C'est l'homme le plus fort actuellement au Sénégal. Badou Dièye a fini d'imposer sa puissance sur la plan national et rêve d'un continental de powerlifting lors du championnat d'affaires qui se tient cette année en Côte d'Ivoire.
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C'est l'homme le plus fort actuellement au Sénégal. Badou Dièye a fini d'imposer sa puissance sur la plan national et rêve d'un continental de powerlifting lors du championnat d'affaires qui se tient cette année en Côte d'Ivoire.
S. N. Ndoye, âgé de 33 ans et B. Faye âgée de 49 ans, se sont connus sur Facebook.
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Documentaire: Tourisme sexuel en Gambie, charters pour l'amour des gigolos
Uni par les liens du mariages depuis 8 mois avec Magui channel, le ministre Birima Mangara fait la Une de la presse cette semaine.
De prime abord et à l’évidence, les affaires Ndèye Guèye « Guddi Town », Diomboss Diaw, Cheikh Yérim Seck, Tamsir Jupiter Ndiaye, Serigne Bara Doly, les jeunes filles de Grand Yoff et aujourd’hui ces jeunes mineures prises à flagrant délit d’attentat à la pudeur à la plage de Hann, n’ont rien à voir entre elles.
Les rôles des tribunaux sénégalais regorgent de cas d’escroquerie. En langage profane, l’escroquerie est un stratagème ou une tromperie élaborée dans l’intention de s’enrichir au moyen de faux-semblants, de boniments ou de promesses. Mais, selon le Code pénal Sénégalais, l’escroquerie est le fait, soit par l'usage d'un faux nom ou d'une fausse qualité, soit par l'abus d'une qualité vraie, soit par l'emploi de manœuvres frauduleuses, de tromper une personne et de la déterminer ainsi, à son préjudice ou au préjudice d'un tiers, à remettre des fonds, des valeurs ou un bien quelconque.
Selon une légende, le nom du village de Saly viendrait du prénom d’une jeune fille. Des blancs, venant de débarquer, ont croisé la fille en question qui ne comprenait pas leur langage. Alors que les étrangers lui demandaient comment s’appelait la localité, elle a cru comprendre qu’on lui demandait son nom. Elle a alors répondu : Saly.
Leur milieu revêt ses propres spécificités, comme le fait que des pères de famille s’adonnent plus ou moins clandestinement à ces activités ou que des hétérosexuels consentent à des pratiques homosexuelles.
Sept personnes accusées d'avoir dissous le corps du gérant d'un club de gigolos avec des produits toxiques ont été arrêtées par la police japonaise, ont indiqué vendredi les autorités et les médias.Ces arrestations interviennent près de trois ans après que Masamichi Tsuchida, 43 ans à l'époque, a disparu mystérieusement de son club tokyoïte, où les femmes payent d'importantes sommes d'argent pour être diverties par de beaux jeunes hommes.
Mouhamadou Bamba Saliou Dacosta alias Jean Wilson (Ndlr : il s’est converti à L’Islam en 2005), est un mannequin professionnel depuis ses 17ans, promoteur de mode, manager et concepteur de projets événementiels. Will (comme l’appellent ses proches) pilote une structure de communication et une école de mannequinat. Last but not least, il préside également aux destinées de l’Association des mannequins professionnels du Sénégal (AMPS). De sa réputation d’homme à femmes, en passant par l’homosexualité et la prostitution dans le mannequinat, Will parle en toute franchise.
Le «Dakar by night» regorge d’endroits chauds et secrets comme celui situé aux Almadies, derrière un grand casino de la place. Ce lieu organise, chaque premier samedi du mois, une soirée aux allures de bal populaire, mais qui cache des choses insoupçonnées. Entre alcool, sexe et chanvre indien, Blancs et Noirs, adultes et minettes, s’y pourchassent. A «Koulgraoul» (relaxe, ce n’est pas grave), on est dans une sorte de temple du «Tout est permis».
Reportage A Saly (mbour) Comment Vivent Les Gigolos?
Confession d'un gigolo " On couche des fois avec des vieilles de 80 ans "
La prostitution a longtemps été l’apanage des personnes de sexe féminin. Aujourd’hui, la réalité est tout autre au Sénégal où les hommes se livrent à ce type de libertinage. Et Toubab Dialaw en est un exemple parfait.
Au Sénégal, la «profession» de gigolo est en train de gagner du terrain et d’entrer dans les mœurs sans pour autant choquer. Il est bien vrai que la pratique reste circonscrite dans l’ombre. Cependant, la cupidité et la quête effrénée de biens matériels ont fini par faire disparaître tous scrupules chez certains jeunes garçons. Les principes sont rangés au placard et la fin semble justifier les moyens pour ces nouveaux esthètes d’un genre bien particulier. Ne comptant que sur leur corps, pour vivre, ils sont prêts à toutes les compromissions pour réaliser l’hypothétique rêve d’un Eden sur terre.
Au Sénégal, le tourisme sexuel est devenu une source essentielle d'argent. Dans une station balnéaire telle que Saly, au nord et dans le sud du pays, il est très visible. Présente elle aussi, la pédophilie se pratique beaucoup plus discrètement. La justice sénégalaise a arrêté plusieurs pédophiles occidentaux.
De nos jours, les habitudes changent : notre société connaît un phénomène qui s’y incruste. « Les nouveaux gigolos », pour avoir un homme, il faut mettre la main dans la poche
Ils sont jeunes, beaux et ont besoin d’argent. Elles sont seules, en quête d’attention et plus si affinités. Ils se retrouvent sur les plages, et finissent parfois ensemble en Europe. Badou a 24 ans et cherche une Blanche. Son terrain de chasse, c’est la plage. Il fait partie des groupes de bumsters, un terme local qui désigne les gigolos. Ils sont jeunes, travaillent leur musculation sous le soleil de Gambie et font fondre les quadras et les quinquas venues d’Europe s’encanailler sur les côtes africaines. Les Européennes, selon Badou, « elles sont mieux, car au moins elles partagent ». Alors il drague du matin au soir.
En langage clair, l’escroquerie est un stratagème ou une tromperie élaborée dans l’intention de s’enrichir au moyen de faux-semblants, de boniments ou de promesses. Elle est un phénomène mondial. À côté des escroqueries classiques faites par des «marchands d’illusions», des charlatans et autres escrocs de petit acabit, il y a d’autres formes d’escroquerie qui portent la touche de spécialistes. Si «un pigeon» tombe dans le panneau, c’est des milliers, voire des millions de francs qu’il perd, en un tour de passe-passe.