Le Sénégal traverse une phase singulière de son histoire : celle d’une société qui ne s’effondre pas, mais qui peine à avancer.
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Le Sénégal traverse une phase singulière de son histoire : celle d’une société qui ne s’effondre pas, mais qui peine à avancer.
Une chute amortie du système
La romancière Rabia Diallo a sorti récemment un livre"Amours cruelles Beauté coupable", un livre délicieusement bien écrit, drôle et touchant. Dans un entretien accordé à Leral, la jeune romancière s'est livrée sans manquer de se prononcer sur les faits de société et de la politique
Elle fait partie des journalistes les plus talentueuses de sa génération. Elle, c’est Aïssatou Françoise Seck. Amoureuse du sport depuis le bas-âge et passée par le CESTI, journaliste sportive aujourd’hui, elle constitue avec ses consœurs des médias, des femmes qui n’ont rien à envier aux hommes dans ce métier qu’elle adore et qu’elle a choisi de faire. Dans un entretien qu’elle nous a accordé, Françoise Seck est revenue sur ses débuts dans le journalisme, l’ascension des femmes dans les médias, son opinion concernant la crise qui sévit dans le football sénégalais entre autres. Entretien.
Comment expliquer le caractère itératif des accusations « d’ethnicisme » portées contre des hommes politiques comme Djibo Ka, hier, ou Macky Sall aujourd’hui, qui ne sont pas de la même génération, qui ont des parcours politiques opposés, qui ont des attaches familiales dans deux provinces très différentes, qui, quoiqu’en pensent certains Sénégalais, ont des cultures différentes et ne parlent pas tout à fait le même pulaar ?
Dissoudre la commission de supervision du croissant lunaire, c’est ce qu’exige le guide de la famille religieuse de Serigne Abass Sall de Louga. En célébration de la fête de l’Aïd Al Fitr ce mardi, le porte-parole, Serigne Lamine Sall a réglé ses comptes avec la commission d’observation du croissant lunaire.
L’ancien Premier ministre, déchu récemment de son poste de numéro 2 du Parti démocratique sénégalais (Pds), pourrait, comme dans un sursaut d’orgueil, d’autres diront d’honneur, refuser de déférer, ce matin, à la commission de discipline de la formation libérale qui veut le conduire, vite fait, bien fait, à l’échafaud. Certaines sources disent même que le président de l’Assemblée nationale a catégoriquement refusé de répondre à ses « frères » libéraux qui veulent l’abattre. Ainsi va, sous nos chaudes latitudes, la politique !
Dans le cadre de son émission interactive en langue wolof, « Laaju bisbi », (la question du jour), en rapport avec la corruption au sein de la magistrature, Walf Fm avait proposé aux auditeurs la question de savoir à peu près ceci : « Face à des problèmes faut-il faire du « maslaa » ou du « nëppë nëppël ». Se posait dès l’entame de la discussion un problème de compréhension et de définition au niveau des termes. Un seul auditeur s’est préoccupé de cela vers la fin des débats. En prenant la parole à posteriori, nous voudrions y ajouter quelques mots.
Rocambolesque histoire que celle dite « Papa Malick Ndiaye ». Un jeune sénégalais né en 1982 qui dit lutter contre la corruption qui se retrouve à demander le règlement d’une « grande affaire de détournement de deniers publics, d’enrichissement illicite, de concussion, des preuves filmées à l’appui », à... l’amiable. Avec les querelles de positionnement, de préséance au plus haut sommet de l’Etat, les manipulations et autres coups bas commencent à faire rage. Et l’affaire Papa Malick Ndiaye qui « mouille de hautes personnalités de l’Etat, dont Abdoulaye Baldé, la directrice du passeport, des fonctionnaires du ministère des Finances et des Affaires étrangères » fait couler beaucoup d’encre et de salive.