Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Ndeye Fatou Fall, dite Falla Fleur, reprend son téléphone et se connecte à sa page Facebook pour suivre les derniers événements de la crise sénégalaise déclenchée par le report de la présidentielle par le président Macky Sall.
Actuellement en France pour des raisons familiales, Cheikh Yérim Seck a réagi au report de la Présidentielle, désormais fixée au 15 décembre 2024. Un report que le journaliste a essayé d'expliquer à "La Voix du Nord".
Depuis l’installation des membres de la commission d’enquête parlementaire, aucun acte concret n’est pris, en tout cas aux yeux de l’opinion publique.
l aura fallu une journée entière de débat à l'Assemblée Nationale dans une ambiance très tendue jusqu'à l'intervention de la gendarmerie pour...
L’équipe de football anglaise avait son Calamity James, le célèbre gardien de but. La presse sénégalaise et le secteur des télécoms ont désormais leur calamity Moussa, le ministre de la censure.
«Une réaction d’indignation et de colère », a dit Thierno Alassane Sall, qui se prononçait sur la décision du Chef de l'État, Macky Sall, d'annuler sine die l'élection présidentielle dans un entretien accordé à Jeune Afrique.
Macky Sall a décidé de reporter le scrutin présidentiel du 25 février prochain...
Je pensais m’impliquer pour un jour pouvoir raconter à ma progéniture que ma génération a joué un rôle prépondérant dans le polissage de la vitrine démocratique que représente le Sénégal en Afrique.
En perspective du scrutin présidentiel du 25 février prochain, la coalition de la société civile pour l'application des recommandations de la Commission nationale de réformes des institutions (Cnri) a proposé un pacte de bonne gouvernance aux candidats en lice. Rappel des points saillants desdites conclusions.
En conférence de presse ce mercredi, la coalition Diomaye Président s’est prononcée sur l’actualité politique
Seydou Diouf député à l'Assemblée nationale a défendu la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire visant deux membres du Conseil Constitutionnel.
Les soutiens de Karim Wade, candidat écarté de la présidentielle du 25 février 2024 soupçonnent certains des sept sages du Conseil constitutionnel de « corruption »
Les députés sont convoqués en plénière demain mercredi, 31 janvier, après l’adoption hier lundi 29 janvier par la commission des lois du projet de résolution du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour la mise en place d’une Commission d’enquête parlementaire visant la décision du Conseil constitutionnel invalidant la candidature de Karim Meissa Wade à la présidentielle du 25 février prochain.
‘’La République couchée’’. Tel est le titre d’une tribune mémorable signée par le philosophe Ousseynou Kane dans les colonnes du quotidien Wal Fadjri, le 8 mai 2001. Pour la première fois, dans l’histoire du Sénégal, le chef de l’Etat s’agenouillait devant un guide religieux. En visite à Touba, Abdoulaye Wade s’était prosterné devant Serigne Saliou Mbacké, le khalife général des mourides, créant une indignation auprès de l’élite.
On n’est pas loin d’une crise entre le pouvoir Législatif et le pouvoir Judiciaire.
Le Groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement n'a pas attendu longtemps pour répliquer après la sortie de l'Union des Magistrats du Sénégal (UMS).
Dans un communiqué publié, dimanche soir, l’Union des magistrats sénégalais (Ums) a clairement indiqué qu’« aucune commission parlementaire n’a compétence pour entendre un magistrat », se fondant sur le principe de la séparation des pouvoirs de de l’indépendance de la Justice.
Le Président Macky Sall indique que le calendrier électoral sera rigoureusement respecté et que le premier tour de l’élection présidentielle se déroulera normalement le 25 février 2024.
Suite aux accusations de corruption et de conflits d'intérêts contre des membres du Conseil constitutionnel...
Le deux poids deux mesures judiciaire