Sédhiou : La rentrée à l'Épreuve de l'Hivernage et des Abris Provisoires
La rentrée scolaire dans la région de Sédhiou, située en Basse Casamance au Sénégal, est traditionnellement une période marquée par des défis uniques. Dans la zone fortement pluvieuse, la reprise des cours se conjugue avec les contraintes de l'hivernage (saison des pluies) et un nombre important d'établissements qui dépendent encore d'abris provisoires (AP). Cette situation crée un environnement d'apprentissage précaire, menaçant la qualité de l'éducation et le respect du quantum horaire.
Les Difficultés
L'hivernage et la présence d'abris provisoires sont les deux principales sources de difficultés pour une rentrée scolaire sereine à Sédhiou. Même si pour
Les pluies torrentielles rendent souvent les pistes et les chemins impraticables, isolant certains villages et empêchant élèves et enseignants de rejoindre les écoles. Cela se traduit par une faible effectivité de la rentrée les premiers jours et des absences récurrentes.
Au plan sanitaire, l'humidité et la stagnation des eaux favorisent souvent la prolifération des moustiques et, par conséquent, du paludisme, qui est une cause majeure d'absentéisme et de déperdition scolaire. Le transport et l'acheminement des tables-bancs et du matériel didactique deviennent ainsi un casse-tête logistique lorsque les routes sont inondées ou boueuses.
Sur la situation des abris provisoires, il y a un nombre significatif de classes logées dans des abris provisoires (souvent des baraques en matériaux légers). Ces structures sont particulièrement vulnérables aux intempéries. Les murs en banco ou les toits de paille/tôle mal fixés peuvent s'effondrer ou être emportés par le vent et la pluie, mettant en danger la vie des occupants et forçant l'interruption des cours.
C'est dans ce sens que le chef de l'exécutif régional a convoqué un comité régional de développement (CRD) pour engager les acteurs à prendre à bras le corps les défis du moment.
Pour répondre à l'appel de l'exécutif régional, la COSYDEP a organisé une journée de désherbage et de nettoyage à l'école maternelle de Santossou avec l'appui du conseil communal de la jeunesse, du centre pour adolescents et de l'association des parents d'élèves. L'établissement est donc prêt pour accueillir ses occupants le 6 octobre pour le personnel enseignant et le 8 pour les potaches.
La même dynamique est en cours au collège communal, Mamadou Mane Ba. L'association des parents d'élèves et l'asc du quartier sont sur les lieux pour les dernières retouches informe le principal sortant Waly Samb.
Quant au lycée Ibou Diallo, tout est fin prêt pour le démarrage effectif des cours le jour de la rentrée à en croire le censeur des études. En tout cas, sur le plan environnemental, le cadre de travail est déjà accueillant. Les salles sont désinfectées, la cour est désherbée en attendant les lourdes réfections annoncées par la direction des constructions scolaires.
Commentaires (11)
Chercheur au sein du Conseil supérieur des recherches scientifiques à l’Institut d’études sociales avancées de Cordoue, en Espagne, Thierry Desrues est l’auteur de nombreux travaux sur les processus politiques et les mobilisations citoyennes au Maroc et en Tunisie.
Dans un entretien au Monde, il replace le mouvement lancé le 27 septembre par le collectif GenZ 212 (212 est l’indicatif téléphonique du Maroc), la version marocaine de la vague contestataire de la génération Z (née entre 1997 et 2012) à travers le monde, dans l’histoire récente des mouvements sociaux dans le royaume.
Quelle est la singularité de la protestation actuelle au Maroc par rapport aux précédentes mobilisations ?
Le premier trait distinctif, c’est la jeunesse des manifestants. Même par rapport au « mouvement du 20 février » 2011 [version marocaine des « printemps arabes »], qui était déjà un mouvement de jeunes, cette GenZ 212 rassemble de très jeunes gens, y compris des mineurs. Deuxième élément, on ne sait toujours pas qui est à l’origine du mouvement, si ce n’est qu’il est parti de plateformes – notamment Discord – qui ont permis d’échapper au contrôle
On peut récrire cet article pour toutes les régions du Sénégal. Cette situation de dégradation avancée de nos ancienne ecoles et la présence d'abris provisoires est partt pareil sur l'étendu du territoire
Ah bon
Ya encore des abris provisoires dans ce pays
Khana guy n'est pas au courant ?
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Champ de 2 hectares a Diogo après mboro en 1er position de la route nationale zone agricole très fertile, prix : prix 2 800 000 FCFA par hectares
Infos et vidéo : 7 7 3 7 7 8 1 4 5
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Avec 1 % des milliers de milliards volés honteusement et lachement par ces rapaces APR/BENNO on aurai pu moderniser toute nos écoles et protéger à jamais nos plus petits 😢
Pourquoi pas utiliser les milliards de la caisse noire de sonko ou bien ?
Pourquoi ne pas réajuster les dates de la rentrée et fermeture des établissements. Ona tous constaté un décalage de la saison des pluies qui s'intensifie plus vers septembre. Alors cher gouvernement, revoyez votre copie. L'année scolaire pourrait se situer entre novembre et juillet. Merci
C'est triste. Au pays du pétrole et du gaz de voir cela.
Je prends de la metformine et de l'insuline depuis plus de quatre ans pour mon diabète de type 2, ce qui a entraîné de nombreux effets secondaires. J'ai décidé d'arrêter ces médicaments et de chercher des alternatives aux remèdes naturels. Merci au Docteur Nelson, un herboriste reconnu dont les témoignages sur ses bienfaits pour la guérison de diverses maladies grâce à la phytothérapie naturelle sont omniprésents sur cette plateforme. J'ai contacté et acheté ses produits, que j'ai reçus à mon adresse par DHL. Suivant ses instructions, j'ai utilisé ses produits pour le diabète pendant un mois et deux semaines après la fin de ces traitements. J'ai fait un test de glycémie et ma glycémie a complètement diminué jusqu'à ce jour, sans augmentation, et mon pancréas, déjà fragile, a commencé à se régénérer. Son adresse e-mail : drnelsonsalim10@ gmail. com
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On peut récrire cet article pour toutes les régions du Sénégal. Cette situation de dégradation avancée de nos ancienne ecoles et la présence d'abris provisoires est partt pareil sur l'étendu du territoire
Y'a t'il au senegal une loi contre le tapage nocturne ? Nous tenons a informé le ministre de l'intérieur chef de la police que nous vivons l'enfer la nuit a PIKINE EST aà cause du kankourang établi aux abords de l'école 8 et la.niuvelle maison de la jeunesse depuis plus d'une dizaine de jours ,celui-ci se manifeste chaque jour la nuit entre 02h00 et 03h00 du matin avec une foultitde de gamins et une sonorisation d'enfer réveillant tous les quartiers environnants,la police est aux abonnés absents ,les citoyens au repos ,malades ou devant aller travailler souffrent, cela ne peut plus continuer, il faut faire quelque chose ,on a l'impression de vivre dans un pays ou régne l'anarchie, chacun fait ce qu'il veut et les rares personnes qui tentent d'agir sont menacées et huees. ON A DROIT A LA QUIETUDE SURTOUT LA NUIT A L"HEURE OU TOUT UN CHACUN A DROIT AU REPOS
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Seine-et-Marne : une notable congolaise dépouillée de 120 000 euros de bijoux et marchandises en plein shopping
Une directrice adjointe de l’aviation civile congolaise a été victime d’un vol à La Vallée Village, à Serris (Seine-et-Marne), ce samedi 4 octobre. Des bijoux et produits de valeur ont été dérobés dans la voiture de son chauffeur VTC.
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