Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Poursuites pénales et coupure de signal des télés : Les éditeurs dénoncent une menace contre la liberté de presse sénégalaise
Le média Dakaractu.com n'a pas été reconnu par le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique.
La 8e conférence du Réseau Francophone des Régulateurs des Médias (REFRAM), qui s’est tenue du 27 au 28 janvier 2025 à Dakar, a clôturé ses travaux sur une note résolument tournée vers l’avenir des régulations médiatiques à l’ère du numérique.
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) dénonce une « entorse » du régime dans la nomination des membres du CNRA. Selon son président Mamadou Ibra Kane, le décret portant nomination des membres recèle des manquements. « Le secteur des médias au Sénégal est de nouveau secoué par les agissements du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, avec la publication du décret 2024-3401 portant nomination des membres du Conseil national de régulation de l'audiovisuel (CNRA), en date du 11 décembre 2024 », souligne un communiqué parvenu à Seneweb.
Ce dimanche, le Premier ministre Ousmane Sonko a fait un live sur Facebook pour enterrer la polémique suite à la nomination de Aoua Bocar Ly au CNRA.
Le Sénégal et le Fmi trouveront-ils facilement un accord dans la gestion macroéconomique du pays notamment en matière budgétaire ?
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
À la date du 29 novembre, l’État du Sénégal ne reconnaît que 112 entreprises en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Parmi elles, les journaux ne sont qu’au nombre de quatorze (14). Pourtant, quotidiennement, c’est une vingtaine de « Une » qui sont lues et partagées sur les réseaux sociaux. À interroger ces chiffres, l’on se demande comment s’en sortent financièrement ces entreprises de presse écrite ? Entre le modèle économique jugé obsolète et la multiplication des sites d’informations en ligne, quel avenir pour la presse écrite sénégalaise ?
L’enregistrement des déclarations des médias sénégalais a pris fin, après l’expiration du délai de 72 heures imposé par le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique Alioune Sall.
Le député Guy Marius Sagna a rencontré, ce vendredi matin, le Syndicat des travailleurs d’Emedia au siège de Frapp.
Au cœur de l'actualité sénégalaise il y a plusieurs mois, Adji Sarr est aujourd'hui loin des projecteurs de son pays.
Comment la presse sénégalaise a-t-elle accueilli la réélection du président Abdelmadjid Tebboune pour un second mandat ?
Les professionnels des médias ne sont pas contents de la nouvelle démarche adoptée par le nouveau régime vis-à-vis de la presse sénégalaise.
Début août, Mamadou Ibra Kane annonçait la suspension de publication des journaux sportifs « Stades » et « Sunu Lamb ».
Une entreprise de presse est bien plus qu'une simple entité productrice et pourvoyeuse de contenus.
Le président Bassirou Diomaye Faye a appelé mercredi à des "mesures de redressement appropriées" de la presse nationale, selon le communiqué du conseil des ministres, au lendemain d'une grève des médias pour décrier des mesures fiscales et économiques attribuées à son gouvernement.
Après la journée sans presse organisée par une grande partie des médias sénégalais, Babacar Ba a interpellé le Premier ministre par courrier.
Le directeur exécutif d'Amnesty International/Section Sénégal, Seydi Gassama, s'exprime à son tour sur la journée sans presse organisée par la grande majorité des médias sénégalais.
La grande majorité des médias sénégalais ont suivi mardi le mot d'ordre de la "journée sans presse".
Lorsqu’au soir de l’élection présidentielle, dimanche 24 mars 2024, au moment où les stations FM, les télévisions et les médias en ligne relayaient les données et chiffres, les résultats qui ont porté Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, pas un seul citoyen sénégalais, homme politique de l’actuelle équipe à la tête du Sénégal, ne pouvait médire la presse. Journaux, radios, télévisions, sites d’informations, d’un seul élan, ont transmis les résultats rassemblés aux quatre coins du Sénégal.