Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le leader de la coalition Taxawu Sénégal, Khalifa Sall est foncièrement contre le poste de vice-président au Sénégal. Il a réaffirmé sa position sur l'idée soulevée par certains candidats à la présidentielle ce jeudi à Joal.
Mark Rutte a échangé mercredi avec le président égyptien sur la situation dans la bande de Gaza.
Un ex-flic qui aime donner des conférences de presse en brandissant un fusil de grande puissance et un jeune criminel qui aime autant jouer dans des vidéos de rap que faire du trafic d'armes et de drogues.
Khalifa Ababacar Sall est la synthèse des valeurs qui cimentent notre vivre-ensemble.
Artisan de la réussite du meeting présidé par Amadou Ba, Mamadou Mamour Diallo a appelé tous les responsables de la mouvance à s’unir pour que le pays ne tombe entre les mains des aventuriers.
À chaque mise en place d’un nouvel attelage, le Président Macky Sall fixe, à l’attention surtout des entrants, le cadre et les règles de fonctionnement du gouvernement.
Candidat à l’élection présidentielle du 24 mars prochain, Thierno Alassane Sall est considéré par les observateurs de la vie politique comme un pur défenseur de la République et de ses valeurs. Ce principe, qui lui est si cher, l’a poussé à devenir, aujourd’hui, aux yeux des libéraux, le « bourreau » de Karim Wade dont il avait contesté la candidature pour raison de double nationalité.
Le Président Macky Sall a présidé la réunion du Secrétariat exécutif national (SEN) de l’APR, ce mercredi 13 mars.
Le redémarrage a eu lieu ce mercredi à Tivaouane.
Après la caravane réussie du 2ème jour de la campagne, suivie de la visite de proximité à travers les rues et ruelles du quartier traditionnel de Grand Mbao, Abdou Karim Sall et ses inconditionnels, déjà de plain-pied dans la période active de propagande électorale, ont investi les coins et les recoins de Petit-Mbao ce mercredi 13 mars 2024.
Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 13 mars 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.
Controverse autour du choix porté sur Amadou Ba qui a fini par provoquer une crise au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar
Le Chef de l’Etat, son Excellence Monsieur Macky SALL, en décidant de fixer la date de l’élection présidentielle avant le 02 avril 2024, est resté fidèle à sa posture républicaine de toujours se conformer aux décisions du Conseil Constitutionnel, en adéquation avec les principes qui fondent l’Etat de droit.
Selon nos informations, le Président de la République, Macky Sall, n’a pas reçu Amadou Ba au Palais hier, comme annoncé. Certes le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar et ancien Premier ministre était sur les lieux, mais il n’y a pas eu de tête à tête, et encore moins de discussions entre les deux hommes. Une source nous indique que le chef de l’État a littéralement fait “poireauter” son candidat en vain. Amadou Ba n’avait pas été convoqué au Palais, c’est lui-même qui a sollicité une rencontre avec le chef de l’État.
Le Secrétaire général du Parti de l’indépendance et du travail (PIT), membre du gouvernement depuis 2017, n’a pas été reconduit dans le nouvel attelage ministériel formé par Me Sidiki Kaba, nommé en remplacement du Premier ministre Amadou Ba.
Hier lundi 11 mars 2024, le contrôleur général par intérim de l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) Urbain Milogo a remis le rapport général d’activité 2022 de...
Le Premier ministre nigérien Mahaman Lamine Zeine a reçu en audience l’ambassadeur de Chine au Niger Jiang Feng hier lundi 11 mars 2024.
Bloqué à Porto-Rico, empêché de rentrer à Port-au-Prince, Ariel Henry a accepté de démissionner de son poste de Premier ministre en Haïti. Le pays est plongé dans une crise liée à la violence de gangs armés, qui demandaient, entre autres, sa démission.
Le nouveau Premier ministre guinéen Amadou Oury Bah a reconnu que les militaires qui ont pris le pouvoir par la force devraient le garder au moins jusqu'en 2025 et manquer à leur engagement de partir d'ici à fin 2024.
Deux juges du Conseil constitutionnel, accusés de corruption, auraient été convoqués par l’Office national de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC) en même temps que l’ancien Premier ministre Amadou Ba.