Déclaration reportée de l’AJAS : Me Bassirou Baldé explique les raisons
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Déclaration reportée de l’AJAS : Me Bassirou Baldé explique les raisons
Élu Président de l’Association des Jeunes Avocats Sénégalais (AJAS) lors de l’Assemblée Générale du vendredi 20 juin 2025, Me Mouhamadou Bassirou Baldé s’est entretenu avec Seneweb
Après le décès de Samba Sall, les avocats inscrits au...
Les jeunes avocats du Sénégal ont profité de leur point de presse, tenu ce lundi, pour exiger l’application du règlement 5 de l’Uemoa.
L’Association nationale des jeunes avocats du Sénégal (Ajas) a tenu un point de presse, ce lundi, pour dénoncer la mort de Saliou Sarr.
Voici une journaliste très effacée et qui fait bien son travail. Limametti vous dévoile quelques photos de cette charmante dame qui crève le petit écran.
Il était l'invité de Claudy Siar dans couleurs tropicales sur RFI, Neega Mass a parlé de son grand concert à Paris, et de ses projets artistiques pour l'Afrique, il n'a pas manqué d'être ferme sur l'inefficacité des dirigeants Africains mais aussi de la main mise des occidentaux sur les richesses que possèdent l'Afrique.
Hollande: longue Queue pour assister au concert de Youssou Ndour
les photos hot de et de Mbathio, et Myrma au V club Paris organisée par Cheikh Oumar et Morcodou N.Rose
Au Sénégal, les journalistes exercent leur métier avec peu de protection et des limites imposées par l’éthique et la loi, ont constaté samedi des professionnels du secteur et des juristes.
Les instruments de protection juridique font défaut aux professionnels des médias sénégalais, selon l’ancien journaliste Momar Seyni Ndiaye, aujourd’hui formateur dans des instituts de formation en journalisme et en communication.
Avec une capacité d'accueil de 1600 détenus répartis en 43 chambres, la Maison d'arrêt et de correction de Rebeuss dépasse de loin cet effectif, avec des prisonniers qui s'entassent dans les chambres comme des sardines. Des conditions inhumaines par lesquelles la société leur fait payer des fautes que certaines nient avoir jamais commises.
Les onze ans de règne des libéraux ont été ponctués par une série de scandales. Les uns plus spectaculaires que les autres.Le 7 août 2010, lors d’un dîner-débat organisé par l’association des jeunes avocats du Sénégal (Ajas) Abdou Latif Coulibaly affirmait que si l’on totalise l’argent de l’ensemble des scandales financiers connus depuis l’avènement de l’alternance en 2000, on atteindra les mille milliards de francs Cfa.Ce qui équivaut à plus de 26 000 kilomètres de route bitumée, selon lui.
Le journaliste et écrivain, Abdoul Latif Coulibaly a soutenu, vendredi, que le total de l’ensemble des scandales financiers, connus depuis l’avènement de l’alternance en 2000, serait de 1000 milliards de francs Cfa. Ce qui équivaut à plus de 26 000 kilomètres de route bitumée, a-t-il indiqué. C’est lors d’un dîné-débat organisé, vendredi dernier, par l’Association des jeunes avocats du Sénégal (Ajas), que l’écrivain journaliste a encore lâché une bombe. Intervenant sur le thème «Blanchiment d’argent à l’épreuve de la pratique : regard croisé des professionnels», Abdou Latif Coulibaly a campé le décor des scandales financiers au Sénégal.
L’Association des jeunes avocats sénégalais (Ajas) a lancé, hier, un appel à la lutte sans complaisance contre l’impunité, suite aux attaques perpétrées contre le groupe Wal Fadjri et contre d'autres organes de presse. Et d'avertir que si les mesures appropriées ne sont pas immédiatement prises, il est à craindre que la justice privée ne prenne le dessus sur la justice étatique. Qui d'autre qu'un praticien du droit, avocat de surcroît, est mieux placé pour jauger l'ampleur des agressions jusqu'ici impunies. Très au fait des dossiers relatifs aux cas d'agressions classés sans suite par la justice, l'Association des jeunes avocats sénégalais (Ajas) semble en être peu fière.
L’Association des jeunes avocats doit, entre autres objectifs, défendre les intérêts moraux et professionnels de ses membres. Mais, à en croire son président nouvellement élu, l’Ajas fait beaucoup dans l’humanitaire, en assurant notamment la défense de personnes n’ayant pas les ressources nécessaires pour accéder à la justice. Me Antoine Mbengue qui est revenu sur la marche réprimée de samedi dernier, estime que le trouble à l’ordre public, ce n’est pas la marche, mais la répression des marches. Quant au procès d’Hissène Habré, Me Mbengue, membre du pool d’avocats pour la défense de Macky Sall, estime qu’au-delà de l’ancien dictateur tchadien, c’est le procès de beaucoup de dirigeants africains qui sera fait
Les jeunes avocats réunis au sein de l’Association des jeunes avocats du Sénégal (Ajas) ont tenu une conférence de presse avant-hier, à la Maison de l’avocat. Cette rencontre qui vise à lever plusieurs coins du voile sur le métier d’avocat, s’inscrit également dans le cadre général de l’organisation de la 5e édition de la grande soirée de bienfaisance de cette structure, le 03 août 2007 au Méridien Président avec Youssou Ndour et le «Super étoile». «La profession d’avocat se modernise et les jeunes avocats ne peuvent plus se permettre de la pratiquer aujourd’hui comme leurs aînés, il y a 30 ans.» C’est la conviction de Moussa Sarr, le président de l’Association des jeunes avocats du Sénégal (Ajas)...
Au vendeur de journaux devant l’entrée principale du Bloc des Madeleines, qui lui propose sa propre photo de profil à la Une d’un quotidien, un portable collé à l’oreille et deux autres entre les mains, le désormais célèbre Me Abdourahmane Sow « Lénine », suspendu dans le cadre du scandale dans la magistrature répond sur un ton qu’il veut taquin, mais plein d’amertume : « Je me regarde tous les jours dans la glace ». Dix pas plus loin, vers la Poste, un justiciable, d’un pas hésitant, s’approche à Me Sow et sollicite ses services pour défendre un de ses proches. Tenant pourtant à garder son sens de l’humour, il lance au justiciable, tout en continuant à marcher : « Je ne suis plus avocat jusqu’à nouvel ordre. Adressez-vous à quelqu’un d’autre ».