Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Accusations de corruption, velléités de report...: la parole est à vous
Les libéraux de la banlieue de Dakar sont dans tous leurs états après l’élimination de leur candidat Wade fils à la présidentielle du 25 février 2024. Ils ont tenu une assemblée générale, au siège de La Coalition Karim 2024, à Thiaroye sur mer.
« Vous nous avez tués, vous êtes des corrompus. Gardez votre coupe d'Afrique »
L’initiative a été adoptée ce mercredi par l’Assemblée nationale.
La Commission d’Enquête parlementaire (créée par résolution n° 01/2024 de ce mercredi 31 janvier 2024) s’est réunie, le jeudi 1er février 2024, à 17 heures, dans la salle de la Commission des Finances, à l’effet de former son bureau ainsi composé :
Des cadres de la coalition présidentielle Benno Bokk Yaqkaar BBY s'offusquent du fait que «ce qui se passe sous nos yeux est ahurissant, sidérant, troublant et révoltant». Au cours d'un point de presse, ils ont fait fustigé «la démarche inélégante des députés de (leur) camp (qui) prête à confusion. Elle est trop suspecte».
Lors de la plénière de ce mercredi à l'Assemblée nationale, la majorité des députés a voté pour la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire suite à l'élimination de Karim Wade de la course à la Présidentielle. Un vote qui a été permis grâce aux députés de la majorité, ce qui surprend Zahra Iyane Thiam.
Ce mercredi 31 janvier, l’Assemblée Nationale a mis en place une commission d’enquête parlementaire afin de mettre la lumière sur des faits présumés de corruption, de collusion et de contusion au sein du Conseil Constitutionnel ayant conduit à l’écartement de Karim Wade et d’autres candidats déclarés. Le vote de la résolution a été suivi avec intérêt par les organisations de la société civile comme le Forum du justiciable.
En perspective du scrutin présidentiel du 25 février prochain, la coalition de la société civile pour l'application des recommandations de la Commission nationale de réformes des institutions (Cnri) a proposé un pacte de bonne gouvernance aux candidats en lice. Rappel des points saillants desdites conclusions.
Le Rapport de Transparency international sur l’indice de perception de la corruption alimente un débat par presse interposée entre Birahim Seck du Forum Civil et le ministre du Commerce et porte-parole du Gouvernement.
En conférence de presse ce mercredi, la coalition Diomaye Président s’est prononcée sur l’actualité politique
Une Pascaline Bongo pugnace a nié en bloc mercredi les soupçons de corruption
Cent vingt députés ont voté pour la résolution actant la mise en place de la commission d'enquête parlementaire.
Le Forum Civil indique que le Sénégal garde sa note et s’enlise dans la zone rouge
Adji Mergane Kanouté défend l'examen du projet de résolution visant la constitution d'une commission d'enquête parlementaire, en vue de faire la lumière sur les conditions de l'élimination de Karim Wade.
Sur initiative du PDS appuyé par Benno Bokk Yaakaar, l’Assemblée nationale est en plénière pour entériner ou non la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire. Celle-ci doit faire la lumière sur les accusations de corruption portées par le candidat du PDS Karim Wade, dont la candidature a été jugée irrecevable pour double nationalité, contre deux membres du Conseil constitutionnel. Une crise institutionnelle orchestrée que le régime en place veut prendre comme prétexte pour reporter les élections.
La députée, Anyeu Mbengue a été formelle s'agissant des conséquences que pourrait engendrer une commission d'enquête parlementaire visant deux membres du Conseil Constitutionnel.
Sur saisine du Parti démocratique sénégalais (PDS), l’Assemblée nationale va finaliser, aujourd’hui, la procédure de mise en place d’une commission d’enquête parlementaire aux fins d’instruire de supposés faits de corruption et de conflits d’intérêts impliquant des juges du Conseil constitutionnel.
L’Assemblée nationale se penche ce mercredi sur la proposition de mise en place d’une commission d’enquête parlementaire.
Repris par Les Échos, le ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba, qui défendait les projets de loi, a révélé de nouvelles dispositions concernant « la publication et l’actualisation régulière » de la liste des assujettis ainsi que celle des assujettis défaillants.