Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Les derniers jours de la campagne électorale pour les législatives du 17 novembre sont marqués par des violences, aussi physiques que verbales.
À la veille des élections législatives du 17 novembre, le climat politique du Sénégal se détériore, avec une escalade de violences, ce malgré les avertissements du Président Bassirou Diomaye Faye.
Lors d'un entretien diffusé sur la chaîne Senegal7, Serigne Saliou Guèye, directeur de publication du journal "Yoor Yoor", accuse le CORED d'avoir indûment perçu une aide à la presse de 20 millions de francs CFA.
La Brigade d'intervention polyvalente (BIP) a arrêté cette nuit des membres de la sécurité du candidat de Sàmm Sa Kàddu, dans la région de Thiès.
Dans un post sur les réseaux sociaux, Babacar Ba, président du Forum du justiciable, a condamné les attaques contre les militants du Pastef.
Le leader du Pastef, Ousmane Sonko, ne compte plus laisser ses militants se faire agresser sans réagir.
Le chef de file national du mouvement Alsar, Racine Sy, était lundi à Saint-Louis.
C’est un scénario digne d’un film hollywoodien que les forces de l’ordre ont procédé, hier nuit, pour interpeler des éléments de la sécurité Barthélemy Dias et de la coalition Sàmm Sa Kçddu.
"L'État a failli". Ces propos n'ont pas été tenus par des opposants du pouvoir de Bassirou Diomaye Faye, mais bien par les tenants de ce même pouvoir.
Les habitants de la cité Tobago, dont les maisons ont été détruites par l'État dans le cadre de projets d'urbanisation, continuent de faire face à des défis majeurs.
À la suite des scènes de violence notées hier à Saint-Louis, entre les militants de Barthélemy Dias et ceux du Pastef, la coalition Sàmm Sa Kàddu accuse Ousmane Sonko d'être "responsable"
La société civile s'inquiète, après les violences électorales constatées ces derniers jours, qui ont suivi les piques interposées entre Ousmane Sonko et Barthélémy Dias.
Au Sénégal, les élections législatives anticipées auront lieu dimanche prochain, 17 novembre.
Le journaliste Mamoudou Ibra Kane invite le Général Jean Baptiste Tine, ministre de l'intérieur à prendre ses responsabilités.
Si plusieurs autres leaders de Pastef ont directement interpellé Barthélémy Dias avec un discours offensif après la publication d'Ousmane Sonko, Amadou Ba de Pastef, lui, se montre beaucoup plus prudent.
A 5 jours des élections législatives, la campagne électorale prend un tournant inquiétant, avec des violences et des déclarations qui risquent de mettre de l'huile sur le feu.
L’ancien premier ministre Abdoul Mbaye accuse Ousmane Sonko d’inciter à la violence contre Barthélémy Dias et ses partisans, en défiant ainsi l’appel du Président de la République à une campagne apaisée.
C'est le leader de Pastef, Ousmane Sonko, qui a lancé la mèche pour dénoncer l'agression de ses militants et directement accusé Barthélémy Dias d'en être l'instigateur.
De l'électricité dans l'air.
Quelques mois après avoir quitté le pouvoir sans gloire, l'ancien président sénégalais Macky Sall revient en politique pour faire campagne à distance en vue des législatives de dimanche, au risque de l'incompréhension et du désaveu.