Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le ministère de l’Industrie et du Commerce a annoncé, ce vendredi 19 septembre 2025, la levée du gel sur les importations d’oignon au Sénégal.
Les commerçants importateurs d'oignons de Thiès, à la faveur d'un point de presse, tenu ce vendredi 12 septembre 2025, ont exprimé leur angoisse par rapport à l'avenir de leur filière
Avec 200 sacs de riz basmati de 20 kilos chacun, 500 cartons de concentré de tomates, 600 kilos d’oignons et 750 kilos d'huile, la cheffe nigériane Hilda Baci tente de concocter à Lagos la plus grande marmite jamais cuisinée de riz jollof, un plat populaire d'Afrique de l’Ouest.
Avec une production d’oignons annuelle de 450 000 t et une demande nationale de 350 000 t, le Sénégal doit trouver le moyen d’exporter l’excédent de sa production nationale pour une meilleure organisation du marché.
La tournée économique du président de la République Bassirou Diomaye Faye dans la région de Saint-Louis s’est achevée ce vendredi sur une note hautement symbolique
À Thiès, malgré un approvisionnement satisfaisant en sucre, huile, pommes de terre, oignons et autres denrées, la spéculation bat son plein à l’approche de la Tabaski, prévue le 7 juin 2025.
Le 20 mai 2025, l’Agence de Régulation des Marchés (ARM) a annoncé, par une lettre circulaire, l’interdiction temporaire de la vente d’oignons et de pommes de terre issus de l’agrobusiness, du 22 mai au 15 juin 2025.
Dans la vallée du fleuve Sénégal, plus précisément dans la zone de Diama (département de Dagana), les producteurs d’oignons traversent une crise sans précédent. Malgré une campagne agricole menée avec rigueur et espoir, les récoltes s’accumulent dans les champs, faute d’acheteurs et d’infrastructures de stockage. La colère monte, et les producteurs du département de Dagana lancent un appel pressant à l’État du Sénégal pour des mesures urgentes face à une crise aux multiples facettes.
Dans une analyse publiée par le Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD, le Sénégal fait face à une surproduction maraîchère structurelle, notamment pour l’oignon (450 000 tonnes en 2025, contre 350 000 tonnes de besoins) et la pomme de terre (240 000 tonnes, contre 130 000 à 150 000 tonnes de consommation).
L’Agence de régulation des marchés (ARM) et du Ministère du commerce et de l’industrie, vient d’annoncer, dans une lettre circulaire, le gel de toutes les importations d’oignons à compter du samedi 25 janvier 2025. Une décision qui entre dans le cadre d’un ‘’protectionnisme’’ qui vise à promouvoir la production locale notamment durant les fêtes religieuses : « APPEL Layenne- Kazu Rajab-Porokhane ».
« Nous étions venus faire la situation du marché, à Tivaouane, sur demande du ministre de l'Industrie et du Commerce,
Le prix du kilogramme de pomme de terre et de l'oignon a augmenté aussi bien dans les marchés que dans les boutiques d’alimentation générale. Le constat a été fait par tous.
Le marché est très bien approvisionné à Kaffrine d’après le chef du service régional du commerce de Kaffrine, El Hadji Yoro Fall. Ce dernier fait état de l’approvisionnement correct des marchés de la région en oignons et pommes de terre et des produits prisés durant la fête de la tabaski qui sera célébrée dans cinq jours. “Le marché est correctement approvisionné en denrées de consommation”, a-t-il déclaré.
Des producteurs des périmètres maraîchers situés entre Diender et Cayar, dans la zone des Niayes, ne savent plus où donner de la tête.
A un peu moins de vingt jours de la célébration de la fête de la Tabaski, les prix de la pomme de terre et de l’oignon restent très élevés...
Surproduction, méventes, absences de chambres froides, les producteurs maraîchers de Cayar ont exprimé leur inquiétude.
D. K. Diouf, qui croupit en prison, a passé la fête de l'Aïd El-Fitr ou Korité loin de sa famille.
Une affaire de vol a été évoquée vendredi à la barre du Tribunal d’instance de Tivaouane.
Le projet AICCRA a organisé un Hackathon sur les pertes post-récoltes avec 189 postulants
Les produits horticoles enregistrent 30 à 40 % de pertes post-récolte, au moment de la commercialisation, du fait d'un défaut de stockage et de conservation des produits.