Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Tout comme Khalifa Sall, Karim Wade a aussi recouvré ses droits civiques et politiques à la faveur d’une modification de la loi électorale lui permettant de conquérir à la prochaine présidentielle.
Khalifa Sall et Karim Wade ont recouvré la plénitude de leurs droits civiques, suite à l’adoption, par l’Assemblée nationale, le 5 août dernier, de la loi 16-2023 modifiant la loi n°2021-35 du 23 juillet 2021 portant Code électoral. Mais les deux «K» ne sont pas pour autant au bout du tunnel de la présidentielle de février 2024.
Dans un éditorial publié le 8 août 2023, la rédaction du journal Le Monde a cru bon de donner au Sénégal des leçons de conduite de ses affaires judiciaires notamment dans le dossier Ousmane Sonko prenant, au passage, fait et cause pour l’inconséquent et surexcité avocat Juan Branco.
À l'image de Khalifa Sall et Karim Wade, Ousmane Sonko doit être amnistié, pour préserver la cohésion nationale, selon Mamoudou Ibra Kane.
Responsable de la communication du Parti démocratique sénégalais,
Le Code pénal sénégalais prévoit, en application des articles 23 à 27 et 34 notamment, des peines complémentaires de dégradation civique parmi lesquelles figure la perte du droit de vote et d'éligibilité.
Le président du parti Rewmi ne s'oppose pas à une loi d'amnistie pour le leader de Pastef Ousmane Sonko. Idrissa Seck plaide pour une "élection inclusive".
Dans une de ses sorties sur Seneweb TV, le doyen Mody Niang s’est encore adonné à son exercice favori : attaquer le président Wade et son fils Karim.
L'ancien premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye appelle le chef de l'Etat à faire table rase de tout ce qui s'est passé et de permettre à tout le monde de participer à la présidentielle du 25 février 2024, y compris le leader du parti Pastef.
Le président tunisien Kais Saied, dont le pays traverse une grave crise financière,
Comme annoncé par le Président Macky Sall, l’Assemblée nationale a été saisie en procédure d’urgence après que le Conseil des ministres a adopté, ce mercredi, les projets de loi susceptibles de rendre leur éligibilité à Khalifa Sall et Karim Wade.
Le président Macky Sall a reçu les conclusions du dialogue national
Evguéni Prigojine a franchi le Rubicon
Les Maliens se prononcent par référendum sur un projet de nouvelle Constitution dimanche. Ce premier vote depuis l'avènement de la junte il y a trois ans a valeur de test, mais la crainte des attaques jihadistes et les désaccords politiques ont empêché sa tenue dans plusieurs localités, notamment dans le nord.
Les Maliens sont appelés dimanche à dire oui ou non à la nouvelle Constitution proposée par la junte.
Les Maliens ont commencé à se prononcer par référendum sur un projet de nouvelle Constitution dimanche, au cours du premier vote depuis l'avènement de la junte il y a trois ans, a constaté un correspondant de l’AFP à Bamako.
La parole du chef de la junte Assimi Goïta est rare.
Le chercheur et analyste politique Bah Traoré Legrand évoque le lancement d'un référendum sur la nouvelle Constitution du Mali fixé par les autorités de transition
Chers compatriotes, Il faut sauver la République
Le Sénégal a connu jeudi une éruption de violences qui a fait neuf morts après la condamnation à deux ans de prison de l'opposant Ousmane Sonko...