Guinée : Ces femmes brisées par les mariages conclus avec des hommes de l’étranger
In Guinea, many marriages are sealed between women who have remained in the country and men who have settled in the West. Behind the image of social success associated with these unions , these women, broken by marriages with men from abroad , often hide painful realities. Between loneliness, lack of intimacy, family pressures and disillusionment, several women today speak of what they call a "consensual prison."
“I just freed myself from this prison that everyone considered a marriage.”
DS, a teacher, says she lived in a marriage arranged by her parents for twelve years. On the day of the ceremony, her husband, who was living abroad, was represented by his brother. "He told me he didn't have the papers yet. I accepted, thinking he would soon return. But it took five years for him to come, and then only for two months," she says.
Deprived of motherhood and marital complicity, DS says she suffered interference from her in-laws and mistrust from her husband, who had ultimately moved on. "I was neither with him nor a mother, and he already had another woman. I ended up leaving."
"This man took all my youth away from me."
Iba, now remarried and a mother of three, still remembers her years of suffering. "We only had one child. He would last three years before returning for a few months. My in-laws called me infertile, forgetting that their son was never there," she says.
She also reveals the intimate pressure she experienced from a distance: "He asked me for very personal photos. I did it out of fear, even though I was worried they would end up in the wrong hands." Eventually, she ended the toxic relationship to rebuild her life.
Unions that last despite the distance
Not all stories are marked by pain. Kadi, a hairdresser married for a year, says her relationship is "peaceful": "My husband doesn't pay attention to rumors; he's never criticized me. We argue sometimes, but never for long."
Hawa, a trader, accepted her husband's condition from the start: to stay with her mother in Guinea, while he lives in France with another wife. "It hurts me to be away from him, but we have children and he respects his commitment to come every year-end. I'm going along with it."
Between sacrifices and disillusionment
These testimonies show that behind long-distance marriages lie contrasting destinies: some break up in pain, others endure on the basis of compromise. But all of the women interviewed share the same aspiration: to live with their husbands and regain marital intimacy, often sacrificed on the altar of migration.
Commentaires (9)
Les femmes Modou Modou sénégalais vivent la même calvaire. C'est pas facile d'être une femme d'un immigré.
Femmes immigres ndey san macha dé yomboul
Je vis aux USA sans mon epiuse mais je sais qu elle est brave comme bcoup d autres dames dont les epoux st a l etranger
Mais je rentre chaque annne et fais 4 mois.
L emigration ns prive de bcoup de choses bdeysaan
Q Allah ns accompagne amin!
Peut être ta femme et sœurs se font mayonnais par tes copins et voisins motax que tu penses que ñep nonoulañ mel imbécile, fils de batard que tu es.
Pdt ce temps l’immigré lui se mouille la queue avec des toubabs edentees
Mari immigré, jamais!!
Je préfère rester célibataire. On a vécu avec des femmes dont le mari est parti à l’étranger.
Elle sont malheureuses à un point, c’est terrible, Et cruel de laisser sa femme des années, aucun homme n accepterait cette situation, ce sacrifice… aucun.
Moi non plus!
l'article a volontairement omis de parler de l'infidélité dans ce genre de couples alors que c'est la plus grande catastrophe dans ces conditions ! les hommes impliqués là dedans sont de gros infidèles ; et petit à petit les femmes concernées sont devenues elles aussi des championnes en la matière : entre les parents (frères ou cousins, voire même oncles ou pères ) du mari absent qui courtisent infatiguablement la femme restée au pays et réussissent dans la plupart des cas à arriver à leur fin selon la durée de l'absence du mari .... personne ne sait finalement à quel saint se vouer; ce sont des unions de mensonges ; on se ment à soi-même ; vous plantez n'importe quelle femme plus de six mois sans intimité.. venez après m'expliquer que le jour où elle est en crise sexuelle, et qu'elle fait une rencontre fortuite de surcroit tarifée, elle aura la force mentale de refuser de s'offrir, c'est mal connaitre ce que c'est qu'une femme.... des femmes saintes à ce niveau ça n'existe nulle part... n'importe quelle femme est baisable , il suffit que l'opportunité se présente au moment où la dame est en position de faiblesse, de doute ou de trop fort besoin de sexe , vous arrivez vous n'aurez aucune difficulté à la cueillir comme un fruit mûr; il n'y a pas de femme costaud, solide, résistante dans ce domaine.. vous courrez à votre perte ; aucune femme ne vous garantit fidélité après une trop longue période d'abstinence; celui qui vous le dit ; il vous ment honteusement....
Est-ce que le mariage c'est seulement le sexe? Les sextoys peuvent régler ce manque. Mais la présence du mari est plus important. Ça rassure et ça comble.
Mon mari vit au Sénégal, moi en France, je le vois une fois par an. Ainsi va la vie. Il m'attend c'est tout.
Tu vois ton mari une fois par an ? Saches qu'il tape sur les jeunes filles de Dakar qui n'hésitent pas à provoquer les hommes.
En Occident, les hommes ont peur de parler aux femmes dans les rues à cause du harcèlement sexuel qui est devenu une arme pour les femmes.
Mais en Afrique, si l'homme a les moyens ce sont les femmes qui te font la cour.
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