Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Pour son premier sommet, le chef de l’État sénégalais n’a pas hésité à mettre le couteau dans la plaie.
Benzema avait un jour dit que Didier Deschamps cédait à une partie raciste de la France.
« J’ai dit que je me mettais en retrait et pas en retraite, j’essayais d’imaginer en quoi pouvait bien consister le rôle et je ne trouvais pas… »
« À tous les élèves du Sénégal qui passent le baccalauréat aujourd’hui, je vous souhaite bonne chance !
Depuis l’arrivée au pouvoir du président Bassirou Diomaye Faye, son premier ministre Ousmane Sonko ne cesse de multiplier les actions et déclarations contre les médias.
Depuis quelques jours, l’actualité politique est marquée au Sénégal par la Déclaration de politique générale (Dpg) que doit prononcer le Premier ministre, Ousmane Sonko
L’espace politique sénégalais est devenu brusquement bouillonnant.
Quand les tares, les vices et les imperfections d’une société tendent à éclipser les modèles, l’anomie s’installe progressivement.
Maintenant que les prix définitifs sont fixés après quelques tergiversations, il reste le plus difficile pour les nouvelles autorités
Ils font l’actualité, mais pas de la meilleure des manières.
Le ministre des Transports a posé un acte à la fois fort, audacieux et risqué.
Au Sénégal, le gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye a annoncé les premières mesures destinées à lutter contre la vie chère, un thème sur lequel les nouvelles autorités se savent très attendues, près de trois mois après leur installation au pouvoir, et sur lequel les attentes des Sénégalais sont particulièrement fortes.
Le président de la République est en visite en France où il est arrivé hier mercredi 19 juin.
Avance Tabaski, dettes fiscales.... Mais diantre, c’est quoi encore ce tollé qui met les médias et ses dignes professionnels sous le feu des projecteurs ? La note de service du directeur de Walfadjri et le communiqué de Emedia Invest, devenus viraux, renvoient, aux yeux des Sénégalais, à une image désolante et non reluisante d’une presse qui a fini d’ouvrir ses pages les plus sombres de son histoire. Ces communications malencontreuses risquent de conforter l’opinion très répandue selon laquelle une bonne partie de la presse est sous le joug des politiques.
Depuis la présidentielle de mars 2024 ayant consacré un plébiscite du projet de Pastef, la nouvelle opposition semble avoir pris un véritable coup de massue.
"Senghor avait dit que pour être Président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros."
"Pour en venir à l’idéal d’un gouvernement démocratique qui est notre plus grand défi, il nous faut un État neutre, impartial pour que le critère de la transparence et de l’égalité des citoyens puisse être respecté."
"La jeunesse africaine n'a plus envie d'être dans tel ou tel camp, d'être obligée de servir la cause de telle ou telle puissance qui ne la concerne pas"
« Plus jamais un malade en situation d'urgence ne devra être rejeté parce qu'il n'a pas d'argent »,
« Aujourd'hui, la France se réveille avec la gueule de bois. Elle pensait que tout y était encore sous contrôle et que sa « science africaine »