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Renouvellement parc de taxi urbains : Fongip et Fdtt signent une convention

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Renouvellement parc de taxi urbains : Fongip et Fdtt signent une convention

Afin d’accompagner le renouvellement des taxis urbains, le Fonds de garantie des investissements prioritaires (Fongip) et le Fonds de développement des transports terrestres (Fdtt) ont signé ce lundi 30 décembre, au siège du Fongip, une convention pour fournir aux chauffeurs de taxi et aux usagers un système d’exploitation moderne. En effet, la convention porte sur la définition des « modalités de gestion de la ligne de garantie mise en place par le FDTT et le FONGIP pour le financement du programme de renouvellement des taxis urbains.  "Elle porte sur l'appui à l'acquisition et à l'exploitation de véhicules neufs contribuant au renouvellement du parc de taxis urbains dans toutes les régions", a affirmé Ndeye Fatou Mbodj, Administratrice Générale du FONGIP lors de son discours. 
Ainsi, pour « favoriser le financement d'une phase pilote de 500 taxis au profit des exploitants dans la région de Dakar », les deux structures ont chacune fait une dotation initiale de 250 millions de Fcfa, soit 500 millions Fcfa pour « pour couvrir les risques d'impayés sur les crédits accordés par les institutions financières aux acquéreurs de véhicules dans le cadre de ce programme », a dit l’Administratrice Générale du FONGIP lors de son discours.
Pour Bara Sow, Administrateur  du Fonds de Développement des Transports Terrestres (FDTT), cette convention entre dans le cadre de la « mise en œuvre du nouveau référentiel des politiques publiques au Sénégal en matière de transport » et « œuvre en faveur du rajeunissement  du parc des véhicules pour une modernisation des systèmes de transport public au Sénégal telle que préconisée lors des états généraux des transports publics ».
Les chauffeurs ayant une carte grise régulière d'un taxi urbain, une licence de taxi urbain, membre d'un GIE ou d'une société dûment constituée entité agréée de transport pour le projet, un agrément de transport en cours, sont les cibles de ce financement.
La convention de financement du programme de renouvellement des taxis urbains, multipartite est signée entre la Direction générale des transports terrestres (Dgtt), le Conseil exécutif des transports urbains durables (Cetud), le Fdtt, le Fongip et Seniran Auto Sa.
Auteur: Léna THIOUNE
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Comments

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    il y a 3 mois

    Quand je vois l i mage de dakar,surtout le centre ville,il y a des voitures modernes comme dans toutes les grandes villes du monde,mais les taxis,les cars rapides ou cars lentes,les tatas etc...font tout de suite penser qu on est dans pays pauvre

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    il y a 3 mois

    Pauvre pays là n' est plus la question. Avant de regarder les véhicules, regardes plutôt le visage des sénégalais. Ils ont faim, ils ont soif à l' exception de ceux qui font aujourd'hui une bamboula outranciére que tout le nonde voit.

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    il y a 3 mois

    Du vent pour des moutons...ou du carton pour des mbés.

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    Taxi moderne il y a 3 mois

