Côte d'Ivoire: arrestation d'un bras droit de Laurent Gbagbo
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Côte d'Ivoire: arrestation d'un bras droit de Laurent Gbagbo
Deux cadres de la formation de l'ex-président ivoirien désormais opposant, Laurent Gbagbo, ont été arrêtés et inculpés mardi, notamment pour "appel à l'insurrection", à moins d'un mois de l'élection présidentielle, a-t-on appris auprès de leur avocate et du parti.
Plusieurs cadres de deux partis d'opposition en Côte d'Ivoire, dont un député, ont été longuement entendus par la police mardi, avant de ressortir libres tôt mercredi matin, au sujet d'incidents survenus le week-end dernier à Abidjan, a-t-on appris auprès d'un de leurs avocats et d'un des partis.
- Mandat "inconstitutionnel" -
Damana Pickass et Justin Koua, deux cadres du parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo ont été condamnés mercredi à 10 ans de prison ferme par le tribunal d'Abidjan notamment pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", dans deux affaires distinctes.
L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, candidat déclaré à l'élection présidentielle d'octobre 2025, a plaidé samedi lors d'un meeting à Abidjan pour que le scrutin soit organisé de façon "juste" et "dans la paix".
Un quotidien d'opposition ivoirien a été suspendu par l'Autorité nationale de la presse (ANP), organe de régulation des médias en Côte d'Ivoire, qui l'a accusé d'avoir "porté atteinte" au "corps judiciaire".
Vingt-six militants du parti d'opposition de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo ont vu dans la nuit de mercredi à jeudi leur peine réduite en appel à deux ans de prison avec sursis, pour «trouble à l'ordre public» lors d'une manifestation fin février à Abidjan.
Une trentaine de militants du parti d'opposition de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo ont été condamnés jeudi soir à deux ans de prison ferme pour "trouble à l'ordre public", lors d'une manifestation fin février, à Abidjan.
Le porte-parole de la formation de l'ex-président ivoirien Laurent Gbabgo, a accusé jeudi le pouvoir "d'instrumentalisation" de la justice "à des fins politiques", après l'arrestation la semaine dernière d'une trentaine de militants du parti.
Ces deux figures du FPI sont censées incarner l'expérience et la jeunesse, comme annoncé par Laurent Gbagbo.
Des centaines de candidats sont en lice pour les législatives du 6 mars en Côte d’Ivoire
Damana Pickass et Justin Koua, deux cadres du parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo ont été condamnés mercredi à 10 ans de prison ferme par le tribunal d'Abidjan notamment pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", dans deux affaires distinctes.
Ces deux figures du FPI sont censées incarner l'expérience et la jeunesse, comme annoncé par Laurent Gbagbo.
Jeudi 7 septembre, le gouvernement accusait des pro-Gbagbo de mener des actes de déstabilisation en Côte d'Ivoire. Le président Alassane Ouattara a affirmé ce dimanche détenir « des preuves » de ces accusations et s'est dit prêt à émettre des mandats d'arrêts internationaux à leur encontre.
C'est sur le perron de la présidence ivoirienne que le ministre d' l'Intérieur et de la Sécurité a lancé ces accusations. Sidiki Diakité a même cité les noms de deux proches de l'ancien président ivoirien, qu'il accuse de financer et armer des anciens militaires depuis le Ghana où ils ont trouvé refuge.
Lors de son passage à Paris, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire a été l’invité le 30 octobre, d’un des célèbres déjeuners de l’Association de la presse diplomatique française (APDF) présidée par Vincent Hervouët, éditorialiste et chef du service Etranger de TF1/LCI. Au Conservatoire des arts et métiers au 9 bis rue d’Iena, dans le 16ème arrondissement de Paris, Guillaume Kigbafori Soro a répondu sans faux-fuyants à toutes les questions de la presse diplomatique. Nous vous proposons les extraits les plus significatifs.
La tension est montée mardi en Côte d`Ivoire,où des représentants du chef de l`Etat Laurent Gbagbo au sein de la commission électorale ont empêché physiquement l`annonce de résultats partiels du second tour de la présidentielle de dimanche qui l`opposait à Alassane Ouattara.