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Dans un contexte de changement climatique, le Sénégal a besoin d’infrastructures résilientes qui répondent aux normes environnementales.
Rentrée scolaire 2025-2026 : Kaffrine face à un déficit de 446 enseignants , 9 981 tables-bancs et 600 structures scolaires à réhabiliter
La député Awa Diène a déploré à l’Assemblée nationale pendant l’examen du budget du ministère des infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, la situation qui prévaut à la Médina, où beaucoup de routes sont défectueuses et le cadre de vie complètement défiguré à cause de chantiers anarchiques, sans oublier les sempiternels problèmes d’assainissement.
Je voudrai tout d’abord présenter humblement mes condoléances à son Excellence Macky SALL Président de la République, au Khalife général de la Confrérie Tidianiya...
Le Lycée scientifique d’excellence de Diourbel (LSED), matérialisation d’une vision éclairée de son Excellence Monsieur Macky Sall...
Les chefs de village de la commune de Ndiaganiao interpellent le président de la République, Macky Sall, et...
La député Awa Diène a déploré à l’Assemblée nationale pendant l’examen du budget du ministère des infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, la situation qui prévaut à la Médina, où beaucoup de routes sont défectueuses et le cadre de vie complètement défiguré à cause de chantiers anarchiques, sans oublier les sempiternels problèmes d’assainissement.
![[ Opinion ] Autoroute à péage Dakar- Diamniadio : Analyse d’un choix public difficile, mais appréciable](/sites/seneweb-com/v9/img/posts/content-horizontal/1.webp)
La conscience du rôle des infrastructures dans une économie en émergence représente le côté positif de la gestion wadienne du pouvoir. Ce qui est regrettable, c’est que ces dépenses publiques d’infrastructures sont souvent entachées de grandes malversations et certaines d’entre elles ne sont vraiment pas opportunes relativement aux autres charges publiques (éducation, sécurité, santé, subventions). En outre, pour respecter le critère d’économicité des choix publics, il fallait limiter les dépenses d’infrastructures faisant appel à des importations importantes de matériaux, parce qu’il s’en suit une accentuation du déficit extérieur du pays.
Les jeunes de la délégation régionale de l’Alliance des forces de progrès (Afp) ont sorti une déclaration au vitriol lors d’un point de presse, en réponse à l’attaque des jeunes libéraux de Nioro désignant leur secrétaire général Moustapha Niasse comme persona non grata dans la ville. Pour les jeunes «progressistes» de la région de Kaolack, notamment ceux de Nioro, le débat est ailleurs et non sur la personne de leur leader, Moustapha Niasse ; il est plutôt sur le bilan de huit années de l’alternance. Pour Baye Kébé, le chargé de la communication des jeunes de l’Afp, «l’alternance qui devait soulager les populations, est devenue dans la région de Kaolack, une succession de crises sur l’école, les infrastructures, l’emploi, l’agriculture et la démocratie».
Ousseynou D. est un jeune mécanicien qui officie à Colobane, un quartier de la capitale sénégalaise. Il a un revenu annuel de moins de 2 millions de Fcfa. Il est marié, père de trois enfants déjà. Sa jeune épouse lui en a fait un quatrième. Une naissance qui a rempli certes de joie la maisonnée, mais qui n’en a pas moins mis dans l’embarras le chef de foyer et obligé toute la famille à se saigner jusqu’au dernier sou pour que Madame puisse accoucher à la clinique privée, à la suite d’une césarienne… Huit cent mille Fcfa ont été nécessaires. C’est-à-dire près de la moitié de tout ce qu’il espère même gagner en une année entière de dur labeur.
La tournée des leaders du Front « Siggil Sénégal » dans les représentations diplomatiques et auprès de l’Union européenne a fait sortir de son silence le ministre Bacar Dia, leader du Front populaire et par ailleurs porte-parole du gouvernement, bien qu’étant en vacances. Aussi, qualifie-t-il cette démarche d’acte « antipatriotique à la limite, une agitation inutile ». Précisant d’emblée qu’il intervient sous la double casquette de leader du Front populaire (Fp) et de porte-parole du gouvernement, le ministre de l’Information, Bacar Dia, a indiqué que le Sénégal est un pays debout (allusion faite au terme « Siggil Sénégal », ou relever le Sénégal), un pays de combat et de conquêtes, qui a fait des options très claires.
Crée en 1913, l’hôpital Aristide Le Dantec, l’une des structures sanitaires les plus vieilles du Sénégal offre aujourd’hui une image dépassée. Des bâtiments délabrés, des routes défectueuses, des équipements obsolètes, un appareillage inadapté, une dette de plus d’un milliard 300 millions due aux fournisseurs, une subvention étatique insuffisante, et pis encore un personnel sanitaire qui a en raz-le-bol. A vrai dire, l’hôpital Aristide Le Dantec est un véritable mouroir pour les malades. Tout ce qui traduit la mauvaise politique de santé du Sénégal et l’échec des réformes hospitalières adoptées, il y a presque dix ans. L’hôpital Aristide Le Dantec, la structure sanitaire la plus fréquentée au Sénégal est en train de s’effondrer.
