management framework around the national sport. Here is the full CNDH-S press release.

 

"On the need for a temporary suspension of wrestling matches.

The National Human Rights Commission of Senegal (CNDH-S) takes note of the press release from the National Police announcing the cessation, until further notice, of security coverage of wrestling matches.

The CNDH-S recalls that sport is one of the rights of the citizen. However, the exercise or enjoyment of a right or freedom cannot constitute an obstacle to the right or freedom of others. Public order must be preserved. Citizens must be protected.

The National Human Rights Commission of Senegal (CNDH-S) expresses its deep concern about the violence that systematically occurs after sporting events. The CNDH-S recalls that the right to security is a fundamental right. Wrestling, as a Senegalese cultural heritage, must not be tarnished by violence that jeopardizes social cohesion and living together.

In addition to the decision of the National Police to stop supervising wrestling matches, the CNDH-S strongly recommends the temporary suspension of wrestling sessions and calls for:

- An urgent dialogue between the public authorities, the National Wrestling Management Committee (NGM), wrestling promoters and civil society for the establishment of a rigorous and secure management framework for wrestling fights.

- The establishment of strict measures to control the flow of spectators, with an effective system for controlling access and securing routes.

- Increased awareness among supporters, populations and those involved in the fight about risks, responsibilities and accountability.

- Firm and exemplary justice against the perpetrators of violence in order to stem impunity.

The Commission remains mobilised and calls on all stakeholders to act quickly and effectively to restore a climate of peace around this emblematic sport."

Auteur: Mouhamed CAMARA
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Comments

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    Défenseur il y a 2 mois

    Dèt Madame ! Les étudiants font pire tout comme les supporters du foot.

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    Mella il y a 2 mois

    Bienvenue sur le meilleur site de rencontres sexe -- www.Hot4.eu

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    L'homme il y a 2 mois

    Combien de mort dans le mode de sport par an au Sénégal parse que un pastefien a perdu la vie

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    Eclaireur il y a 2 mois

    C'est evidetn qu'avec cette decision du Ministere de l'Interieur, il ne peut plus y avoir de combats ! Vous devez commprendre que par definition la lutte c'est la violance dans toutes ces formes, meme en casamance ou on a cette culture de lutte communautaires meme la plupart sont calmes mais l arrive souvent de sconflits ...

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    pap il y a 2 mois

    cette suspension ne doit pas etre provisoire,elle doit etre défnitive,la lutte actuelle n'est ni du sport,ni de la culture mais de la barbertie faite par des sauvages qui viennent des banlieues

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    Manatila il y a 2 mois

    La lutte a pris de l'envol, il faut le reconnaître. Elle doit être restructurée de 3 façons: 1- Mettre un chapiteau pour chaque lutteur et c'est â l'intérieur oû le lutteur fera ses débadéb ou autres kharfafoufeu. Cela dégage une mauvaise image de ces lutteurs qui perdent un temps fou pour ces futilités. Aucun lutteur ne peut prendre une seule bouteille hors du chapiteau qui est fermé, du reste. Il peut tout faire dedans mais à sa sortie, il n'a plus aucun droit que de se réchauffer avant le coup de sifflet de l'arbitre. 2- Les combats doivent commencer dès 15h et à 17h pile, le grand combat. À 18h, on est de retour à la maison. Dix sept heures PILE, le grand combat. 3- La veille de chaque grand combat, la Police fait passer une publicité. Toute personne prise dans un fait de violence fera trois nuits en plein ciel dans un terrain vague d'un camp de Gendarmerie ou de Police. Et le terrain serait arrosé et elle sera forcée de se coucher à même le sol, trois nuits d'affilée! Et avant sa libération, elle doit payer une amende d'au moins 50 000. En cas de récidive, elle sera interdite de stade et les jours de grand combat, il devra obligatoirement se présenter à un poste de police dédié et il s'occupera de nettoyage durant le temps du combat. Gérer un pays, c'est travailler à ce que les gens mangent, boivent et se soignent. Mais c'est aussi ne PAS tolérer une violence. AUCUNE FORME de violence admise. Si vous cherchez un chef, appelez-moi. J'ai oublié mon téléphone!

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