Cyber-attaque contre le fisc : Pourquoi ce silence absolu ?
According to several Senegalese and foreign media outlets, Senegal has been facing a digital attack targeting the tax authorities for several days. Since then, operations have been at a standstill, as Senegal no longer has control over its system.
Thus, both revenue and expenditure are affected by the loss of control over management software. Cybercriminals located in Europe are demanding a colossal ransom of 6.5 billion. Sud quotidien, which gathered expert opinions, speaks of a loss of "11 billion CFA francs per day, or more than 50 billion in one week."
At the same time, it is noted that the Senegalese government remains silent on such a serious issue. Neither the DGID nor the Ministry of Finance, let alone the country's highest authorities, have provided any information on this subject. However, the duty of transparency should lead leaders to tell the people what the situation really is, the impacts to date, and the steps taken to resolve this situation.
Will Senegal pay the ransom or build another infrastructure, as some suggest? At what cost? Does Dakar have the means to recover its software without paying? What was done to prevent this attack? These are all legitimate questions to which citizens expect answers. Remaining silent also fuels rumors. However, the issue is sensitive enough to allow itself the luxury of chasing rumors. The government loses nothing by telling the Senegalese people the truth.
It's true that even the press doesn't seem to be making it a major issue. Which is curious, given the consequences, particularly the figures put forward by Sud Quotidien.
Commentaires (10)
Quand on a des opposants multimilliardaire, avec aucune fibre patriotique, il faut s'attendre à tout.
Cette attaque ciblée n'est pas fortuite dans un contexte de fraude massive sur nos finances publiques et de poursuites judiciaires.
Avec quelques dizaines de dollars, il est possible de faire appel à des hackers russes ou scandinaves pour s'attaquer à son propre pays. Connaissant macky Sall et ses sbires, ils sont capables du pire pour perturber le régime actuel.
Mais le Sénégal restera debout.
Tog len fofou rek di accuser macky sall rek ba 2029 inchallah vous saurez comment les sénégalais vont vous dégager. Ce silence est dû à la honte, au lieu de traquer des cyber criminels on perd du temps à appliquer la tolérance zero et à traquer des chroniqueurs qui n'ont aucun pouvoir de nuisance.
Senewebpost, attention, vous débitez des contre-vérités ; La DGID a déjà communiqué sur la question à deux reprises.
Imaginer Déverser sur la place publique les informations fiscales sur ceux qui paient leurs impôts correctement mais surtout le grand fichier des personnes morales et physiques qui ne sont pas en règle...on es pas en Norvège où un citoyen peut sur Internet via un clic, connaître si leurs élus où hautes autorités paient leurs impôts ou pas . Droit citoyen, faut pas qu'un enfoiré de politicien nous dérange chaque jour à la télévision alors qu'il n'est pas en règle avec le Fisc.
Le SENEGAL ne paiera rien du tout, il mettra en congé tout le personnel de la DGID en charge de la gestion informatique, le pays dispose de beaucoup d'ingénieurs informaticiens compétents, ces ingénieurs vont mettre en place un nouveau système informatique Point barre. Ce n'est pas un problème pour un ingénieur.
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Xanaa russ motax ñu noppi Pas de de système de cybersecurité fiable en place..affaire de thiouné...pour une structure aussi importante, le personnel Pas formé et ouvrent des phishing emails, leurs compte Facebook, Instagram et autres avec l internet de la boite...digital footprint bad...
Mes gosses de sixième font online safety...mais ndakaru moom avec nos analphabètes digitaux là...ils n ont encore rien vu...
Il faut sortir le dossiers sur les terrains de sonko et diomaye
Où est la souveraineté numérique tant prônée par notre fameux tandem? Di bandit bandilou mais ndékétéyo tous. Il faut envoyer aux hackers nos redoutables experts de la DCS. Ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit.
BUROK, La question n'est pas liée à la souveraineté numérique ; elle plus sérieuse ; avec les HACKERS, personne n'est à labris. Même les USA font l'objet d'attaques.
Avec Pastef, vous n'avez encore rien vu.
Ces hackers ne savent pas qu on a pas d argent on est au quatrième sous sol.
Ce n'est pas un terrain de jeu pour les enfants, silence on travaille...
Focus 2050 rekk
La solution en 2 points: point 1 - hyper formation en boucle des utilisateurs sur les risques cyber et point 2 - déploiement de solutions de défense et de cybersécurité. Full stop.
Tous les systemes d'informations ou reseaux ou network sont par definition vulnerables. Il n'existe pas de securite informatique a 100%. C'est une hypothese tres connue. Cela dit, j'espere que la DIGID a un backup qui est la norme dans une grande et critique organisation. Mieux backup dans un endroit different qui permet de relancer leur service informatique en cas de force majeure. J'imagine qu'ils ont des informaticiens competents pour trouver une solution rapide avec l'appui des services de l'ADIE.
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