Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Jets de projectiles contre des véhicules de police, tirs de lacrymogènes, pillages: quelques jours après la mort du jeune Nahel lors d'un contrôle policier, Marseille, deuxième ville de France, connaît une nuit agitée vendredi, le ministre de l'Intérieur ayant décidé d'envoyer des renforts.
Le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti a détaillé dans une circulaire vendredi
Elisabeth Borne a annoncé vendredi le déploiement de véhicules blindés de la gendarmerie pour faire face aux violences qui touchent depuis trois nuits de nombreuses villes en France.
Les scènes de pillages sont massivement relayées sur les réseaux sociaux, prisés du jeune public. «Nous avons vu sur plusieurs d'entre eux, Snapchat, Tiktok, à la fois l'organisation de rassemblements se faire, mais une forme de mimétisme de la violence», a pointé le chef de l'État français .
Trois jours après la mort près de Paris de Nahel, un adolescent de 17 ans tué par un policier, les violences urbaines continuent d'agiter la France, notamment la région parisienne, ravivant le spectre d'un embrasement généralisé comme en 2005.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé le déploiement par le ministère de l'Intérieur "de moyens supplémentaires" après trois nuits d'émeutes, consécutives au décès du jeune Nahel lors d'un contrôle policier près de Paris, en dénonçant "l'instrumentalisation" de ce drame.
Le président de la République a pris la parole, vendredi après-midi, à la fin de la réunion de crise organisée au ministère de l’intérieur.
Le président de la République a pris la parole, vendredi après-midi, à la fin de la réunion de crise organisée au ministère de l’intérieur.
Un total de 875 personnes ont été interpellées de jeudi à vendredi en France, dont 408 à Paris et sa proche banlieue, lors de la troisième nuit consécutive de violences urbaines en réaction à la mort de Nahel, tué par un policier, selon un bilan définitif du ministère de l'Intérieur.
Le président de la République Emmanuel Macron est prêt à adapter le dispositif de maintien de l'ordre "sans tabou" après une troisième nuit de violences en France, a souligné vendredi l'Elysée, alors que l'instauration de l'état d'urgence est évoqué par plusieurs responsables politiques.
Après une troisième nuit de violences en France, le président de la République va présider une nouvelle cellule de crise, a annoncé l’Elysée.
Après l’incendie d’une rame de tramway à Clamart, dans la nuit de mercredi à jeudi, la commune des Hauts-de-Seine a décrété un couvre-feu entre 21 heures et 6 heures, à compter de jeudi et jusqu’à lundi 3 juillet.
Le président Emmanuel Macron a dénoncé jeudi "des scènes de violences" contre "les institutions et la République" qui sont "injustifiables", après une nouvelle nuit d'embrasement des quartiers populaires qui ont donné lieu à plusieurs incendies de mairies notamment.
Les autorités ont appelé au calme mercredi et annoncé une mobilisation "renforcée" des forces de l'ordre pour éviter une deuxième nuit de violences urbaines,
Marine Le Pen a estimé qu'Emmanuel Macron avait eu des propos «très excessifs» et «irresponsables»
Emmanuel Macron a jugé mercredi "inexplicable" et "inexcusable" la mort d'un adolescent, victime d'un tir policier à bout portant la veille à Nanterre, souhaitant "que justice passe".
Le président Emmanuel Macron a fait part mercredi en Conseil des ministres de son "émotion" après la mort d'un adolescent de 17 ans, tué par un policier lors d'un refus d'obtempérer, a assuré le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.
A près de deux semaines de la date butoir des «cent jours» fixée par Emmanuel Macron pour relancer son quinquennat, les rumeurs d’un remaniement ont refait surface ces derniers jours.
Piotr Pavlenski, jugé mercredi pour avoir diffusé des vidéos qui ont fait chuter l'ex-candidat à la mairie de Paris Benjamin Griveaux, est un artiste contestataire connu pour ses "performances" politiques choc, réfugié en France après avoir fui la Russie.
Plus de trois ans après la diffusion des vidéos à caractère sexuel ayant entraîné la chute d'un politicien français proche du président Emmanuel Macron, l'artiste russe Piotr Pavlenski sera jugé à Paris mercredi.