Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
La France a jugé vendredi "totalement infondée" l'accusation de l'ONU
La France connaît depuis trois jours des scènes de violences inouïes.
Elisabeth Borne a annoncé vendredi le déploiement de véhicules blindés de la gendarmerie pour faire face aux violences qui touchent depuis trois nuits de nombreuses villes en France.
«Le CFCM est profondément préoccupé par la tournure que prennent les évènements dans notre pays suite à la mort tragique du jeune Nahel. Les émeutes qui se sont multipliées dans certaines de nos villes avec leurs conséquences sur la sécurité et la tranquillité de nos concitoyens sont intolérables, inacceptables et condamnables sans aucune réserve», peut-on lire dans un communiqué publié ce vendredi 30 juin.
Une «bande de jeune» est arrivée en centre-ville à Strasbourg, devant les Halles vers 14 heures, rapporte France Bleu, et s'est dirigée vers les magasins du centre de la ville.
Trois jours après la mort près de Paris de Nahel, un adolescent de 17 ans tué par un policier, les violences urbaines continuent d'agiter la France, notamment la région parisienne, ravivant le spectre d'un embrasement généralisé comme en 2005.
Le gouvernement français a demandé vendredi aux préfets, les représentants de l'Etat en région, l'arrêt des bus et tramways dans toute la France à partir de 21H00 (19H00 GMT), après trois nuits d'émeutes urbaines causées par la mort d'un jeune adolescent, a indiqué le ministère de l'Intérieur.
Les bus et les tramways ne circuleront pas ce vendredi soir après 21 heures dans toute l'Île-de-France et ce, «tous les soirs jusqu'à nouvel ordre», a confirmé Île-de-France Mobilités (IDFM) en début d'après-midi. Cette mesure est prise «pour la sécurité des agents et des voyageurs», a expliqué IDFM alors que la région parisienne, comme le reste de la France, est en proie à des émeutes depuis mardi.
Libre de tout contrat, Patrick Vieira retourne en France.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé le déploiement par le ministère de l'Intérieur "de moyens supplémentaires" après trois nuits d'émeutes, consécutives au décès du jeune Nahel lors d'un contrôle policier près de Paris, en dénonçant "l'instrumentalisation" de ce drame.
Le président de la République a pris la parole, vendredi après-midi, à la fin de la réunion de crise organisée au ministère de l’intérieur.
La diplomatie britannique a mis en garde vendredi ses ressortissants au sujet des émeutes en France.
«On voit bien que nous sommes dans un prodrome de guerre civile», a déclaré Éric Zemmour sur Europe 1, après une nouvelle nuit d'émeute.
Un total de 875 personnes ont été interpellées de jeudi à vendredi en France, dont 408 à Paris et sa proche banlieue, lors de la troisième nuit consécutive de violences urbaines en réaction à la mort de Nahel, tué par un policier, selon un bilan définitif du ministère de l'Intérieur.
Le président de la République Emmanuel Macron est prêt à adapter le dispositif de maintien de l'ordre "sans tabou" après une troisième nuit de violences en France, a souligné vendredi l'Elysée, alors que l'instauration de l'état d'urgence est évoqué par plusieurs responsables politiques.
"Toutes les hypothèses", dont l'instauration de l'état d'urgence, sont envisagées par l'exécutif pour "le retour de l'ordre républicain", a déclaré vendredi la Première ministre française Elisabeth Borne, après une troisième nuit d'émeutes dans le pays.
L'ONU a demandé vendredi à la France de se pencher sérieusement sur les problèmes de racisme et de discrimination raciale au sein des forces de l'ordre, trois jours après la mort d'un adolescent tué par un policier.
Des échauffourées impliquant des jeunes ont eu lieu jeudi soir à Bruxelles après des appels au rassemblement lancés via les réseaux sociaux en réponse au décès du jeune Nahel, tué mardi par un policier en France.
Dégradations de bâtiments publics, pillages et échauffourées sporadiques ont secoué, ce jeudi 29 juin, de nombreuses villes de région parisienne et de province, pour la troisième nuit consécutive après la mort mardi à Nanterre de Nahel.
Après une troisième nuit de violences en France, le président de la République va présider une nouvelle cellule de crise, a annoncé l’Elysée.