Éducation : conclave des formateurs du moyen secondaire
Members of the Collective of Secondary School Trainers of Senegal (COFOMSS) met this Saturday to denounce their poor working conditions.
Transferred to regional training centers for education personnel (CRFPE) to strengthen the initial training of student teachers and the continuing training of temporary staff and secondary school teachers, these trainers are facing a difficult situation. Ibra Mboup, the president of this organization, outlined a series of difficulties.
Firstly, there is the glaring shortage of staff due to the retirement of staff who are not replaced, which, in turn, weakens the supervision rate and consequently impacts academic performance.
Next, Ibra Mboup discussed the lack of career paths, motivation, and supervisory compensation. Finally, these supervisory staff are primarily faced with a lack of logistics. Many of them carry out their missions with their own means, often in makeshift boats. Several attempts to meet with the Minister of National Education to discuss these issues have unfortunately failed. Still armed with courage given their noble mission, Ibra Mboup's team developed a memorandum during this meeting to serve as a dashboard for the upcoming negotiations with the new authorities, during which the future of trainers who wish to be transferred as trainers to the Faculty of Science and Technology of Education and Training (FASTEF) will be discussed, since the specifications remain the same, Ibra Mboup indicated.
Commentaires (17)
Aucun respect pour les formateurs
En tout cas vous devez apprendre à vos stagiaires a bien prononcer certains mots, par exemple :
Condamner
Ceux
Baptême
Stade, statut et non pas estade ou estatut
Changer , échanger non pas esanger
Ilfaut y ajouter les verbes pronominaux
Mes pronons personnels comme le lui
Je lui ai parlé et non je l' ai parlé
Etc, etc
Les formateurs font un excellent boulot dans des conditions parfois difficiles. Les reverser dans le corps des IS serait l'idéal.
Merci au cofomss d'avoir tiré la sonnette d'alarme.
Les formateurs du Moyen Secondaire meritent d'être respectés et versés dans le corps des IEMS ou rattachés à la Fastef
Le corps des IEMS devait être constitué ainsi: 1. Les inspecteurs de spécialité (encadrement et contrôle des enseignants)
2. Les inspecteurs de vie scolaire (contrôle administratif des établissements)
3. Inspecteurs-formateurs ( encadrement et formation continuée dans les CRFPE et les établissements du Moyen secondaire).
Le constat c'est que les IS et les Formateurs font le même travail et malheureusement les derniers n'ont pas d'indemnité d'encadrement et de contrôle.
Les formateurs du moyen secondaire sont les parents pauvres du système éducatif sénégalais. Les formateurs des CRFPE doivent être reversés à la Fastef. Bravo président Mboup et ses collègues présents lors de cette rencontre.
Merci au COFOMSS pour la réalisation de cette rencontre afin de dénoncer les conditions difficiles des formateurs dans les CRFPE .
Dès notre sortie de la FASTEF, ce sont ces agents qui nous accompagnent : les formateurs du moyen secondaire, ils nous donnent tout et répondent à nos préoccupations.
Si on éteint ce corps ce sera la catastrophe
Le système a l'habitude de promouvoir des médiocres et des paresseux. Ces Formateurs méritent plus de considération. Ils sont encadreurs, coachs qualité, tuteurs formation à distance FASTEF, Inspecteurs des candidats FAD, présidents de jury, accompateurs et évaluateurs dans le dispositif des progressions harmonisées du moyen secondaire, ils valident les sujets de compositions semestrielles et ils font des visites de classe assorties d'un rapport pour permettre aux autorités académiques de prendre des décisions et faire des ajustements.
Grand merci au COFOMS pour avoir braqué les projecteurs sur leurs conditions de travail très difficile.
Voilà des agents de l'administration qui occupent un poste de responsabilité sans une indemnité attachée à la fonction. Une bizarrerie ! Ils sont utilisés par la tutelle quand ça peut dépanner. Le statut définissant la fonction, il faudrait aux formateurs un statut clair. C'est à ce moment que le cahier des charges aura tout son sens. On ne peut pas faire de la qualité son credo si on ne met pas les moyens que cela exige.
Comment peut-on faire travailler à des gens et ne pas payer leurs indemnités d'encadrement à la FAD depuis plus d'un an, bientôt deux ans ?
Comment ces formateurs ne peuvent-ils pas bénéficier d'indemnités d'encadrement alors qu'ils forment et encadrent ?
Comment peuvent-ils avoir une augmentation d'une indemnité non encore définie et positionnée dans le bulletin ?
Vraiment le ministre doit les recevoir avec son équipe ou alors que le premier ministre, chef de l'administration, corrige ces failles très graves.
Un cadre de l'enseignement à la retraite
Bravo à ces enseignants qui se donnent corps et âmes pour la formations continuée des professeurs du moyen secondaire du Sénégal. La qualité de la formation continuée est le garant de la performance d'un système éducatif
Les Formateurs du moyen secondaire logés dans les CRFPE abattent un travail titanesque malgré des moyens logistiques dérisoires. Ils coordonnent les cellules pédagogiques, font des visites de classe, interviennent dans l'encadrement des candidats à la FAD, valident les épreuves standardisées entre autres. Je ne peux pas comprendre qu'ils ne disposent pas d'indemnité pourtant prévu par la loi. Enfin, jusqu'au mois d'août 2025, ils n'ont pas reçu les indemnités liées à la FAD de 2024. Voilà un bel exemple de 'jub, jubeul, jubenti'.
Je pense bien que le Ministre Guirassi n'a pas reçu ces informations sinon il allait recevoir les formateurs car il est très ouvert surtout pour des personnels comme les formateurs du moyen secondaire
En tout cas, il urge pour le MEN de les (formateurs) recevoir. Un outil des doléances a été conçu avec des arguments fondés. Si le MEN est aussi ouvert comme on le dit, il devrait profiter des vacances pour rencontrer le bureau du collectif des formateurs du moyen secondaire, structure qui a d'ailleurs un récépissé légalement établi. Il faut corriger les failles et injustices du système éducatif.
On doit beaucoup plus de considération à cette frange importante du système éducatif sénégalais.
Voilà une fonction stratégique dans le système éducatif sénégalais, mais qui malheureusement n'est pas valorisée. Alors que sur fond de recrutement sans formation, ces formateurs constituent un excellent levier pour relever le défi de la qualité. Malheureusement encore au Sénégal on ne sait pas mettre les moyens là où il faut...
De la part de quelqu'un qui connait la force du capital humain pour le développement.
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