Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
L'enquête sur l’affaire relative aux graves accusations de corruption de « sages » du Conseil constitutionnel reste au point mort.
«Je ne suis pas un fan des institutions internationales».
Le ministre Birame Souleye Diop ne me croira peut-être pas, mais notre « lamb » national demeure un sport magique.
La visite inopinée effectuée, ce 1er mai –jour férié-, à Mbour 4 de Thiès prouve à bien des égards que le chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye et son régime placent le foncier, ce levier important du développement économique et social, au centre de leurs priorités.
‘’La pauvreté est la pire forme de violence’’, disait Mahatma Gandhi, figure de la résistance en Inde.
Les « bus de la mort » !
George Orwell dans 1984 décrit l’enfer du totalitarisme et ses mécanismes de destruction de toutes libertés : de pensée, de parole, en particulier.
Les premières nominations de Directeurs généraux des sociétés publiques sous l’ère Diomaye-Sonko...
La photo qui nous inspire ces lignes est venue hier mardi de la présidence de la République.
Entre le pouvoir de Bassirou Diomaye Faye et la nouvelle opposition, le round d’observation semble arriver à terme. Ils vont se livrer à une rude bataille politique dont la première manche va se jouer à l’hémicycle.
Depuis quelques jours, le Rwanda célèbre les 30 ans du génocide des Tutsi perpétré en 1994.
Dès son élection, le 24 mars, le nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’était attiré les critiques de certains chefs religieux soufis.
Le maître mot des nouvelles autorités sénégalaises est la souveraineté. Ce vocable est sur toutes les lèvres depuis leur arrivée au pouvoir. Pour l’instant, cette souveraineté semble s’apprécier davantage sous l’angle économique avec la nécessité de produire ce que nous consommons mais aussi avoir une maîtrise des leviers du développement. Mais la souveraineté n’est pas qu’économique, elle est aussi et surtout culturelle. C’est le fondement même de toute souveraineté.
Les généraux, le magistrat, les universitaires, les hauts cadres d’institutions internationales…, bref très chers ministres de la République, vous ne méritez pas vos postes. Le casting est excellent, certes, mais aux yeux des féministes, de certaines compatriotes féministes, il est tout simplement « injuste ». Par conséquent, Sonko et Diomaye, deux polygames de surcroît, devraient vite revoir leur copie. « Ce que la femme veut, Dieu le veut », dit-on. Certaines de nos dames sont « consternées » par la « faible » représentation de la gent féminine dans le gouvernement. De leur avis, ce régime, anti-systémique, qui a crié haut fort d’adopter une rupture avant d’accéder au pouvoir grâce à ce discours, était obligé de mettre en place une équipe beaucoup plus « équilibrée » que cela pour ne pas dire paritaire. Le Sénégal est un pays doux et très charmant !
Les nouvelles autorités du Sénégal, avec à leur tête le duo Faye-Sonko veulent rendre au Sénégal sa souveraineté. Les 64 ans d’indépendance ont montré que Dakar n’est toujours pas un pays souverain du fait notamment de l’influence de la France, l’ancienne puissance coloniale, mais aussi d’autres grandes puissances. Le président Bassirou Diomaye Faye et son premier ministre Ousmane Sonko s’engagent donc à aller au-delà de l’indépendance formelle pour conquérir la vraie souveraineté. Et pour cela, l’instrument le plus visé est la monnaie. Pastef estime que la devise héritée de la colonisation n’est pas conforme à l’économie du Sénégal, notamment sa structure et son niveau de développement.
Dans son ouvrage Le 18 de Brumaire de Napoléon Bonaparte, Karl Marx cite Hegel qui remarquait que “tous les grands événements et personnages historiques se répètent pour ainsi dire deux fois”.
Les résultats de l’élection présidentielle, proclamés par la Commission Nationale de Recensement des Votes, et qui confirment la victoire de Bassirou Diomaye Faye, sonnent comme un camouflet pour la classe politique traditionnelle.
Les Sénégalais votent (enfin) ce dimanche 24 mars après un processus électoral chaotique et entaché par des manœuvres politiciennes indignes d’une vraie démocratie.
Le président Macky Sall a reçu hier, lundi 18 mars, les patrons de presse du Sénégal.
Lors de la 13ème conférence de l’Organisation mondiale du commerce (Omc), tenue du 26 au 29 février 2024 aux Emirats Arabes Unis, le ministre sénégalais en charge du commerce a rencontré des partenaires notamment asiatiques. Parmi ces derniers, le Cambodge. Et selon le ministre Abdou Karim Fofana, les discussions avec la partie cambodgienne ont pour but de voir s’il y a une possibilité d’importer du riz venant de ce pays.