Télécom : remaniement à Sonatel, Brelotte Bâ remplace cinq directeurs
Un peu plus d’un mois après sa nomination comme directeur général de Sonatel, Brelotte Bâ imprime sa marque. Seneweb a en effet appris de bonnes sources que le successeur de Sékou Dramé a nommé cinq nouveaux directeurs.
Youssoupha Sall prend la tête d’Orange Finances mobile Sénégal, en remplacement de Alioune Kane.
Mouhamadou Rassoul Guèye devient directeur de la Stratégie et de la Transformation. Il succède à Cheikh Tidiane Sarr, qui cède aussi la direction de cabinet du directeur général, qu’il cumulait, à Massamba Mbaye.
Ce dernier n’est plus directeur des ventes. Il est remplacé par Alimatou Mbaye.
Aly Mbow, lui, est nommé directeur de l’audit , des risques et de la qualité, en remplacement de Cheikh Ndiongue Mbaye.
El Hadji Birahim Guèye prend la direction des ressources humaines que dirigeait Mamadou Ibrahima Traoré.
En dehors de celle de Youssoupha Sall, qui sera effective ce mercredi, toutes les nominations prendront effet lundi 15 septembre.
Commentaires (48)
Le développement dou mosseu am dans ce pays les gens sont méchants et aigris. A chaque fois dal un DG nommé vient avec ces personnes dans ces valises🤣🤣🤣🙂↕️senegal nekhna
MBAYepotisme.........le neddo ko bandoum valeur societale d'entreaide religieuse entres parents, traversti politiquement et economiquement sous d'autres cieux.
Franchement, ça ressemble plus à du favoritisme politique qu’à une décision de gestion rationnelle. C’est même scandaleux que Brelotte écarte ces cadres malgré leurs résultats. Cela prouve que la logique est purement politique, pas managériale.
On n’est pas dans une foire ni dans des calculs politiciens. Si chaque DG se permet ce genre de pratique, l’entreprise ne risque pas d’avancer.
Voilà pourquoi Wave et co continue de vous dominer jour après jour, et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Concentrez-vous plutôt sur le travail et sur la valorisation du potentiel de vos équipes. Seules des fautes graves devraient justifier de tels changements.
Ci ay caaxan kep la Belotte mi nek !
Vu tous les actes posés qui sous d’autres cieux mèneraient à la boycott et la migration vers d'autres concurrents qui vont à contre sens d’une bonne gestion pour ne citer que quelques: les tarifs exorbitants d’OM avant l’arrivée de WAVE où il fallait pour 5000 francs à envoyés payer 500 francs de frais, l’augmentation subite des Pass internet en pleine épidémie de Covid-19, la faiblesse chronique des DÉBITS tortues en fibre optique les plus lents du monde avec l’usage de cette technologie devenu banale, l’écrasante majorée des populations abonnées ont 10 Mbps par seconde etc. Et tous ces actes posés bizarrement n’ont pas permis à l’entreprise d’évoluer, et ni de dégringoler mais figé dans le temps seulement battu sur la finance numérique FINTECH par les innovations du nouveau venu WAVE. La raison de cette stagnation réside dans sa situation de quasi monopole dans un pays où la plupart des acteurs sont des analphabètes alors peu exigeants sur les performances du réseau avec l’absence de ressources suffisantes en bande passante. En réalité les résultats financiers sont le résultat de la commercialisation de services obsolètes surfacturés pour la connexion d’un foyer français à 1 Gbps/s (1000 Mbps) on peut connecter 100 foyer sénégalais sans que des contraintes se font sentir. Il y’a aussi dans ces raisons les pratiques occultes anti concurrencielles envers les autres opérateurs de télécom du pays très sournoises et dont les dégâts sont difficilement quantifiables.
La boîte depuis belle lurette était entre les mains des personnes issues des bases classes de la société qui colportent avec elles les pratiques, les habitudes et les manières de faire de leurs milieux. Vu la manière dont la boîte saigne à blanc les sénégalais, les fausses promesses de progrès et le surplace endémique etc , cette révélation sur la nature et les origines sociales de ceux qui étaient aux commandes explique tout.
Au lieu de chercher à analyser le casting par rapport aux défis et orientations stratégiques de l'entreprise, la concurrence dans le secteur et le souci de faire mieux que l'équipe dirigeante précédente, sinon autant, les gens speculent sur les noms de famille des nouveaux directeurs, les castes, le népotisme, le prénom de Brelotte etc...
Le Sénégal n'est plus ce qu'il était et la médiocrité généralisée est en train de prendre le dessus sur l'intellect qui était une de ses marques de fabrique.
Dégoûtant !
Vos échanges aigre-doux, vous pouvez les réserver pour vous.
Nous, ce qui nous intéresse c'est la qualité du service.
Bonne chance quand même à la nouvelle équipe.
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