Les Journées Portes Ouvertes (JPO) de l'École Supérieure des Technologies et du Management (ESTM) ont mis le cap sur l’avenir des métiers du droit à l’ère numérique
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Les Journées Portes Ouvertes (JPO) de l'École Supérieure des Technologies et du Management (ESTM) ont mis le cap sur l’avenir des métiers du droit à l’ère numérique
Formation et emploi au Sénégal : quelle approche pour une transition fluide de la formation vers les métiers qui permettront une transformation et un développement inclusifs et durables du pays ?
El Hadji Malick Gueye est un expert en système d’information, capitalisant près de dix-huit années d’expérience en audit et mise en place de systèmes informatisés
Ousmane B. Aphane DIENE, Dg de l'ESTM et sa délégation, ont été accueillis par le Pr Moussa Lo, Recteur de l'ex UVS, pour la signature d'un accord de partenariat...
Formation et emploi au Sénégal : quelle approche pour une transition fluide de la formation vers les métiers qui permettront une transformation et un développement inclusifs et durables du pays ?
Ousmane B. Aphane DIENE, Dg de l'ESTM et sa délégation, ont été accueillis par le Pr Moussa Lo, Recteur de l'ex UVS, pour la signature d'un accord de partenariat...
La trentaine, El Hadji Malick GUEYE est l’un des plus jeunes spécialistes en système d’information d’Afrique de l’ouest. Son expérience ainsi que son parcours lui valurent récemment sa sélection par le Département d’Etat Américain au programme « Mandela Washington Fellowship » pour jeunes leaders africains.
Le diplôme est censé être la clé du bonheur qui passe par le travail. Depuis quelques années, les étudiants des EPES voient leur diplôme ne leur ouvrir que les portes de la galère. Désillusion, amertume, chômage… une situation qui s’explique par un secteur tertiaire déjà trop saturé.
Le gouvernement ivoirien a réagi, mercredi, aux photos « supposées de Charles Blé Goudé et Jean-Yves Dibopieu » publiées sur les réseaux sociaux, estimant que « c’est un montage grossier».
« Lors de la première session, je voulais me présenter et le Président Sall m'a convaincu de ne pas me présenter contre Moustapha Niasse, et j'ai accepté volontiers. Donc, ce n'est pas une corruption », précise Moustapha Cissé Lo, pour réfuter les accusations de Rewmi.
Dans un entretien à paraître demain dans l'hebdomadaire Jeune Afrique, le nouveau président sénégalais, Macky Sall, est revenu sur la question de la traduction en justice de l'ancien dictateur tchadien, Hissène Habré, réfugié au Sénégal depuis près de deux décennies. Cette semaine, Hillary Clinton, la Secrétaire d'Etat américaine avait, dans un rapport rendu public, demandé aux autorités sénégalaises, au président Macky Sall en particulier, de prendre des " mesures concrètes " afin que la vérité et la justice soient dites dans cette affaire. Estmant qu'il n'est que temps que les victimes présumées de l'ancien dictateur soeint entendues devant un tribunal, Mme Clinton avait prié les autorités sénégalaises de diligenter les procédures dans cette affaire, ce que ne voulaient pas entendre les tenants de l'ancien régime, valsant entre tergiversations judiciaires et exigences financières. Il semblerait que les nouvelles autorités sénégalaises aient déjà mis en place un groupe de travail dirigé par le magistrat Amadou Baal. Pour ses cents jours au pouvoir, le président Macky Sall aurait tranché le débat, dans un entretien à paraître dans Jeune Afrique demain, et fait savoir que, conformément à la décision de l'Union africaine, Hissène Habré ne sera pas extradé et sera jugé au Sénégal. (source : Rfm)
Une mauvaise distribution de la pluviométrie a entraîné une baisse de productivité de 25% de l'agriculture au Sénégal. S'y ajoute à la mauvaise pluviométrie, un faible niveau d'équipement, une mauvaise maîtrise des ressources en eau ou encore l'insuffisance de la fourniture en intrants. ce qui a eu pour conséquence une chute de 2% de la croissance de l'agriculture, un repli de 12,6% de la valeur ajoutée du Pib, entaînant un fléchissement de sa croissance (celle du Pib) qui, attendue à 4,3% pour 2012, n'atteindra que 4%, selon les chiffres de l'Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) citée par le magazine La Gazette dans son édition du 15 au 22 mars courants. Quand on sait que l'agriculture sénégalaise a contribué à hauteur de 58% de la croissance du Pib en 2010, on peut comprendre que l'économie sénégalaise, déjà plombée par le renchérissement du prix du pétrole et des produits alimentaires, doive faire face à ces contraintes internes et externes. Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (Fao), on estime à 15 millions de personnes dans le Sahel, dont 850 000 Sénégalais, " sont à risque d'insécurité alimentaire ". L'organisation onusienne estme que le Sénégal, à l'instar des autres pays du Sahel, a besoin " d'une aide d'urgence pour conjurer une crise de sécurité alimentaire et nutritionnelle de grande envergure ". Le déficit budgétaire, de 6,9% actuellement, ne laisse guère de marge de manoeuvre au gouvernement sénégalais face à cette crise alimentaire. Devant un tel déficit, les bailleurs de fonds sont opposés à toute subvention des produits alimentaires, comme ce fut le cas en 2008, au plus fort de la crise alimentire mondiale, ce qui ne ferait qu'accentuer le déficit budgétaire du pays qui a atteint la zone rouge. La Grande Offensive agricole pour la Nourriture et l'Abondance, la fameuse Goana de Wade initiée en 2008, est bien loin derrière nous, au grand dam de nos pauvres hères rurales.
Après avoir bradé la brasserie, qui fabrique les boissons Africa Cola, qu’il a usurpée, le nébuleux homme d’affaires de nationalité française, Pierre Aïm, a fini par la revendre au concurrent de notre compatriote Cheikh Tall Dioum, qui s’est battu 15 ans durant contre le monopole de la Soboa au Sénégal. Ainsi , Castel qui a réussi à faire une entente, hors du Sénégal, avec Pierre Aïm a décidé de fermer l’usine, pour avoir, à nouveau, la main mise sur le marché de la boisson, au grand dam des consommateurs et de deux cents travailleurs.