    Le chauffeur de taxi a pour mission d’assurer des trajets pour le compte de ses clients, en respectant des délais et des horaires précis, de jour comme de nuit. Il peut être amené à les récupérer à leur domicile, sur leur lieu de travail, dans les aéroports, les gares, avec ou sans réservation. Quel est le rôle du chauffeur de taxi ? Ce professionnel peut exercer son activité sous plusieurs statuts : Artisan indépendant : ce statut juridique concerne la moitié des chauffeurs. Il est à ce titre propriétaire de son véhicule ainsi que de sa licence. Locataire indépendant : le chauffeur loue une licence de taxi ainsi que son véhicule. Salarié d’une entreprise de taxis. Tout commence par une réservation (par internet ou appel téléphonique) : un point de départ est fixé et le chauffeur de taxi se rend sur le lieu du rendez-vous en vue d'amener un client à l'endroit prévu. Il peut aider son client à déposer ses bagages dans le coffre du véhicule ou à s'installer sur son siège s'il s'agit d'une personne âgée. Une fois sur le lieu d'arrivée, le chauffeur de taxi facture la course et en s'appuyant sur les indications données par son taximètre. Il pourra ensuite récupérer d'autres clients ayant besoin de ses services pour se déplacer rapidement d'un point A à un point B. Quelles sont les qualités requises pour devenir chauffeur de taxi ? Aimer conduire tout en respectant scrupuleusement le code de la route est évidemment un prérequis indispensable pour devenir chauffeur de taxi. Il ne transporte pas de simples marchandises et il doit donc garantir en toutes circonstances la sécurité des personnes montant à bord de son véhicule. Une bonne résistance au stress est nécessaire, notamment en cas d'embouteillages venant ralentir la circulation. Même s'il est systématiquement équipé d'un GPS, un bon sens de l'orientation et une excellente connaissance de la topographie de la zone où il circule, ne pourra que profiter à ses passagers soucieux d'arriver à l'heure au lieu d'arrivée. Il faut également pouvoir supporter une position assise prolongée, le chauffeur de taxi a beau être en mouvement son corps reste assez statique durant ses journées de travail ! L'aspect relationnel du métier est également important : on est amené à rencontrer toutes sortes de personnes, de milieux différents quand on exerce en tant que taxi. Il faudra parfois savoir faire preuve de psychologie afin d'ajuster son comportement en fonction du profil de chaque client. Par exemple, certaines personnes auront besoin d'échanger des banalités quand d'autres seront occupées et n'auront pas toujours envie de rentrer en communication avec le chauffeur. Dans tous les cas, des qualités relationnelles comme la diplomatie, le sens de l'écoute et la courtoisie aideront le chauffeur de taxi à se faire apprécier de la plupart de ses clients réguliers ou occasionnels. Enfin, des notions en mécanique ne seront pas de trop pour pouvoir se défaire de certaines pannes et éviter de devoir faire appel à un professionnel. Quels formations et diplômes pour devenir taxi ? Pour pouvoir exercer le métier de chauffeur de taxi, il faut être titulaire du CCPCT (Certificat de capacité professionnelle de chauffeur de taxi), afin de pouvoir obtenir une carte professionnelle, autrement dit une licence de taxi. L’inscription à l’examen du CCPCT doit se faire auprès de la préfecture sous certaines conditions : le chauffeur doit obligatoirement être titulaire du permis de conduire (permis B) depuis au moins 3 ans (2 ans si apprentissage anticipé de la conduite) Aptitude médicale attestée par une visite médicale et un médecin agréé Avoir un casier judiciaire vierge (aucune condamnation inscrite au bulletin n°2) Avoir suivi une formation de secourisme de niveau 1 minimum, depuis moins de 2 ans Comment se déroule l'examen du CCPCT ? Cet examen est mis en place par la Chambre des métiers et de l'artisanat (CMA). Il se compose d'une épreuve d'admissibilité (examen théorique) visant à jauger si le candidat connait bien le secteur géographique dans lequel il souhaite exercer, maîtrise les règles de la sécurité routière et la réglementation en vigueur concernant l'activité de conducteur de taxi. Quant à l'examen d'admission, il s'agit d'une épreuve pratique visant à réaliser une course : soit un examen de conduite en condition réelle. Vous pouvez suivre une préparation à cet examen dans un centre de formation agréé afin de mettre toutes les chances de votre côté et concrétiser votre projet professionnel : devenir chauffeur de taxi !

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    Le senegal il y a 3 mois

    Je crois qu'il y'a beaucoup d'incompréhensions sur le rôle du fongip. Baakhna bâthie kanamm rekk.

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    humm il y a 3 mois

    il y a lieu de se poser la question est ce que cette direction et tant d'autres ont compris le pourquoi ils ont été nomme....ces néophytes sont vraiment loin de comprendre a mon humble avis ce pourquoi ils sont ici ...

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    Pastef mbour 3 thies il y a 3 mois

    Le fongip le fonsis ou la caisse de dépôt et de consignation ne pourront jamais se substituer au trésor public, ni soutenir en financement les politiques publiques sectoriels au delà de 2% des besoins totaux. Vous gâtez du temps et de l'argent en se réunissant pour signer des convention a coup sûr vouées à l'inefficacité. Pour s'en rendre compte il suffit d'analyser les capacités financières du fongip, et du nombre de convention déjà signé. La directrice sait très bien qu'elle ne pourra même pas accompagner le tiers tenant compte des engagements déjà formaliser et de la difficulté dès décaissement du trésor public. Même son propre budget de fonctionnement sera difficile à garantir. Donc évitez de nous faire perdre du temps àvec des cérémonie de signature de convention ou genre de démarches intentionnelles et visites de courtoisie entre structures publiques ça va pas changer grand choses. 4 ans ça passe vite . Jub jubal jubenty job

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    il y a 3 mois

    Trop de publicité

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    reply_author il y a 3 mois

    Vous avez tellement raison !!!! Les 4 ans vont passer à une vitesse phénoménale !!!

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