Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Poursuites pénales et coupure de signal des télés : Les éditeurs dénoncent une menace contre la liberté de presse sénégalaise
Coupures sur la TNT des chaînes de télévision : Mamadou Ibra Kane dénonce une “illégalité” du nouveau régime
Les professionnels des médias s’élèvent contre ce qu’ils qualifient d’« errements » du ministre de la Communication, Alioune Sall. Cette réaction fait suite à sa demande adressée au ministre de l’Intérieur pour mobiliser la Direction de la Surveillance du Territoire (DST) et la Division spéciale de la Cybercriminalité (DSC) afin d’appliquer des mesures de régulation. En effet, Alioune Sall exige « la cessation immédiate des activités des médias ne figurant pas sur la liste de ceux reconnus par l’État du Sénégal ».
Maison de la presse ou maison de Pastef ?
''Interdiction'' de la conférence de presse du Cdeps : Le Dg de la Maison de la presse se défend
Interdit d’accéder à la Maison de la Presse : Le CDEPS dénonce « un musèlement de la presse »
La conférence de presse du patronat de la presse sénégalaise, qui était prévue ce lundi 20 janvier 2025, n’a pas pu se tenir.
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) dénonce une « entorse » du régime dans la nomination des membres du CNRA. Selon son président Mamadou Ibra Kane, le décret portant nomination des membres recèle des manquements. « Le secteur des médias au Sénégal est de nouveau secoué par les agissements du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, avec la publication du décret 2024-3401 portant nomination des membres du Conseil national de régulation de l'audiovisuel (CNRA), en date du 11 décembre 2024 », souligne un communiqué parvenu à Seneweb.
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
« Le Sénégal n'est la chasse gardée de personne, si ce n’est celle du peuple sénégalais qui, seul, est habilité à veiller à ses intérêts.
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (Cdeps) a mis sa menace à exécution.
À la date du 29 novembre, l’État du Sénégal ne reconnaît que 112 entreprises en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Parmi elles, les journaux ne sont qu’au nombre de quatorze (14). Pourtant, quotidiennement, c’est une vingtaine de « Une » qui sont lues et partagées sur les réseaux sociaux. À interroger ces chiffres, l’on se demande comment s’en sortent financièrement ces entreprises de presse écrite ? Entre le modèle économique jugé obsolète et la multiplication des sites d’informations en ligne, quel avenir pour la presse écrite sénégalaise ?
Mamadou Ibra Kane, Président du Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS) a déploré, ce mardi 3 décembre lors d’une conférence de presse, la volonté du nouveau régime de liquider les entreprises de presse.
Le patron de Avenir Communication, Madiambal Diagne, n'a pas apprécié l'absence de son journal, Le Quotidien, dans la liste des médias reconnus par l'Etat.
Sortie du ministre de la Communication : la réponse du CDEPS
Les patrons de médias étaient montés au créneau suite à l'annonce de la publication de la liste des médias reconnus officiellement par le ministre Aliou Sall...
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (Cdeps), qui ne voit pas cette initiative d’un bon œil, prépare la réplique.
Les élections législatives 2024 n’ont pas été un camouflet que pour les leaders politiques que sont Macky Sall, Barthélemy Dias et Amadou Ba.
Fausse alerte.
Invité de Salam Sénégal sur la RTS, ce jeudi 21 novembre, Mamadou Ibra Kane a évoqué l'annonce de la mainlevée des comptes bancaires de certaines entreprises de presse.