La 9e réunion de l'Alliance Dioko a réuni à Saly les acteurs français et sénégalais mobilisés pour les préparatifs des Jeux olympiques de la jeunesse (JOJ) 2026.
Selon le coordonnateur du COJOJ Dakar-2026 Ibrahima Wade, près de 900 personnes sont engagées. "À trois ans des jeux, le comité est sur le bon tempo. Ayant bénéficié du report de quatre ans, nous continuons la dynamique. Aujourd'hui, nous pouvons dire très clairement que la préparation est sur de très bons rails. Nous sommes très avancés sur tout ce qui touche le plan de mobilité, sur les stades, les sites. Un élément majeur est que les JOJ n'entraînent pas de constructions nouvelles. Néanmoins, nous avons des infrastructures à réhabiliter, notamment le stade Iba Mar Diop, le tour de l'Oeuf qui abrite la Piscine olympique. Sur d'autres aspects, nous continuons notre plan de recrutement des ressources humaines. Nous sommes à près de 900 personnes que nous devons mettre dans le comité d'organisation. C'est quand même un évènement majeur, ce n'est pas comme la Coupe du monde ou la Coupe d'Afrique. Nous sommes au-delà de 35 sports", explique Ibrahima Wade.
Il assure que les partenariats se poursuivent et c'est dans le cadre de ces partenariats qu'ils ont signé cette importante rencontre de l’alliance Dioko. "Cette alliance, c'est un cadre que nous avons mis en place entre les partenaires français autour de Paris-2024. Paris qui accueille les JO dans quelques mois et Dakar-2026 qui nous a permis de bénéficier des financements à travers l'Agence française de développement (AFD) pour la réhabilitation des sites, de bénéficier de tout ce qui est accompagnement des fédérations sportives", a assuré M. Wade.
Vincent Pasquini, responsable du pôle Coopération internationale de Paris-2024, magnifie ces jeux qui, selon lui, est un héritage. "Ces jeux viennent juste après 2024. On a envie de les soutenir jusqu'au bout. Que tous les autres acteurs français continuent à soutenir Dakar jusqu'en 2026. L'objectif de cette réunion, c'est d'écouter toutes les parties prenantes, qu'on puisse évaluer les progrès dans l'organisation de JOJ-2026. Pour nous, c’est très important d’être ici, de soutenir les Jeux olympiques de la jeunesse, parce qu’il y a une continuité entre Paris-2024 et Dakar-2026. Nous avons les mêmes objectifs. Nous sommes ici pour discuter de notre coopération de Dakar-2026", a souligné Vincent Pasquini.
Il assure qu'ils sont satisfaits de la manière dont les choses évoluent. Nicolas Chamerois, chef de projet, engagement et développement, se réjouit de l'engouement noté autour de ces jeux. Mais surtout de la mobilisation et de l'implication de la jeunesse.
Auteur: Khady NDOYE Correspondante Mbour
Comments
lou thi yonu france ci sunny JO. ou bien on peut pas faire sans la france ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Un comité préparatoire de 900 personnes pendant 3 ans au frais du contribuable sénégalais. Ce pays est foutu depuis. Qu est ce que nous avons fait au bon dieu pour mériter de tel diŕigeants.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Quand tu comprendras comité olympique internationale, comité olympique nationale , fédération et autres du pourras parler en attendant tu as plus besoin que l'on t enseigne le fonctionnement de tout ça que d'émettre un avis sur les finances publiques qui ne sont pas concernés directement, le CIO faisant tout hors politique. Mais le nouveau révolutionnaire est tout sauf instruit plus proche de l anarchiste que du visionnaire
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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