Mort suspecte d’un bébé : la première réaction du directeur de l’hôpital de Diourbel
L’enquête sur la mort d’un bébé juste après sa naissance dans la rue, devant l’hôpital régional de Diourbel, vendredi dernier, est lancée. Les auditions ont démarré ce dimanche.
Contacté par Source A, le directeur de l’établissement, Bocar Sow, a promis de réagir. «Les faits sont survenus en mon absence, je ne peux pas, pour le moment, me prononcer, a-t-il déclaré d’entrée. Mais je rendrai public un communiqué demain [ce lundi] pour donner notre part de vérité.»
L’affaire a ému beaucoup de Sénégalais. Une dame nommée Astou Ndiaye se serait présentée à l’hôpital régional de Diourbel sur recommandation du personnel du district sanitaire dans lequel elle s’est d’abord rendue pour accoucher. Malheureusement pour elle, la sage-femme de garde aurait refusé à son tour de l’accueillir, prétextant un défaut de place à cause de travaux au niveau de la maternité.
C’est en quittant l'hôpital qu’elle aurait accouché en pleine rue et perdu son enfant dans la foulée. Le procureur de Diourbel, qui s’est auto-saisi, a réclamé une enquête, confiant le dossier au commissariat central de la localité.
Commentaires (14)
un bled poubelle
Un bled de poubelle alors que toute la sous région se soigne a Dakar ou Touba
Votre responsabilité est engagée.Vous devez démissionné ou être viré. Vous ne méritez pas de rester une seconde de plus à votre poste. Votre absence de l'hôpital au moment des faits ne vous dédouane pas. Vos équipes sont à votre image. Honte à vous. Vous êtes des criminels en blouse blanche!!!
C'est un cas d'une extrême gravité. Mes pensées aux parents. Surtout pas de faiblesse coupable. Que toute la lumière soit faite et les responsabillités situées,et que la loi s'applique dans toute sa rigueur.
Grand première pour le Maroc qui remporte la Coupe du monde U20 en s'offrant l'Argentine en finale
kéneu laadiou lako, va commenter à la bonne place
Les hôpitaux ne font plus du service public les patients sont considérés comme des clients de plus il y a trop de niakk et naars dans des hopitaux sénégalais.Ils sont sans coeur et considèrent les sénégalais comme des cobayes une fois qu’ils auront la main ils retourneront tranquillement dans leur pays d’origine..On demande aux sénégalais de payer des impôts de plus en plus chers et sans contrepartie les hôpitaux sont des mouroirs,les étoles des abris provisoires et l’argent des impôts est volé par les hommes politiques.Les ndring et les libanais gèrent le commerce,les niakk et les naar gèrent la santé finalement le Senegal est entre les mains des etrangers.Il nous faut de vrais dirigeants très patriotes différents du patriotisme utopique que l’actuel régime veut nous vendre il faut de vrais nationalistes au pou.
Tout est occasion pour montrer votre xénophobie. Sage femmes yi ak docteur yi di torohal les malades et leurs patients sont bien des sénégalais. Té li yague nafi.
Tout est occasion pour montrer votre xénophobie. Sage femmes yi ak docteur yi di torohal les malades et leurs patients sont bien des sénégalais. Té li yague nafi.
Je ne saurais qualifier tout le corps médical et paramédical de criminel mais permiss eux nombreux sont ceux qui ne méritent pas de porter la blouse blanche. Un malade est une personne faible, vulnérable et désemparée : il a besoin d'attention, d'assistance et soins. Notre système sanitaire doit être revu. Le personnel est mal formé. L'accueil souvent réservé au patient peut aggraver sa maladie et accentuer sa souffrance.
c'est triste pour la famille et le bébé perdu et malheureux pour l'infirmière chargée de l'accueil elle va tout prendre alors quelle n'est pas la seule fautive elle na fait qu'appliquer les règles de ses supérieurs loin de la défendre mais beaucoup de têtes devraient tomber avec elle en commençant par ceux qui nous dirigent c'est incroyable ce qui arrive a ce peuple jamais je ne pourrais imaginer qu'avec pastef après tout ce qu'ils ont dit sur les abris provisoires et l'agonies des hôpitaux une fois au pouvoir ca aller continuer pire leurs meutent sans coeurs continuent de défendre deux hommes qui cumulent 20millards annuels de caisses noires dans un pays aussi pauvre que le sénégal " je rappelle ls avaient promis de supprimer ou de le mettre au besoins des sénégalais "
malheureusement le senegal est un peuple qui oublie trés vite ils ne combattent pas pour leurs biens étre mais combattent plutot pour le triomphe de leurs opinions et les politiques l'ont bien compris ils usent de ca pour bien les endormir c'est dommage.
