Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Lors de la plénière de ce mercredi à l'Assemblée nationale, la majorité des députés a voté pour la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire suite à l'élimination de Karim Wade de la course à la Présidentielle. Un vote qui a été permis grâce aux députés de la majorité, ce qui surprend Zahra Iyane Thiam.
En séance plénière ce mercredi pour discuter de la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire sur l'exclusion de Karim Wade, Thierno Alassane Sall a été agressé par les députés du PDS. Ce que condamne Thierno Bocoum.
L’initiative des députés de Wallu (PDS et alliés) a été adoptée à 120 voix contre 24.
En conférence de presse ce mercredi, la coalition Diomaye Président s’est prononcée sur l’actualité politique
Cent vingt députés ont voté pour la résolution actant la mise en place de la commission d'enquête parlementaire.
Seydou Diouf député à l'Assemblée nationale a défendu la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire visant deux membres du Conseil Constitutionnel.
Le Parti Démocratique Sénégalais est prêt à en découdre avec toute personne
Adji Mergane Kanouté défend l'examen du projet de résolution visant la constitution d'une commission d'enquête parlementaire, en vue de faire la lumière sur les conditions de l'élimination de Karim Wade.
Le texte ajoute : «Si une commission a déjà été créée, sa mission prend fin dès l’ouverture d’une information judiciaire relative aux faits qui ont motivé sa création.»
Les choses ont failli déborder entre Thierno Alassane Sall et ses collègues députés du PDS. À l'origine, le leader de la République des valeurs a évoqué son droit de réponse, après qu'un parlementaire a prononcé son nom.
Sur saisine du Parti démocratique sénégalais (PDS), l’Assemblée nationale va finaliser, aujourd’hui, la procédure de mise en place d’une commission d’enquête parlementaire aux fins d’instruire de supposés faits de corruption et de conflits d’intérêts impliquant des juges du Conseil constitutionnel.
L’Assemblée nationale se penche ce mercredi sur la proposition de mise en place d’une commission d’enquête parlementaire.
Sans entrer dans le détail de toutes les nouvelles mesures promises par le gouvernement, le Premier ministre a assuré aux paysans d’être au « rendez-vous » de leur colère.
L’Alliance pour la République, (APR, au pouvoir), réitère son ‘’attachement profond’’ aux principes de la séparation des pouvoirs et de ‘’respect des institutions’’, lesquels fondent le modèle républicain du Sénégal et constituent le socle de la stabilité du pays.
Les députés sont convoqués en plénière demain mercredi, 31 janvier, après l’adoption hier lundi 29 janvier par la commission des lois du projet de résolution du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour la mise en place d’une Commission d’enquête parlementaire visant la décision du Conseil constitutionnel invalidant la candidature de Karim Meissa Wade à la présidentielle du 25 février prochain.
Enseignant-chercheur en droit public à l’université Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis, le Dr Yaya Niang a porté un regard critique sur la décision du Conseil constitutionnel rendu le 20 janvier dernier arrêtant la liste des candidats au scrutin présidentiel du 25 février 2024. Dans cet entretien exclusif avec Seneweb, le spécialiste du droit électoral a relevé une « inconstance de la procédure » et une « précarité de la motivation » de la décision des « sept sages », entre autres remarques.
‘’La République couchée’’. Tel est le titre d’une tribune mémorable signée par le philosophe Ousseynou Kane dans les colonnes du quotidien Wal Fadjri, le 8 mai 2001. Pour la première fois, dans l’histoire du Sénégal, le chef de l’Etat s’agenouillait devant un guide religieux. En visite à Touba, Abdoulaye Wade s’était prosterné devant Serigne Saliou Mbacké, le khalife général des mourides, créant une indignation auprès de l’élite.
La procédure se poursuit en mode fast track. Les députés sont convoqués demain mercredi, 31 janvier, à 10 heures, pour l’examen du projet de résolution pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire chargée d’éclairer les soupçons de corruption visant deux juges du Conseil Constitutionnel.
Au Bénin, le groupe parlementaire Bloc Républicain, proche du président Patrice Talon, a introduit au Parlement, une proposition de loi portant révision de la Constitution.
La fédération du Pds de Touba exige la réintégration immédiate de Karim Wade