Complexe Cheikh Ahmadoul Khadim de Touba : 70 ingénieurs prêts à intégrer le marché dès l'an prochain
In an interview with L'Observateur, Cheikh Ahmadou Mbacké Badawi, rector of the Cheikh Ahmadoul Khadim Complex in Touba, looks back on the major progress made three years after the opening of this higher education institution, which is entirely free and rooted in the values of Mouridism.
Among the key announcements, the source for the Groupe Futurs Médias daily newspaper revealed that 70 engineers from technical and scientific fields (agronomy, IT, telecommunications, civil engineering, HEC) will be ready to enter the job market next year. This is a strong signal of the complex's professional and pragmatic orientation, which aims to meet local and national skills needs.
The Rector also welcomes the imminent arrival of the first class of graduates in Islamic Studies and Arabic Languages (more than 100 students), the rise of the UFR Santé with already 30 graduates (midwives, nurses), and the expansion to future medical specialties.
The institution, founded by the General Caliph of the Mourides, aims to become a benchmark, like the great Islamic universities such as Al-Azhar. Thanks to active international cooperation, foreign teachers, particularly from Mauritania, have joined the faculty.
Free tuition, scholarships, internships from the first year, guaranteed local integration: everything is designed to maximize success, explains the rector, who says he expects "a 100% success rate" from his students.
Commentaires (7)
Bravo et félicitations.....et a nous la communauté mouride de leur trouver du travail en créant des entreprises innovantes des a présent
Merci aussi à macky qui les beaucoup aider. Il faut être honnête
Pourquoi 70 ingénieurs ?
2 ou 3 suffisent. Comment 70 ingénieurs peuvent ils collaborer dans un même projet. C'est impossible.
Populisme baaxul.
Oui, 70 ingénieurs qui ont été formés, mais pour leur projet de fin d'études , ils ont travaillé seul ou en groupe de 2 à 5 personnes comme on le fait dans toutes bonnes écoles de formations. Il faut encourager cette université islamique à faire beaucoup plus et surtout de préparer les étudiants à créer des entreprises en sortant de leur formation.
Oui, 70 ingénieurs qui ont été formés, mais pour leur projet de fin d'études , ils ont travaillé seul ou en groupe de 2 à 5 personnes comme on le fait dans toutes bonnes écoles de formations. Il faut encourager cette université islamique à faire beaucoup plus et surtout de préparer les étudiants à créer des entreprises en sortant de leur formation.
J’espère qu’ils trouveront une solution définitive aux problèmes d’inondations et qualité de l’eau. Cela est une bonne chose de produire des scientifiques. L’auteur de l’article devrait aussi parler des conditions d’accès à cet établissement. S’il y a des frais de scolarité à payer? Nous plonger dans l’univers de cette école? La reconnaissance du diplome comme ces temps ci cela suscite un debat sur la reconnaissance de certains doctorats par l’ ANAT-SUB et je vois que certains mourides remettent en question ce titre de Dr attribué à Cheikh Omar Diagne….
Touba n'a qu'à les recru.ter puisqu'il déclare avoir son titre foncier.
Ne pas vouloir l'école française et occidentale mais quand même vouloir faire des études sur ce que l'Occident enseigne et vouloir vivre en Occident , c'est abhérant. Au finish c'est quoi l'objectif ?
Ne me parlait surtout pas de langue ça n'a aucun lien.
L’ingenieurie n’a pas vu le jour en occident.
Tu te crois encore il y a 4000 ans ?
4 ans de formation pour un diplôme d’ingénieurs (y compris les classses préparatoires ou le tronc commun) me semblent insuffisants……
Ils doivent dire 70 diplômes au lieu de 70 ingénieurs. Le plus important c'est la formation. J'espère que ces diplômes maîtrisent le français car l'arabe n'est pas la langue de travail du Sénégal autrement ils risquent d'être au chômage comme bon nombre de leurs camarades ayant étudié dans les pays étrangers en arabe. Cette filière d'enseignement en arabe pour il faut le repenser car on a des gens brillants mais malheureusement c'est quasiment sans débouché au Sénégal s'ils ne maîtrisent pas le français. On nous parle de leur assurer un taux d'insertion de 100%, alors que ceux qui sont formes dans les pays arabes peinent a trouver un emploi au point que le président s'en est emparé . Il faut que l'on apprennent a être pragmatique et laisser nos égos de côté : combien de personnes parlent wolof, francais, anglais , arabe dans ce pays ? Posons nous ma question combien de personnes peuvent suivre un enseignement supérieur dans cette langue. Maintenant pensons aux opportunités reelles dans le monde entier. Est ce pertinent de former au Sénégal pays francophone dans un institut quelque part dans le pays en langue espagnole, chinoise ou indienne des sage femme, techniciens, ingenieurs; Ne serait il pas plus simple de les former en francais.
Avec vos “j’espère que”, vous faites vraiment droles.
Participer à la Discussion