DANS BEAUCOUP DE CAS ( pas Tous heureusement) CEUX QUI TRAVAILLENT EN MILIEU MEDICAL AU SENEGAL SONT DEPOURVUS D'HUMANITE !!!!! Oui et je pèse mes mots , surtout dans les maternités ! Ma femme a subie un ( curetage) sans anesthésie par une personne se disant sage-femme ! Vous ne vous imaginez même pas les douleurs ressenti par ma femme tellement c'est violant et inhumain . Et je vous épargne tout le trafic dans ces structures , qui va du jardinier au professeur , tout est trafic dans nos lieux de soins au Sénégal .
Yallah na yallah may aux parents de cet enfant xoolu mougne Amiiine
En mon absence !!!! Ce pays est fabuleux il dégage déjà en touche
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Un jour mon enfant avait piqué une ruse. Je l'ai amené à l'hôpital vers 7heures du matin. Il n'a pu avoir les premiers soins que vers 15heures. Le médecin ainsi que le personnel étaientt là présents Come su de rien n'était. Je n'avais pas la possibilité de l'évacuer car il n'y avait que cet hôpital dans la zone. En un moment donne vers midi, le médecin avait quitté l'hôpital sous prétexte qu'il avait des détails à régler en ville. Dommage pour notre Senegal
Un jour mon enfant avait piqué une crise. Je l'ai amené à l'hôpital vers 7heures du matin. Il n'a pu avoir les premiers soins que vers 15heures. Le médecin ainsi que le personnel étaientt là présents Come su de rien n'était. Je n'avais pas la possibilité de l'évacuer car il n'y avait que cet hôpital dans la zone. En un moment donne vers midi, le médecin avait quitté l'hôpital sous prétexte qu'il avait des détails à régler en ville. Dommage pour notre Senegal
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ON A ATTEINT LES LIMITES DE L’INHUMANITÉ
Quand des femmes y laissent leur vie en accouchant ou quand des bébés meurent à la naissance dans nos structures, on peut toujours supposer que c’est parce que les conditions dans ces structures ne sont pas bonnes. Quand un nouveau-né décède parce qu’on a refusé de faire accoucher la mère faute de place, c’est un crime et là c’est le sens humain (ou inhumain) du personnel soignant et de l’institution qui montre sa face hideuse. Quel que soit le motif du refus posé par la sage-femme, le droit de refus d’obéissance en cas d’extrême urgence et le devoir d’assistance à personne en danger s’imposaient dans cette situation.
Je suis prêt à parier que cela se règlera par un honteux dédommagement sur quelques petits millions de cfa et le maslah aura pris le dessus. Dans les autres nations pour lesquelles la vie humaine a de la valeur, ce crime serait sanctionné. Au Sénégal, on protège les criminels et au pire on se contente de les punir, pas de les sanctionner. Ce crime ne peut pas rester sans sanction exemplaire.
Il est simplement honteux d’entendre le responsable de l’hôpital dire « je n’étais pas sur place ». S’il avait fait le nécessaire, le personnel n’aurait certainement pas pris la décision fatidique qui a occasionné ce drame. C’est comme s’il nous disait « j’ai oublié de mettre en place un protocole d’accueil d’urgence ». Quand on en est à ce niveau d’incompétence, on doit vous dégager. Quant à la femme (sage-femme) qui a appliqué le refus, cela m’arrache le cœur de devoir encore l’appeler « femme ». Quand on est femme, on a du cœur et surtout de la raison. Je doute que cela soit son cas.
Quand on parle de lutte contre la violence faite aux femmes ont oublie très souvent que ce sont les femmes qui exercent cette violence sur les femmes comme elles. Ces d’abord une sage femme qui ne prend pas soin d’une femme en phase d’accouchement, c’est aussi une femme qui maltraite sa bonne, ainsi de suite. La liste est longue
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