Pr Abdou Aziz Diouf, chef du service médical du Coud : «Je n'ai jamais ...»
In the aftermath of the clashes on the campus of Cheikh Anta Diop University (UCAD), the Coud medical service found itself overwhelmed, submerged by hundreds of students poisoned by tear gas.
The health crisis is extremely tense, reports L'Observateur in its Friday, December 5th edition: the center was "completely full" and nearing capacity. Lacking space, staff had to place mattresses "directly on the tiled floor" to accommodate the influx of injured people.
“I’ve never experienced anything like this,” confided Professor Abdou Aziz Diouf, head of the department, as reported by the Groupe Futurs Médias daily newspaper. He added, however, “The situation was complicated, but we managed to hold our own. We received a huge number of patients; the majority were able to be treated and discharged.”
Aftermath and testimonies
Most of the students presented the same symptoms: burning eyes, shortness of breath, and severe dizziness. Rokhaya, a student, recounts: "My eyes were burning, and I couldn't breathe normally."
Mamadou Fall, a second-year Sociology student, added: "My head was spinning and I couldn't stand up anymore."
Despite their distress, they all wanted to thank the healthcare staff: "Without them, I don't know what would have become of me."
Commentaires (6)
Ce professeuur doit etre mute
Ndeyssane, les pastefiens n’aiment pas ceux qui disent la vérité.
C'est pas vrai ,on a tous vu pire avec des morts d'étudiants , des bras têtes et pieds cassés.
Pourquoi ???
Avec macky ce sont des blessés par balles réelles et par tirs directs de grenades lacrymogènes qui seraient comptabilisés. Malgré l’intensité des affrontements il n’y a pas eu de morts. La police a été mesurée.
Il faut penser cependant à régler ce problème définitivement. Les étudiants réclament de l’argent pas une modification des réglements qui leur donnent droit à ces bourses. Ça fait que les même causes amèneront les même effets. Ça sera toujours l’incompréhension entre l’état et eux.
Ensuite les franchises universitaires doivent être systématiquement gelées dès l’instant que la voie publique est barrée par des étudiants sortis directement du campus. Il faut leur faire définitivement comprendre que leur manière de protester doit changer. Les étudiants de la sous région ne sont pas mieux lotis et pourtant ils sont plus discrets que nos petits. Au classement des meilleures universités nous nous trouvons dans les bas fonds au lieu de réclamer de meilleurs encadrements on est éternellement sur des questions de bourses.
Si le corps médical témoigne que c'est du jamais vu, cela veut dire que les étudiants étaient très respectés au temps de Macky Sall sur tous les plans. C'est facile à vérifier. Actuellement, le Sénégal est entré dans l'ère d'une dictature rampante.
75'000 étudiants pour 216 classes ....
**étudiants trentenaires attardés qui n'ont pas le quotient intellectuel pour des études universitaires.🦍
vacataires restent vacataires faisant le travail des profs data sans recevoir un salaire digne de ce nom.
sans oublier un recteur aux bottes de Sonko , NUL DE CHEZ NULS .
**grand bordel pour les chambres, ces fameux étudiants qui n'en sont pas vendent les chambres , SCANDALE NON DéNONCé .
LA LISTE EST LONGUE, UNIVERSITé NULLE PAR SON DISFONCTIONNEMENT
On a’a jamais eu de problème de bourse avec Macky. Et nos parents au village recevaient l’aide social. On les a élus et ils nous étoffent et nous haïssent. Le mot d’ordre sera maintenu..nos souffrance de partout va les dégager, tous la wakh. Macky pardon., on a fait des erreurs et on regrette.
le problème des bourses non payés à temps existait durant le règne de l'exilé marocain.
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