Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Poursuites pénales et coupure de signal des télés : Les éditeurs dénoncent une menace contre la liberté de presse sénégalaise
Lors de sa dernière Assemblée Générale tenue à son siège il y a quelques jours, le Club Sénégal Émergent (CSE) s’est penché sur la situation actuelle du Sénégal.
DÉCLARATION SUR LA SITUATION DU SÉNÉGAL : PRIVILÉGIER L’HUMILITÉ, L’OUVERTURE, LA CONCERTATION ET LE DIALOGUE INCLUSIF !
Maison de la presse ou maison de Pastef ?
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) dénonce une « entorse » du régime dans la nomination des membres du CNRA. Selon son président Mamadou Ibra Kane, le décret portant nomination des membres recèle des manquements. « Le secteur des médias au Sénégal est de nouveau secoué par les agissements du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, avec la publication du décret 2024-3401 portant nomination des membres du Conseil national de régulation de l'audiovisuel (CNRA), en date du 11 décembre 2024 », souligne un communiqué parvenu à Seneweb.
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (Cdeps) a mis sa menace à exécution.
Le 23 novembre 2024, la Haute autorité de la communication (HAC) du Mali a pris la décision de fermer la chaîne de télévision privée Joliba TV News en lui retirant sa licence de diffusion.
La société civile ne compte pas faire preuve de neutralité sur les nombreuses vagues arrestations notées au Sénégal ces derniers jours.
Mercredi dernier, le Burkina Faso, le Mali et le Niger ont annoncé l’ouverture d’enquêtes séparées contre Wassim Nasr. Les parquets de ces trois pays membres de l’Alliance des États du Sahel (AES), reprochent au journaliste de France 24 ses sources dans les milieux jihadistes, l’accusant de soutenir leurs actions dans le Sahel.
De ce côté de l’Atlantique la presse, avec ses excès, continue d’abriter et d’arbitrer le débat à distance entre les deux candidats à la Présidence en attendant la face à face Trump-Harris du 10 septembre.
Lorsqu’au soir de l’élection présidentielle, dimanche 24 mars 2024, au moment où les stations FM, les télévisions et les médias en ligne relayaient les données et chiffres, les résultats qui ont porté Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, pas un seul citoyen sénégalais, homme politique de l’actuelle équipe à la tête du Sénégal, ne pouvait médire la presse. Journaux, radios, télévisions, sites d’informations, d’un seul élan, ont transmis les résultats rassemblés aux quatre coins du Sénégal.
« La presse sénégalaise a favorisé des alternances politiques. Parce qu’elle était républicaine, libre et indépendante, viable économiquement.
Le grand avantage des douceurs de l’opposition est le fait de prendre le recul pour réfléchir sur les alternatives mais surtout de prendre des vacances.
Des journalistes seront des acteurs clés dans la lutte contre la désinformation.
Le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall a annoncé la publication des médias reconnus par l’État.
Le président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse (CDEPS), Mamadou Ibra Kane, craint le pire pour le secteur de la presse.
La Journée de la liberté de la presse est célébrée ce vendredi 3 mai.
La pluie de réactions et de condamnations se poursuit, suite à l'agression nocturne de Maïmouna Ndour Faye.
Les cas d'agression dont sont victimes des journalistes ont atteint un paroxysme de cruauté et de barbarie
L'agression de la journaliste et patronne de la 7tv suscite l'émoi. Journalistes et hommes politiques dénonce cet acte qualifié de "barbare" qui a conduit Maïmouna Ndour Faye aux urgences.