Etablissements d'enseignement publics et privés : L’ANAQ-Sup met en garde contre les diplômes non reconnus
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Etablissements d'enseignement publics et privés : L’ANAQ-Sup met en garde contre les diplômes non reconnus
L'examen de certification des infirmiers et sage-femmes d’État et ses résultats «catastrophiques», font toujours couler de l’encre.
L’Autorité nationale d’Assurance Qualité de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (ANAQ-Sup) a lancé une mise en garde ferme à l’endroit du public et des établissements d’enseignement supérieur privés
L’Autorité nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (ANAQ-Sup) a lancé une mise en garde ferme à l’endroit du public et des établissements d’enseignement supérieur privés. Dans un communiqué rendu public ce jeudi, l’ANAQ-Sup annonce la non-reconnaissance des diplômes de doctorat (PhD, doctorat unique ou d’ingénieur) délivrés en dehors du cadre réglementaire par ces établissements.
Dans certains établissements ‘’privées’’ de la place, plusieurs étudiants paient des frais de scolarité élevés, suivent des informations parfois de qualité, mais obtiennent des diplômes qui ne sont ni reconnus par l’État, ni validés par aucune instance de régulation. Des diplômes inexploitables aussi bien sur le marché de l’emploi que pour la poursuite d’études.
Pr Cheikh Sène, directeur enseignement supérieur privé : « Des établissements seront fermés très prochainement » 2/2
Le constat est amer. Au Sénégal, la plupart des établissements d’enseignement supérieur ne disposent ni d’habilitation ni d’une accréditation de l’Autorité nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur (ANAQSUP).
Les autorités sont plus que jamais déterminées à mettre de l’ordre dans le sous-secteur de l’enseignement supérieur privé où règne une anarchie totale.
L’explosion des effectifs dans les universités publiques sénégalaises a ouvert la voie à une prolifération anarchique d’établissements privés d’enseignement supérieur.
Le Sénégal célèbre une avancée historique avec l’atteinte du niveau de maturité NM3 dans le domaine de la gestion pharmaceutique
L'Université Cheikh Anta Diop a été classée première en Afrique francophone par EduRank
Le Secrétaire général du ministère du Pétrole et des Energies Adama Diallo a rappelé, jeudi, à Fatick, que...
L'arrivée d'Alassane Ouattara au pouvoir en 2011, premier président musulman de Côte d'Ivoire, a placé cette communauté, jadis exclue, au cœur des rouages du pouvoir administratif et social.
Lorsque j’étais membre de l’éphémère Haute Commission pour la Réforme de l’Education en Mauritanie qui avait compétence pour proposer de réformes pour tout le système éducatif (du primaire au supérieur)
Ancien ministre de l’Enseignement supérieur et président de l’Université Dakar Bourguiba (Udb), le Pr Sakhir Thiam analyse le secteur ainsi que les options prises par l’Etat. Il revient aussi sur la naissance et la marche de l’Udb qui célèbre, aujourd’hui, ses 20 ans d’existence.
Le projet de budget du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche est arrêté, pour la gestion 2016, à la somme de 149 240 715 300 FCfa contre 130 197 482 440 FCfa, soit une hausse de 19 043 232 860 FCfa. Il a été voté à l’unanimité hier, à l’Assemblée nationale.
Les universités du Sénégal traversent des crises. Ibrahima Sadikh Ndour revient à travers cette contribution les difficultés dans l'enseignement supérieur au Sénégal. Il donne des exemples de comparaison avec les universités des pays développés.
Sa nouvelle carrière a à peine débuté que Zinédine Zidane provoque déjà la polémique. Une plainte a en effet été déposée par le centre national des entraîneurs espagnols !
Les nouveaux bacheliers non encore orientés au sein des universités publiques seront transférés dans des écoles supérieures dont les filières sont reconnues par le Conseil africain et malgache de l'enseignement supérieur (CAMES), a confirmé, vendredi à Dakar, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane.
Les nouveaux bacheliers non encore orientés au sein des universités publiques seront transférés dans des écoles supérieures dont les filières sont reconnues par le Conseil africain et malgache de l'enseignement supérieur (CAMES), a confirmé, vendredi à Dakar, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane.