Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le Premier ministre, Ousmane Sonko, est de nouveau au centre d’une nouvelle polémique.
Le Sénégal est un pays très particulier. Alors qu’une nouvelle polémique est née, depuis quelques jours, autour du crime odieux commis par l’armée française au camp de Thiaroye, il y a 80 ans, certains compatriotes, en petits « Molière », veulent nous imposer un débat qui conforte l’ancienne colonie dans sa volonté de continuer à nous coloniser par d’autres moyens. En effet, un journaliste de Dakaractu a récemment été pris pour cible sur les réseaux sociaux après avoir maladroitement employé le terme « risée » dans une question adressée à la meilleure élève du Sénégal à l’issue du Concours général. Ce lapsus, ou en tout cas, cette « bourde » pour certains, a rapidement déclenché une vague de critiques et de moqueries en ligne, soulignant la sensibilité du public aux erreurs linguistiques dans les médias. Le lynchage virtuel dont a été victime notre jeune confrère met en lumière la pression constante à laquelle les journalistes sont soumis, mais aussi l’importance de la rigueur dans l’utilisation du langage.
"C’était important pour nous aussi, au-delà des rapports qu’on nous donne dans nos bureaux, de venir sur le terrain pour voir entre la réalité qu’il y a sur nos notes et cartes et ce qu’il y a sur le terrain, est-ce qu’il y a concordance ou incohérence."
"l y a eu beaucoup de déclarations d’intention, et une sorte de « captatio benevolentiae » permanente. Ils demandent du temps, et je peux le comprendre."
L’ancien maire de Djeddah Thiaroye Kao tombe dans les caniveaux de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (Onas).
"A nous Africains de nous positionner par rapport à nous-mêmes en élaborant en toute souveraineté nos politiques mémorielles et patrimoniales qui ne doivent rien attendre de qui que ce soit."
"Certaines choses ne peuvent plus être tolérées dans ce pays."
Certains en ont ri, d’autres en sont émus.
Ousmane Sonko peut se prévaloir d’une belle victoire idéologique ou disons méthodologique.
À peine un mois après la baisse des prix des denrées de première nécessité, voilà que la mesure prise le 14 juillet par l’actuel régime commence à être compromise.
Tout d’abord une petite préface : le grand public est passionné par les nominations du Conseil des ministres.
"Juste trois mois au pouvoir."
Servir comme votre président a été le plus grand honneur de ma vie.
« Donnez tout pouvoir à l’homme le plus vertueux qui soit, vous le verrez bientôt changer d’attitude », écrit Hérodote, dans « Histoires » (novembre 2002). Certains refusent encore d’y croire encore, mais le duo Ousmane Sonko- Bassirou Diomaye Faye, emblématiques figures de proue de Pastef, semble être rattrapé par la dure réalité du pouvoir. Opposants, ils ont toujours préconisé une nette rupture dans tous les domaines, mais pour ce qui est des premières nominations, pratiquement, il n’y a encore rien de nouveau sous le soleil.
Pour ses 100 jours, le président Bassirou Diomaye a fait face à une partie de la presse nationale pour tirer un premier bilan de sa gouvernance.
Lors de son face-à-face avec la presse nationale à l'occasion des 100 premiers jours de son magistère, le chef de l'Etat Bassirou Diomaye Faye a mis le curseur sur la personnalité et les qualités de son mentor politique, le charismatique Ousmane Sonko: "Il ne doit pas lorgner le fauteuil présidentiel, je l'encourage à bien le regarder.
L'avenir du monde se trouve en Afrique et vous devez en être conscient, vous les jeunes.
Cent jours ! C’est un marqueur symbolique
Au Sénégal, le Premier ministre est, en général, quasiment réduit au rôle de figurant.
Momar Coumba Diop n’est plus. L’annonce de sa mort, à Paris, a eu lieu dimanche après-midi.