Fiscalité : Thérèse Faye et Cie veulent une surtaxe sur les bouillons et produits de dépigmentation, après les jeux du hasard
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Fiscalité : Thérèse Faye et Cie veulent une surtaxe sur les bouillons et produits de dépigmentation, après les jeux du hasard
Le professeur Abdou Niang est le chef du Service de néphrologie de l’hôpital Dalal Jaam. Il est aussi président de la Société sénégalaise de néphrologie et de la transplantation et président de la Société africaine de néphrologie. À l’occasion de la Journée mondiale du rein célébrée ce 9 mars, il s’est entretenu avec Seneweb sur la situation de l’insuffisance rénale chronique au Sénégal.
La question liée aux bouillons semble être mal comprise au Sénégal et ce n’est pas le patron de Patisen qui dira le contraire
Le milliardaire mauritanien, Mohamed Ould Bouamatou, a frappé les esprits au Sénégal, en faisant un don d'un milliard à son pays de cœur, dans la lutte contre la Covid-19.
La Fédération nationale des cuisiniers du Sénégal (Fenacs) alerte sur l'abus des bouillons dans l'alimentation.
L’actualité politique liée aux élections législatives du 30 juillet est toujours le sujet dominant dans le contenu des quotidiens reçus vendredi à l’APS. Enquête ouvre ses colonnes à Cheikh Tidiane Gadio, ancien ministre des Affaires étrangères et tête de liste de la coalition "Sénégal Dey Dem". Dans cet entretien, Gadio "accuse l’Etat de n’avoir pas fait le travail nécessaire en amont qui aurait permis d’aborder ces législatives avec sérénité",
Le ministre du Commerce, Alioune Sarr, a invité vendredi les entreprises actives dans la production des bouillons culinaires au respect des normes dans les procédés et les compositions de leurs produits, en particulier du taux de sel qui doit être en dessous de 55%, pour ainsi éviter de mettre en danger la santé des populations.
Le ministre sénégalais du Commerce a plaidé jeudi à Dakar, pour le respect strict de la teneur en sel des bouillons culinaires très prises par les ménagères.
Au 17ème siècle, donner le bouillon signifiait empoisonner. Quelques siècles plus tard en Afrique, l’expression n’a tristement pas évolué. Explication sur un phénomène économique actuel dramatique. Loin, très loin des plats traditionnels sénégalais, mais pourtant avec un goût très proche de ce qu’elles ont connu. Voilà le dilemme des sénégalaises contemporaines. Les bouillons, ces additifs culinaires qui donnent du goût, sont utilisés avec outrance dans toutes leurs recettes.
Le Sénégal va réformer la loi sur la baisse du loyer pour moderniser le secteur de l’immobilier, a informé hier le ministre du Commerce, qui a annoncé un projet de décret prolongeant le mandat des chambres consulaires qui arrive à terme en fin décembre 2015. Chassez le naturel, il revient galop. Cette expression sied bien aux bailleurs du secteur de l’immobilier qui, pour contourner la mesure de la baisse du prix du loyer, usent de tous les subterfuges. Pour les maîtriser, le gouvernement entend réformer la loi sur cette baisse.
En 2015, le marché des produits dépigmentants (ou éclaircissants), à l’échelle mondiale, vaudra 10 milliards de dollars (5000 Milliards de francs CFA), un enjeu économique énorme pour les industries cosmétiques ! Les entreprises spécialisées dans la fabrication de ces produits cosmétiques sont implantées essentiellement dans les pays développés mais elles sont également retrouvées dans les pays en développement dont le Sénégal. Ces dernières années, une profusion de produits cosmétiques soi-disant spécialisés pour les peaux noires et métissées a fait son apparition sur le marché dans les grandes villes africaines, européennes, américaines et asiatiques.
Nestlé Sénégal dit attendre des pouvoirs publics sénégalais une réglementation et des normes pouvant apporter de la clarté au débat sur les bouillons culinaires dont la consommation augmenterait les risques de survenue de maladies cardiovasculaires."Nous sommes les premiers" à demander aux services compétents, dont le Codex Alimentarius, l'établissement de "normes sur les bouillons, parce que ça n'existe pas" jusque-là, a expliqué Penda Dieng, la coordonnatrice sécurité alimentaire de la filiale implantée au Sénégal par la multinationale suisse. "Nous sommes les premiers à aller voir les autorités pour qu'il y ait des normes.
Le Sénégal sera bientôt doté d’une unité industrielle de fabrication de poudre d’oignon, a révélé vendredi à Dakar M. Sémou Diouf, directeur de la communication et des relations publique de Nestlé Sénégal, filiale de la firme du même nom.
Mamadou Lamine Diallo adresse une question orale au ministre du Commerce de l’Entreprenariat et du Secteur informel. Dans une lettre, le député Benno bokk yaakaar (Bby) demande que «la composition des bouillons culinaires figure sur l’emballage des produits alimentaires mis en vente sur le territoire national».
Le ministre du Commerce, de l'Entrepreneuriat et du Secteur informel, Alioune Sarr, a tenté, dimanche, à rassurer les parlementaires au sujet des bouillons culinaires et de leurs effets sur la santé humaine, soutenant que leur consommation modérée n’a pas d’effet négatif sur l'organisme.
Les élus se sont intéressés à la consommation des Sénégalais notamment des bouillons culinaires dont la publicité est très présente dans les médias sénégalais. « Relevant qu’il y a d’énormes risques qu’encourent les Sénégalais en consommant ces produits, ils ont invité Malick Gakou à être plus regardant par rapport à ce produit », rapporte Libération quotidien ce vendredi.
Le gouvernement sénégalais envisage une nouvelle baisse sur le prix des produits de consommation courante et à veiller à leur application dans les commerces, selon le ministre du Commerce, de l’Industrie et du Secteur informel, Elhadji Malick Gackou.
Les bouillons et cubes alimentaires qui pullulent le marché sénégalais, constituent un danger permanent, pour nous consommateurs. D’origines douteuses, ces produits culinaires sont la cause de multiples maladies au Sénégal, entre autres, on peut citer le diabète, le cancer, l’insuffisance rénales, l’hypertension artérielle ou encore la cirrhose. Le diabétologue et directeur du centre de traitement du diabète de Dakar, Pr Said Nourou Diop d’attirer l’attention du consommateur sur le danger de ces produits au cours d’un forum sur la valeur partagée, organisé par Nestlé Afrique de l’Ouest et du Centre, à Lagos au Nigéria.
Dolli, Magi nokoss, Jumbo, Maggi, Joker, Adja, Jongué, Tak, Mami, Khadija, Dior, Tem Tem, autant de bouillons utilisés par la cuisinière sénégalaise pour apporter la différence dans sa marmite. C'est une assiette de maladies chroniques silencieuses qu'elle sert ...
En raison d'une mauvaise alimentation, le Sénégal est en train de développer, à grande vitesse, les maladies des pays riches. Un constat amer qui étreint le cœur des spécialistes.